Adieu De Lamartine

grande influence sur les auteurs de son époque et ses textes romantiques deviendront les nouveaux ouvrages de références.''Soleils Couchants'' est un poème lyrique qui aborde un thème récurent du romantisme, la Fuite du Temps. Le Lac Alphonse de Lamartine Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle

indépendante et digne, qui jusqu'alors lui était refusée. Peu de grands écrivains qui n'aient d'ailleurs été tentés à un moment de leur carrière par le roman, quelle que puisse être leur orientation ultérieure (Sainte-Beuve, Michelet) ou parallèle (Lamartine, Musset). Malgré les nombreuses directions suivies par le récit en cette première moitié du XIXe siècle, il est des exigences fondamentales aussi bien chez un Constant que chez un Stendhal, chez un Vigny que chez un Balzac. Abandonnant les tourments

son for intérieur. C- Un thème dominant : la mort. Le lyrisme devient universel. -Finalement le thème dominant est bien celui de la mort. Cf. champ lexical « deuil de la nature » « expire » « mourant » « tombeau » … -C’est lui qui fait ses adieux à la nature ( vers 11 et 12) car la nature là est sa « traîtrise », elle, va revivre. -Le dernier quatrain évoque la mort du poète. Le temps est donc le présent «  je meurs » + mise en valeur par le « moi » en tête de vers et en position de rejet

va décider de la carrière littéraire que Musset choisit alors d'entamer. Musset tente sa chance au théâtre. Mais après l'échec de La Nuit Vénitienne ou les noces de Laurette, comédie en un acte donnée le 1er décembre 1830 à l'Odéon, l'auteur dit « adieu à la ménagerie, et pour longtemps », comme il l'écrit à Prosper Chalas. Cet éloignement durera dix-sept ans, jusqu'au succès d'Un Caprice, comédie en un acte donnée au Théâtre-Français le 27 novembre 1847. À cette époque, devenu alcoolique, il pouvait

travaux proposés ci-dessous ( sur une copie à part) I- Extrait : « le clair de lune » 1- Retrouvez les caractéristiques du mouvement romantique présentes dans cet extrait. 2- Précisez les éléments communs avec les textes de Chateaubriand et de Lamartine que vous lirez attentivement. 3- Observez les phrases de l'extrait «  le clair de lune » : leur « style » , leur rythme et proposez un commentaire qui permettrait de rendre compte du style de Flaubert. II- Extrait « la promenade en barque »

Flaubert, Madame Bovary Quelle place le romantisme tient-il dans le roman? Madame Bovary, comme adieu au lyrisme, effort d'écriture pour se concentrer sur "les moisissures de l'âme", en s'obligeant à un continuel travail sous la direction de Louis Bouilhet, auquel Flaubert soumet son livre au fur et à mesure de son écriture. Pourtant Flaubert avoue lui-même la déchirure qui le constitue: « Il y a en moi, littérairement parlant, deux bonshommes distincts : un qui est pétri de gueulades, de Carl Gustav

plus lire : Il semble que ta voix les répand sur mon coeur ; Que je les vois brûler à travers ton sourire ; Il semble qu'un baiser les empreint sur mon coeur. N'écris pas ! Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) Le lac (Recueil: Méditations poétiques) Dans les Méditation poétiques, Alphonse de Lamartine se souvient de la femme qu’il aimait et qui est morte : Julie Charles. Le poète se trouve dans un lieu qui lui est cher, près d’un lac, qui a été le témoin de ses amours, et lorsqu’il y revient

côté d’une femme en passant par le changement des saisons … . Pour cela, je me suis référé sur ce qu’on avait dit en année de seconde. J’ai repris quelques poèmes de références sur ce sujet comme Le lac de Lamartine et celui de Guillaume Apollinaire Le pont Mirabeau. Alphonse de Lamartine est une des plus grandes figures du romantisme français. Il vient dans la région Rhône-Alpes et y trouve l’amour. Mais la femme mourut un an après leur rencontre. Dans son poème, il parle d’Elle (Julie-Charles)

p.13 - Charles Baudelaire “L’appel du large”, les Fleurs du mal (1857) p.14 - Alphonse de Lamartine “Le lac”, Méditations poétiques (1820 ) p.15 - Alphonse de Lamartine “Souvenir”, Méditations poétiques (1820 ) p.18 - Alfred de Musset “Souvenir”, Poésies nouvelles (1850) p.21Préface “Notre richesse, ce sont nos souvenirs” François Hertel. Les

classicisme : François de Malherbe : Consolation à Monsieur Du Périer (gentilhomme d'Aix-en-Provence) sur la mort de sa fille Nicolas Boileau : Air Le romantisme : Alfred de Musset : A une fleur Alphonse de Lamartine : Le lac Le symbolisme : Charles Baudelaire : L’ennemi Stéphane Mallarmé : Brise marine Le surréalisme : Paul Eluard : le plus jeune André Breton : L’aigrette PLEIADE Heureux qui, comme Ulysse, a