Adjectif indéfini

gRammaIRE méthode 1 Comment analyser un mot ou un groupe fonctionnel ? on identifie la classe  grammaticale s’agit d’un mot, on cherche s’il est variable (nom, adjectif, pronom...) ou invariable (adverbe...). S’il s’agit d’un groupe de mots, on cherche si son « noyau » est un nom (GN), un adjectif (groupe adjectival), un infinitif (groupe infinitif), etc. ⦁⦁ Si le mot (ou groupe de mots) est variable, on repère son genre et son nombre. Exemple : Juin est mon mois préféré. mon mois préféré

.................................. p. 4 GR 3 les articles…………………………………………………………... p. 5 GR 4 les possessifs………………………………………………………... p. 6 GR 5 les démonstratifs…………………………………………………… p. 7 GR 6 les pronoms personnels……………………………………………. p. 9 GR 7 les indéfinis…………………………………………………………. p. 10 GR 8 les équivalents de « on »…………………………………………… p. 11 GR 9 les relatifs…………………………………………………………… p. 12 GR 11 distinguer por et para…………………………………………….. p. 13 GR 12 comparatifs et superlatifs………………………………………… p. 13 GR 13 l’apocope…………………………………………………………

GRAMMAIRE Méthode 1 Comment analyser un mot ou un groupe fonctionnel ? On identifie la classe  grammaticale s’agit d’un mot, on cherche s’il est variable (nom, adjectif, pronom...) ou invariable (adverbe...). S’il s’agit d’un groupe de mots, on cherche si son « noyau »  est un nom (GN), un adjectif (groupe adjectival), un infinitif (groupe infinitif), etc. ⦁⦁ Si le mot (ou groupe de mots) est variable, on repère son genre et son nombre. Exemple : Juin est mon mois préféré. mon mois

registre affectueux est hypocrite. Il se met au même niveau que les autres : Les modalisateurs : Il se place en position d’infériorité par rapport au ciel, donc au même niveau que les autres, il fait preuve de solidarité : - Emplois des pronoms et adjectif 2e personne du pluriel : « nos pêchés » ; « nous… » Il évoque des causes religieuses aux malheurs qui les frappes : « ciel » ; « nos pêchés » ; « coupable » ; « célestes courroux » Il est nécessaire de payer pour les fautes et donc de trouver

les mains, reçut l'échelle, la serra dans (ses) bras, et cria: - Vive (la) (République)! Exercice 3 :inventez des phrases en suivant la structure indiquée 1.déterminant+adjectif+nom+verbe d'action+déterminant+nom 2.pronom+verbe d état+déterminant+nom+adjectif 3.déterminant+nom+pronom+verbe 4.déterminant+adjectif+nom+adjectif+verbe+déterminant+nom exercice 1 : 1. « la »est un déterminant.C'est un article défini au féminin singulier « la » est un pronom.C'est un pronom personnel à la 3ème personne

opposés les uns aux | |autres : " d'allure un peu lourde / le dos bombé / les mouvements lents et précis / l'air tranquille et entêté ". On | |remarque la symétrie des deux derniers substantifs (mouvement, air), suivis tous deux de deux adjectifs épithètes | |coordonnés. | |C’est le regard de Thérèse qui anime la description de Laurent. Elle, qui n’a vécu qu’entourée de

[en] qui montre le côté répétitif + rythme ternaire (4/4/4) -> cycle qui se répète + lenteur qui montre la routine le titre avec le déteminant possessif "mon" qui montre la proximité, l'intimité + adjectif "familier" = connu, habituel b) Un rêve énigmatique paradoxe entre familier et les deux adjectifs "étrange" et "pénétrant" Un rêve difficile à décrypter pour le lecteur et pour le poète : poètre au centre du poème avec la 1ère perspnne, il est donc sujet du rêve "je" mais aussi objet "m'" v2-3-4-5

qui entraîne le lecteur. Nous verrons aussi que cet espace décrit est un espace répugnant dans lequel semble régner une forme d’immobilisme. 1. Une description autonome qui entraîne le lecteur : Le paragraphe s’ouvre par le pronom indéfini « on », c’est donc une instance imprécise et indéterminée qui régit l’action, nous faisons face à une absence de personnage ; le lecteur peut donc être considéré comme inclus dans ce « on » et donc pris en compte mais aussi pris à parti, forcé de

sont-elles décrites pour elles-mêmes ? Que symbolisent les fenêtres ? Axe 1 : la fenêtre symbolise l’altérité a. La description de la fenêtre Dans le premier paragraphe, on a une portée générale avec le pronom démonstratif « celui qui » et le pronom indéfini « on ». Cela suggère que l’expérience décrite est possible et valable pour tous. La portée générale est appuyée par l’utilisation du présent de vérité générale dans le premier paragraphe. Ce premier paragraphe présente donc, de façon générale l’observateur

l’expression « nos concitoyens ». (Pronom inclusif) La 2nde partie (suite et fin de l’extrait) correspond à la description de l’apogée de l’épidémie. Cette fois, la présence du narrateur se fait bien plus discrète comme le prouve l’emploi du pronom indéfini « on ». Cette distance vis-à-vis des événements, cet anonymat renvoie à l’anonymat dans lequel sont plongés les habitants : il ne peut y avoir de parole singulière pour évoquer un destin commun… Ainsi, aucun personnage n’apparaît dans cet extrait