Addiction

psychique de l’addiction Joyce MCDOUGALL J’aimerais commencer ma conceptualisation de l’économie psychique de l’addiction par l’étude du mot « addiction » lui-même parce que sa signification illumine d’une certaine façon ma perspective quant à l’économie psychique qui sous-tend les comportements addictifs. Comme nous le savons, le terme « addiction » vient du latin addictus qui se réfère à une coutume ancienne par laquelle un individu était donné en esclavage. Lors de mes premiers écrits sur le

c’est-à-dire qu’il aura du mal à s’en passer. Ces substances qui vont agir sur le cerveau vont modifier le comportement et la perception des choses. On dit que ce sont des substances psychoactives. Mais en fait aujourd’hui on parle plutôt d’ « addiction » que de drogues car d’autres choses peuvent avoir ce même effet de dépendance sur le corps que les substances psychoactives. En effet ça peut être un produit comme le tabac, l’alcool, les médicaments et les stupéfiants (ce que certains appellent

femme et 3 verres par jour chez l’homme. L’alcoolisme chronique se définit comme une consommation nocive d’alcool entraînant des dommages physiques, psycho-sociaux ou affectifs ou comme une véritable addiction à l’alcool (perte de liberté vis à vis de la consommation d’alcool). Comme toute addiction, il engendre une dépendance physique, psychologique et un phénomène de tolérance (la personne augmente les quantités pour ressentir les mêmes effets). Nous n’aborderons ici que l’alcoolisme chronique

drogue est au toxicomane ce que l’écran est au cyberdépendant. On parle alors d’une «utilisation des technologies ou des moyens de communications offerts par Internet qui engendre des difficultés chez l'individu[1]». Un cyberdépendant peut avoir une addiction pour : • Le cybersexe : L’individu aura tendance à « rechercher de la pornographie ou des partenaires sexuels en ligne, se préoccuper par rapport à la recherche de partenaires sexuels en ligne, et avoir des comportements masturbatoires durant

un IMC de 25kg/cm². Elle ne porte aucun appareillage. Depuis son opération Madame S. doit porter des bandes biflex et ça pendant au moins un mois. Madame S. est très coopérative lors des soins et aime discuter avec les soignants. Elle a une addiction à l'alcool et un syndrome dépressif. Madame S. fume en moyenne 15 cigarettes par jour. Célibataire, elle a 3 enfants qui ne peuvent pas venir la voir pendant son hospitalisation. Ils habitent loin et sont trop jeunes. Elle a occupé divers

d’alcoolémie à 0.00 g/L Argumentation L’alcoolisme chronique se définit comme une consommation nocive d’alcool entraînant des dommages physiques, psycho-sociaux ou affectifs ou comme une véritable addiction à l’alcool (perte de liberté vis à vis de la consommation d’alcool). Comme toute addiction, il engendre une dépendance physique, psychologique et un phénomène de tolérance (la personne augmente les quantités pour ressentir les mêmes effets). La consommation excessive d’alcool est définie

techniques de communication, des énergies. C’est devenu important dans notre société actuelle. Cependant cette connaissance scientifique permet-elle vraiment un développement et une liberté des individus ? Ou bien au contraire une soumission, une addiction ? Je partage l’idée que c’est une source de libération, je le démontrerais par le biais des nouvelles technologies et de la santé. La science peut-être effectivement source de liberté. La voiture en est un parfait exemple, cela permet

de la relation, il devient problématique lorsque l'attachement amoureux se transforme en dépendance. C'est-à-dire en incapacité d'exister sans l'autre. Ce fonctionnement rend impossible ou douloureuse la construction d'une relation durable. Cette addiction à l'amour, qui nous place dans le rôle de l'enfant dépendant du parent, peut révéler un refus et/ou une crainte des responsabilités. Elle peut également montrer le désir insatiable de combler un manque d'amour ressenti dans l'enfance. Enfin, cette

Comment peut-on oser blâmer une personne utilisant son corps à bon escient, une personne qui veut s'épanouir. Si la gourmandise est un péché, qu'en est-il des beaux-arts ? Car se sont tous deux des œuvres ! On peut aussi voir la gourmandise comme une addiction, mais, est-ce mal d’être addictif aux bonnes choses ? On dit que la gourmandise fait tâche, qu'elle fait grossir, mais ce physique n'est-il pas un signe de bonne santé ?, n'est-il pas un signe de richesse ? De plus le chocolat qui est à la base

futilité d’acheter un vêtement juste pour sa beauté et non son utilité. Certaines personnes peuvent être dépendante de cette mode et donc collectionner certains objets qui, de ce fait, enlèvent toute utilité à l’objet pour la remplacer par une addiction. Cette addiction est caractérisée par une dématérialisation des fonctions principales de l’objet, remplacées par un besoin d’accumuler ces objets pour mettre en avant ses goûts. Par exemple, prenons le cas des philatélistes qui collectionnent les timbres