Adieu Tristesse

sentiment de tristesse, de solitude. Il se révolte sur les muets, les lâches. l’auteur nous dévoile sa pensée A peine défigurée Adieu tristesse Bonjour tristesse Tu es inscrite dans les lignes du plafond Tu es inscrite dans les yeux que j'aime Tu n'es pas tout à fait la misère Car les lèvres les plus pauvres te dénoncent Par un sourire Bonjour tristesse Amour des corps aimables Puissance de l'amour Dont l'amabilité surgit Comme un monstre sans corps Tête désappointée Tristesse beau visage

aussi qu'ils sont disposés en gradation descendante. Les premiers poèmes portent sur la guerre puis le sujet devient plus concret sur les sentiments ( tristesse, regrets, malheur, désespoir etc … ) pour enfin finir avec des poèmes sur la Paix. Pourquoi ai-je choisi le thème de la Guerre ? Il est bien de parler d'amour, de joie, de tristesse, de sentiments de tous les jours. Moi, je vous parle d'un sentiment que, pour la plupart d'entre vous n'est connu. Imaginez-vous, fusil à la main, face

auparavant. Mon maître me dit ceci et je senti de la culpabilité monté en moi et je me dis que moi aussi je devais accepter le départ de ma maîtresse. -Je te dis adieu, Raymond et je te remercie encore pour tout. Quand il me dit ceci je senti dans sa voit comme des larmes de tristesse et aussi de joie. Je pouvais expliquer ses larmes de tristesse, mais ses larmes de joie m’été inexplicable mais j’allais vite les comprendre. -Je veux venir avec vous. Je veille sûr vous depuis votre enfance, je dis ceci

L'automne est une saison qui inspira de nombreux poètes. Pour beaucoup d'entre eux, l'automne est synonyme de mélancolie et de tristesse et leur permi d'écrire de vrais chef d'oeuvre. Baudelaire, notamment, était féru de poèsie sur le thème de l'automne : dans son recueuil Les Fleurs du Mal, plusieurs poèmes traitent de l'automne. Verlaine était également un poète qui s'inspirait de l'automne. Tous deux ont d'ailleurs écrit deux poèmes, Chant d'automne pour erlaine, qui ont de nombreuses similitudes

vent désoriente tes points de vue, car la vie pour nous se sont les changements On aime, on aime plus, on se sent bien, on se sent mal, du bien-être, on passe au mal être Des pleurs, on passe à la joie, de la joie aux larmes de tristesse, puis des larmes de tristesse aux larmes des éclats de rire la vie La vie quoi, la vie n'est pas la même pour tous, a bas la démagogie, on ne nait pas tous égaux On ne s'engage pas dans la bataille de la vie avec les mêmes armes Car la vie c'est les pauvres

Marceline  DESBORDES-VALMORE  Tristesse Si je pouvais trouver un éternel sourire, Voile innocent d'un coeur qui s'ouvre et se déchire, Je l'étendrais toujours sur mes pleurs mal cachés Et qui tombent souvent par leur poids épanchés. Renfermée à jamais dans mon âme abattue, Je dirais : " Ce n'est rien " à tout ce qui me tue ; Et mon front orageux, sans nuage et sans pli, Du calme enfant qui dort peindrait l'heureux oubli. Dieu n'a pas fait pour nous ce mensonge adorable, Le sourire

qu’ils soient réunis au paradis : « Je m’en vais le premier vous préparer la place ». Quelques mots font référence à l’amitié dans le poème : consolant, compagnons, amis. Une anaphore décrit bien la tristesse ressentie par l’auteur à l’idée de se séparer de ses amis : « Adieu, chers compagnons! Adieu, mes chers amis! ». La répétition employée démontre à quel point ses amis ont de l’importance pour lui. L’expression « me consolant au lit » peut être interprétée. Elle prouve à quel point les amis de

joie et la mort. Explication du texte : Dans ce poème Hugo ne donne aucune indication sur le lieu , mais on peut remarquer une atmosphère de joie en confusion avec le désespoire . On y trouve le champs lexical de la souffrance avec les mots " Adieu ! " " regret" " larme"... Cependant on peut relever le champ lexical de la joie ; " heureuse " , " bonheur " , " sourire " . Il exprime un ordre avec la phrase " Sois son trésor , ô toi qui fus le nôtre " qui peut aussi se référer au souvenir . On

spécialistes, plein d’espoir, pour qu’on leur dise le contraire. Comme non découvert pendant la grossesse dans le cas présent, ce handicap apparait comme inacceptable, inadmissible. Puis, plusieurs sentiments vont s’entremêler : on navigue entre tristesse, dépression, culpabilité, ou même colère contre le corps médical. Mais heureusement, tout doucement, l’équilibre se rétablit, et on commence à se rendre compte des bons côtés, on sait profiter des moments agréables, on construit une relation avec

ce triste moment. En effet, l’accompagnement de mon cousin tout au long de sa douloureuse maladie a été une épreuve pour tous ses proches et nous avons tous eu de la peine de l’avoir vu souffrir et s’en aller petit à petit. Comment te dire notre tristesse de te voir partir ? Notre deuil va être long, comment oublier une personne comme toi, Anthony. La mort t’a emporté trop vite toi qui aimais tant la vie. Tu n’as pas eu le temps de la faire, les projets que tu me disais en étant petit et encore