Adjectif possessif

« désir » présent à la fois au dernier vers du poème, mais également au vers 6. Ce dernier vers clôt donc le poème. Nous pouvons encore noter la présence du présent gnomique qui confirme le fait qu’il s’agit bel et bien d’une morale. De plus, le pronom possessif « notre » permet une généralisation qui englobe le lecteur.

nuances de la pensée. Une langue est composée de mots remplissant différentes fonctions que les anciens grammairiens appelaient « parties du discours ». Comme le dit Humboldt, les pronoms ont été les éléments les plus précocement isolés, le pronom possessif surtout qui apparut avant même le pronom personnel. Dans tout dialogue, on peut constater trois entités. L’inégalité qui distingue celles-ci est géométriquement marquée dans l’espace par l’importance décroissante que le moi, trônant au centre de

est interne. Le personnage principal qui est aussi le narrateur nous livre toutes ces pensées, nous connaissons tout du déroulement de son voyage : « J’ai pris l’autobus à deux heures ». Nous pouvons de plus constater la présence de déterminant possessif tels que « m’excuser », « ma faute » ou encore « mon patron ». Dans l’œuvre de Julien Gracq, celui-ci écrit aussi en point de vue interne. De ce fait nous découvrons de la même façon que le personnage les lieux qui l’entourent : « Il s’aperçut qu’il

parle de soi-même. Notez qu'il peut s'utiliser aussi bien après un nom de famille qu'un prénom. © www.ici-japon.com Cours de japonais 1 Page 2 G RAMMAIRE ※ La particule の: le possessif Il n'existe pas en japonais d'adjectifs possessifs comme "mon", "ma", "tes" etc. Pour exprimer le possessif, on utilise le sujet suivi de la particule の (no) qui signifie "de". 私の本です。 Watashi no hon desu. C'est mon livre. / Ce sont mes livres. (lit. de moi livre(s) c'est) Attention: le singulier/pluriel

Le poète fait ici des suppositions (modalisateur « peut-être »). Le rêve surgit : le JE rêve de bonheur. - Idée d’une réciprocité « dont le cœur au mien répondrait »/ motif de l’âme sœur - Métaphore de la nuit profonde - Le déterminant possessif « ma » traduit la solitude du JE - Cette femme est susceptible de transformer la vie du JE en lui permettant de passer de la nuit à la lumière - Le verbe « éclaircir » suggère aussi le coup de foudre, la fulgurance de cet amour. - Le point

gaieté végétation évoquent des moments heureux entre tous ces personnages. Bilan : On peut dire que ce tableau est autobiographique à cause du titre et, en particulier, à cause de l’emploi de la première personne sous la forme du déterminant possessif mes et du pronom moi. Comme toute œuvre autobiographique, ce tableau raconte le passé de l’artiste en étant fidèle à la réalité, mais tout en reconstruisant ce passé : il présente l’artiste comme l’enfant de l’amour et du mariage, le symbole d’un

60            65  troisième trait de caractère : Lantier est égoïste. Il ne s’intéresse ni à ses enfants  ni  à  son  épouse,  sinon  lorsque  Gervaise  s’approche  de  la  « malle »  (22)  du  couple ou de « son linge » (57). Le pronom possessif qui apparaît alors montre  clairement au lecteur que rien ne déclenche de réaction chez lui que ce qui le  concerne directement, voire ce qui lui appartient. C’est sans doute un regard de  propriétaire qu’il porte sur Gervaise à la ligne 15, lorsqu’il regarde « tout le nu 

ordre. c) Une situation embarrassante : les conséquences du vol -embarrât de la princesse de Clèves -> Champs lexical des sentiments -> figure de style : litote (l.25) atténuation d’un propos pour l’exagérer. -> déclaration d’amour (l.27) pronom possessif « sa » (l.28) est ambigüe car on ne sait pas si c’set la passion de la princesse ou du duc - agitation dans le palais ->rythme ternaire (trois temps) l.39 à 40 « on trouvait, on ne soupçonna, on crut ». Rythme saccadé accentué par les verbes d’actions

poète  accepte  son  devoir  militaire  et  c’est  très  discrètement  qu’il  évoque  sa  situation  de  simple soldat : s’il mentionne l’arme  à laquelle il appartient (l’« artillerie »,  avec  une  légère  touche  patriotique  apportée  par  le  possessif  « notre »,  v. 5),  il  se  fond   dans  la  foule  de  ses  camarades  (recours  au  pronom  personnel  indéfini  « on »)  qui, eux aussi, attendent des nouvelles de leurs proches.    Un « adieu » inquiet : prémonition ?    ­ Les moments de 

finit par "masu", le "u" final ne se prononce pas.• Dans le cas des mots finissant par "ei" comme gakusei, prononcez le "ei" comme un long [è].  ※ La particule の: le possessifIl n'existe pas en japonais d'adjectifs possessifs comme "mon", "ma", "tes" etc.Pour exprimer le possessif, on utilise le sujet suivi de la particule の (no) qui signifie "de".- 私の本です。 - Watashi no hon desu.- C'est mon livre. / Ce sont mes livres. (lit. de moi livre(s) c'est) Attention: le singulier/pluriel n'existe pas en