Adieu Mystères

dans la nuit. Comme il y a longtemps déjà qu'elle a disparu!     Elle est belle, et plus que belle; elle est surprenante. En elle le noir abonde: et tout ce qu'elle inspire est nocturne et profond. Ses yeux sont deux antres où scintille vaguement le mystère, et son regard illumine comme l'éclair: c'est une explosion dans les ténèbres.     Je la comparerais à un soleil noir, si l'on pouvait concevoir un astre noir versant la lumière et le bonheur. Mais elle fait plus volontiers penser à la lune, qui sans

matous, Le bec des hirondelles, Le poli des cailloux, Le rugueux des moustaches, Pour voir comment ça fait. J’écouterais longtemps tout ce qui fait du bruit, Le froissement des feuilles La craie sur le tableau, Le cliquetis des clés Qui ouvrent les mystères, Les pas sur les pavés. Je fourrerais mon nez partout où ça sent drôle, Partout où ça sent bon, Et même où ça ne sent Ni l’œillet ni la rose. Il me faudrait tout ça pour qu’un enfant m’écrive Et me nomme poème. Des bouquets d’émotions Des tas de

plus en plus. Il est fasciné par sa capacité à être une épouse accomplie, sachant aussi bien tenir son ménage, que dessiner, jouer du piano, organiser de belles réceptions. Seulement, sa femme doit faire face à l’ennuie devant un mari dépourvu de mystère et de raffinement.-La mère de Charles est jalouse et hostile envers Emma- À la fin de septembre, pourtant, un événement vient rompre la monotonie de son existence : les deux époux sont invités à un bal à la Vaubyessard, chez le Marquis d'Andervilliers

splendeur, Plus il me ferait honte, et mettrait en lumière Le crime d'en avoir dépouillé l'héritière. NÉRON C'est de ses intérêts prendre beaucoup de soin, Madame ; et l'amitié ne peut aller plus loin. Mais ne nous flattons point, et laissons le mystère : La soeur vous touche ici beaucoup moins que le frère, Et pour Britannicus... JUNIE Il a su me toucher, Seigneur ; et je n'ai point prétendu m'en cacher. Cette sincérité, sans doute, est peu discrète ; Mais toujours de mon coeur ma bouche

BritannicusBRITANNICUS Tragédie II À Monseigneur le duc de Chevreuse Monseigneur, Vous serez peut-être étonné de voir votre nom à la tête de cet ouvrage ; et si je vous avais demandé la permission de vous l’offrir, je doute si je l’aurais obtenue. Mais ce serait être en quelque sorte ingrat que de cacher plus longtemps au monde les bontés dont vous m’avez toujours honoré. Quelle apparence qu’un homme qui ne travaille que pour la gloire se puisse taire d’une protection aussi glorieuse que

prix d’une incroyable galère qui lui fait passé dix-huit mois dans le camp de Miranda de Ebro , en Espagne . Après un entraînement redoutable , il débarque le 6 juin 1944 avec le commando Kieffer . «  Avant Guerre , nous étions des garçons sans mystère , mais aujourd’hui … La moitié de l’Unité a été recrutée parmi les gars de la pêche et du commerce : ce sont des Bretons , venus la plupart pour la mer . Ils ont vécus en Angleterre exactement comme ils l’auraient fait chez eux . Venus au Commando

ne l'intéresse pas. Les barricades lui ont cependant inspiré un poème-fleuve : Le peuple, son nom, sa gloire, sa force, sa voix, sa vertu, son repos publié en août 1830 dans le Mercure de France du XIXe siècle[9]. Il publie encore un pamphlet : Nos adieux à la Chambre des Députés de l'an 1830 ou, Allez-vous-en vieux mandataires, par le Père Gérard, patriote de 1789, ancien décoré de la prise de la Bastille (...) et En avant, marche! Publiés dans Le Cabinet de lecture le 4 mars 1831. Gérard a surtout

suite l’accent sur l’étrangeté de ce rêve, de cette femme, qui revient « souvent » mais dont on ne sait rien (« Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant »). Le poème est de plus construit sur des contradictions qui renforcent ce sentiment de mystère. Dans la strophe 2, par exemple, Verlaine semble être très proche de cette femme,  comme si il la connaissait par cœur. Pourtant, il ne sait rien d’elle, elle reste inconnue, même si elle est « chère » à son cœur, on ne sait rien de son physique.

JULIETTE. - Allons, fenêtre, laissez entrer le jour et sortir ma vie. ROMÉO. - Adieu, adieu ! un baiser, et je descends. (Ils s'embrassent. Roméo descend. ) JULIETTE, se penchant sur le balcon. - Te voilà donc parti ? amour seigneur époux, ami ! Il me faudra de tes nouvelles à chaque heure du jour, car il y a tant de jours dans une minute ! Oh ! à ce compte-là, je serai bien vieille, quand je reverrai mon Roméo. ROMÉO. - Adieu ! je ne perdrai pas une occasion, mon amour, de renvoyer un souvenir. JULIETTE

Le Premier Homme | |1 Luc PLAMONDON, Monopolis |7 Vincent HYPSA, L’éponge en porcelaine | |2 Didier DAENINCKX, Le Jeu-Mystère |8 CHATEAUBRIAND, Mémoires d’Outre-Tombe | |3 Collin HIGGINS, Jean-Claude CARRIÈRE, Harold et Maude |9 LA BRUYÈRE, Les Caractères