Adjectif possessif

(vers 10) on sait juste qu’il est doux et sonore. Ce rêve est à la fois familier comme nous le montre le titre, mais il est aussi étrange et pénétrant comme nous le montre le vers 1 ce qui mène à une contradiction. Verlaine utilise le pronom possessif « mon » au vers 5 et 7. Ce pronom nous montre que l’auteur est le personnage principal de ce poème. Le temps des verbes de ce poème est le présent, sauf au vers 11 et 14 où les vers sont au passé. Dans ces deux vers on peut distinguer l’élément

« ailes » (v. 8) ; « bateaux » (v. 9), « chasseurs des bruits et sources de couleurs » (v. 10). De même, la subjectivité ponctue la situation d’énonciation à travers l’emploi du pronom personnel « je » (v. 4) et « m’ont » (v.5) et du déterminant possessif « mon » (v. 1, 15), mettant en exergue la nécessité et la puissance de la femme à l’égard d’Eluard. S’il y a peu d’éléments descriptifs de l’œil, Les yeux de cette femme ne sont donc pas simplement des yeux physiques, mais des yeux à travers lesquels

Winnie est le personnage principal, on peut le voir notamment grâce au déterminant possessif « me » l.3, l.37 etc mais aussi « mes » l.32 ou bien grâce au pronom « je » répété tout le long du texte l.1, l.21 etc. De plus Winnie posent des questions rhétoriques mais s'adresse aussi à son compagnon Willie. Dans le deuxième extrait Leslie est le personnage le plus important on s'en aperçoit grâce au déterminant possessif « me » l.5, l.6 etc ou encore grâce au pronom « je » et « il » présent tout le long

est composé de sept quatrains en alexandrins. I. UN AUTOPORTRAIT 1. Un poète intermédiaire entre Dieu et les Hommes « je », « nous » Le poète s’exprime à la première personne du singulier et à la première personne du pluriel « Me » Déterminant possessif « mon », « ma » Ce poème à un caractère autobiographique La « voix » « bouche » champ lexical de la parole, la parole pour s’élever contre le tyran Métaphore « sous le sac de cendre » met en valeur La censure Référence à un prophète car sac et

paparcat ». Nam significavit nisi majores Carthargienses funditus sustulissent, rem publicam romanam prospere, non processuram fuisse. Tandem dixit : « Si cives mihi nunc obtemperarent, si non optimam, at aliquam rem publicam haberemus. L’adjectif possessif réfléchi et non-réfléchi Plinius avinculi sui mortem narrat = REFLECHI DIRECT Plinius narrat avunculum suum venisse in litus = REFLECHI INDIRECT Pater amat suum filium, at vitia eius reprehendit = NON-REFLECHI Pater liberos suos amat

grammaticaux Les homophones grammaticaux sont des mots qui se prononcent de la même façon, et que la connaissance des règles de la grammaire permet de différencier. Les homophones grammaticaux : son / sont « son » est un déterminant possessif ; il est placé devant un nom. Il peut être remplacé par le pluriel « ses ». Exemple : Aujourd'hui, Pierre a emporté son parapluie. « sont » vient du verbe « être » au présent, à la 3ème pers. du pl., ou l’auxiliaire « être » d’un verbe au

………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… resta à l’écart. Ce policier-là était courageux et ce policier-ci était lâche. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… 5) Supprime la partie de phrase soulignée et inscris le déterminant possessif qui convient. 6) Dans le texte suivant, évite la répétition du mot « fils » en utilisant les différents procédés de reprise (anaphores). Un père avait deux fils. Son premier fils était intelligent et sportif

dans l'évocation qu'il en fait, on a parfois l'illusion que, malgré la mort, le dialogue avec sa compagne est encore possible. Le poète emploie très souvent les pronoms personnels de la première et de la deuxième personne ainsi que l'adjectif possessif : "mon passé, mes dépens, en moi" ; "tu l'as faite", "disais-tu" ; "notre vie", ce qui appuie l'aspect très intime et personnel du texte. • Ainsi on a l'anaphore de "notre vie" qui oppose la vie à deux à la solitude présente de l'auteur. • On

qui » v1 et v5, 6) passe à une réflexion personnelle du poète (« je », « me », « mes » v13 et 14) ce qui montre que la dernière strophe du poème est une chute et que ‘il y a une révélation. L’adresse à l’être aimé se remarque par l’emploi du pronom possessif « ton » (v13) * Exercice de style, poème très travaillé : 1 strophe = 1 phrase = 1 idée Alexandrins tous sans enjambements (sauf v6 v7) ni rejets ce qui renforce la binarité du texte. Emploi de nombreux procédés de répétition : - anaphore

moyen de pression - "mais" (marqueur d'opposition) -> l'éfficacité de la stratégie de Lisette - "je ne saurais m'enpêcher de" (négation réstrective) -> mise en valeur des sentiments de Lisette -" notre communauté", "engagement", "autrement" (adj. possessif) -> l'argent de la condition de l'amour III. Une scène de comédie. a) Le comique de situation. " tel est pris qui croyait prendre" Turcaret veut s'élever dans la société en exploitant les faiblesses du système et Frontin effectue la même chose