Adamsberg

commissaire reçoit l’information qu’un crieur de nouvelles du quartier Edgar-Quintet a trouvé des annonces bizarres dans une langue ancienne dans son urne, dans laquelle chaque jour les gens du quartier laissent leurs annonces. La piste conduit Adamsberg à un connaisseur du Moyen Âge et un meutrier qui veut répandre la peste du temps ancien. En réalité la « peste » n’est qu’une imagination est le meutrier n’est en réalité qu’un semeur de puces saines. Le vrai tueur est un frère du semeur, envoyé

de Lawrence "est revenu au printemps. A fondé sa famille. " Révision des valeurs des temps des énoncés ancrés dans la situation d'énonciation ou coupés de celle-ci . SEANCE 3 : Mise en place des personnages ( chapitres 1 à 3 ) Lawrence et Adamsberg, que rien, à priori, ne permet de rapprocher, sinon leur passion pour les loups, fil directeur de tout le roman, ( cf l'exergue) sont tous deux hors du commun, un commissaire qui n'aime pas brusquer les gens et un Canadien qui méprise l'Europe mais

la bague surmonté d’un diamant qu’il portait à la main gauche. En effet, le commissaire c’était souvenus que parmi tous les talisman qui protégeait de la peste, le diamant était considéré comme le plus puissant de tous. Adamsberg enquête et découvre le passé de Damas. Il est en fait le fils d’un célèbre et riche industriel du nom de Heller-Deville, et est donc aussi le physicien torturé par les

fonction de ses crimes. 7) Camille appelle à l’aide le commissaire Adamsberg. Il s’agit de son ancien petit ami. On ne sait rien de leur histoire, sauf que quelque chose s’est mal passé et qu’elle aurait préféré ne pas avoir à le revoir. 8) Adamsberg travaille sur une affaire de meurtre. Il a tué le …. d’une jeune fille qui cherche à le venger et a juré au commissaire de le tuer avec une balle dans le bide. Adamsberg doit donc être systématiquement sur ses gardes et se cacher. 9) Le

baptisée « Le Vent de Norois II», qu'il accroche à un arbre pour permettre aux gens d'y déposer leurs messages destinés à la criée. Chaque message est dans une enveloppe cachetée et lestée d'une pièce de cinq francs. Le commissaireJean-Baptiste Adamsberg est alerté par une femme inquiète de la présence de grands "4" noirs inversés ayant deux barres à la fin et sous-titrés des trois lettres CLT (Cito Longe Tarde) sur les portesde son immeuble. Il devient curieux lorsqu'un second immeuble subit le

Pourquelle raison vont-ils trouver Camille ? En quoi modifie-t-elle leur plan ? (1,5 pt) 6) Quel véhicule empruntent-ils ? Comment savent-ils où aller ? (1 pt)7) Qui Camille décide-t-elle d’appeler à l’aide ? Pourquoi si tard ? (1 pt) 8) Pourquoi Adamsberg doit-il quitter Paris sans se faire suivre ? (1pt) 9) A quelle occasion le Veilleux va-t-il lui sauver la vie ? Racontez. (1 pt) 10) Quels autres crimes vont être commis avant que le responsable nesoit arrêté ? Qu’ont-ils en commun ? (2 pts) 11)

d’honneur à exposé que c’est la violence est le point central de l’extrait . Dans celui de Vargas plusieurs répétitions marquent également le texte le mot: “toi” ligne 8 est répété par trois fois insistant ainsi sur la culpabilité que devrait avoir Adamsberg suite à l’abandon de son fils. De plus des mots répétés à plusieurs reprise rythment l’extrait , le champ lexical du chat :“chat” ,”chatte”,”chaton” qui sera un point crucial dans la résolution del'enquête, ou encore le mot “gosse” écrit trois fois

à l'assassin. Bientôt dans une impasse et répondant une fois de plus à la demande de ses amis à contre-cœur, elle fera finalement appel à Adamsberg. Après divers meurtres, il parait évident que Massart n'est pas l’assassin. Le regard d'Adamsberg se porte alors sur Lawrence. Soucieux d'avoir été découvert, Lawrence tenta une nuit, sans succès, de tuer Adamsberg avec un crâne et les dents aiguisées d'un loup du Canada; ils sont dans un champ à ce moment. Soliman fait alors son apparition avec un fusil

conduire la bétaillère sure les routes dangereuses de montagne, c'est elle qui, pour se décontracter, lit son catalogue d'outillage, c'est elle qui, ne croyant plus à l'amour, vit une longue liaison avec Lawrence puis renoue son ancienneliaison avec Adamsberg sans le vouloir mais sans pouvoir ou vouloir l'empêcher également. Elle est en fait la véritable héroïne du roman car c'est elle le point commun de tous les autres personnages qui l'aiment et/ou l'utilisent comme auxiliaire. Elle permet au roman

car elles engendrent, comme sur une scène de théâtre, rebondissements, coups de théâtre, voire renversements de situation, conférant ainsi à la narration toute sa dynamique. 19 Ce roman policier est aussi une histoire d’amour entre le commissaire Adamsberg et la musicienne-plombier Camille : tous deux marginaux, lui parce qu’il prône la lenteur, la marche à pied, le dessin, 12 elle parce que, étant musicienne, elle vit de plomberie ; tous deux amoureux sans le dire, ils se rencontrent et se séparent