Adieux Hector Homere

histoire est le songe d'un rêve" (Gabriel, incarné par Philippe Noiret, dans le film de Louis Malle) 2. présenter un texte complémentaire (exposés d'élèves) Liste des textes complémentaires Textes antiques TEXTE 1 : Homère, Iliade, extrait du chant XII TEXTE 2 : Homère, Odyssée, invocation à la Muse TEXTE 3 : l’apologue de Tchouang-Tseu TEXTE 4 : Ancien Testament, Genèse, 11, La Bible de Jérusalem -la tour de Babel TEXTE 5 : Platon, extrait du Ménon 80d1, 86d2 -la duplication du carré

notre Front, ou encore le triste cheminement à travers les tranchées ? », se demande le narrateur de La Femme Assise, répondant ainsi à une longue tradition littéraire née avec la guerre, depuis l´antiquité et le célèbre poème épique chanté par Homère dans l’Iliade, jusqu’au XXème siècle et la profusion des écrits de tout genre dénonçant les atrocités des deux guerres mondiales et leurs conséquences postérieures. Cependant, si les œuvres qui écrivent et décrivent la Grande Guerre ont pour principale

Des Autels, La Péruse, Muret, Amyot et Dorat. 6Au troisième siècle avant Jésus Christ, sous Ptolémée II Philadelphe, lointain ancêtre de Cléopâtre, sept poètes se regroupent : Apollonios de Rhodes, Aratos de Soles, Lycophron, Philiscos de Corcyre, Homère le jeune, Nicandre de Colophon et Théocrite. 7Ce sont elles qui donnent leur nom à la constellation : Alcyone, Astérope, Céléno, Électre, Maïa, Mérope et Taygète. 8 Pierre MESNARD, « Introduction », Lumières de la Pléiade. Derrière son soleil

devant le tombeau des Capulet pour voir Juliette une dernière fois. Devant le caveau, il rencontre Pâris, et le tue en combat singulier. Il regrette cette situation qu'il n'a pas voulue. Après avoir ouvert le tombeau et découvert le corps, il fait des adieux déchirants à Juliette, l’embrasse, et avale le poison. Juliette, se réveillant, découvre, horrifiée, le cadavre de Roméo gisant sur son sein. Frère Laurent, accouru dès qu'il fut au courant du contretemps, tente de l'entraîner hors du caveau. Elle

voleurs pénétraient. Il est vrai que j'étais armé. Mon père m'avait raconté l'Iliade et l'Odyssée, la Chanson de Roland et diverses autres épopées d'où je sortais bouillant, impétueux et héroïque. J'étais tour à tour Roland furieux ou le magnanime Hector. Avec une épée de bois je livrais aux Grecs ou aux Sarrasins, que figuraient les buissons, des combats meurtriers, dont pâtissaient quelquefois de paisibles choux et d'inoffensives betteraves que je taillais en pièces. Mes armes m'étaient fournies

- Paris : Laffont, 1985. MALONE (Thomas X.) - What Makes Things Fun to Learn. - Palo-Alto : Xerox Palo Alto Research C, 1980. MARCHAND (Marie) - L’interactivité mode d’emploi. - Paris : Centre Pompidou (CNCA), 1986. MATTELART (Armand) - SCHMUCLER (Hector) - L’ordinateur et le tiers monde. - Paris : La Découverte, 1983. MERCIER (P.A.) - PLASSARD (F.) - SCARDIGLI (V.) - Société digitale. Les nouvelles technologies au futur quotidien. - Paris : Seuil, 1984. METAYER (Gérard) - Futurs en tique (bureautique

Royaux, chansons et autres telles épiceries [épices] qui corrompent le goût de notre langue» (II, 4). Il approuvait les petits genres antiques (épigrammes, élégies, églogues, épîtres, satires), mais à condition d'imiter sur ce point les Anciens (Homère, Pindare, Horace, Virgile) qui les ont pratiqués dans toute leur pureté. Surtout, il recommandait les grands genres antiques : «Chante-moi ces odes, inconnues encore de la Muse française, d'un luth bien accordé au son de la lyre grecque et romaine

histoire, se recomposaient un passé. Ils vivaient ! n’avaient jamais cessé de vivre, se découvraient, même à travers mes ans d’étude, une vie latente et rusée.   Je ne fis aucune rencontre ce jour-là, et j’en fus aise ; je sortis de ma poche un petit Homère que je n’avais pas rouvert depuis mon départ de Marseille, relus trois phrases de l’Odyssée, les appris, puis, trouvant un aliment suffisant dans leur rythme et m’en délectant à loisir, fermai le livre et demeurai, tremblant, plus vivant que je n’aurais

recomposaient un passé. Ils vivaient ! n’avaient jamais cessé de vivre, se découvraient, même à travers mes ans d’étude, une vie latente et rusée. – 34 – Je ne fis aucune rencontre ce jour-là, et j’en fus aise ; je sortis de ma poche un petit Homère que je n’avais pas rouvert depuis mon départ de Marseille, relus trois phrases de l’Odyssée, les appris, puis, trouvant un aliment suffisant dans leur rythme et m’en délectant à loisir, fermai le livre et demeurai, tremblant, plus vivant que je n’aurais

l'ami, assis en face de lui, contemple la nécessité inflexible et la volonté prise en ses propres chaînes. En cette forme libre, en ce chant, en ce repos, en cette trompeuse paix. Tant de sang au bout de ces doigts musiciens, les captifs massacrés, Hector traîné, Priam suppliant, toutes les suites d'un affront cuit et recuit dans le silence. Aveugle vengeance ; et la scène circonscrit de loin notre sagesse aussi, puisque la machine politique reprend les passions et les soumet à ses fins. Sentiments