Adjectif possessif

du bonheur de chacun » (l 25, 26) 2. Pour Rambert, un personnage égoïste Conception plus personnelle du bonheur. Chacun doit faire passer ses sentiments avant ceux des autres, et c’est ce que Rambert met en pratique. cf nombreux adjectifs possessifs « mon point de vue » (l 7) ; « mon amour » (l 22) ; « mon bonheur » (l 27) + P1 omniprésente + gradation croissante à caractère égocentrique « songez-vous une seule fois à moi, à ma détresse, à mon cœur brisé ? » (l 28, 29) Montre l’égoïsme

angoissé (« éperdu », « peur », « tressaillement »), irritable (chp lexical de la colère), brusque (rythme irrégulier de la course), solitaire (« et sa surprise fut extrême »), faible estime de soi (association expression liée à la colère et pronom possessif « une colère de son essoufflement »), passionné par son art (« artiste », « amoureux ») => description morale qui influe sur la représentation physique que se fait le lecteur. B. Une jeune femme, Christine * Apparence : esquissée ; « grande

« aimez-moi » (vers 6). Il s’agit d’une forme insistante d’invitation à aimer destinée à Marie. Le poète utilise pour atteindre son but non seulement du vocabulaire précis, des formes verbales particulières mais aussi il choisit des pronoms et des adjectifs possessifs pour créer du lien entre lui et Marie. Il alterne les pronoms personnels « vous » , « moi » et « je » créant ainsi un va et vient entre lui et Marie. On trouve ainsi les formes   « que je n’aimerai point,.. (V14), « aimez-moi » (V1 et

Introduction (voir fiche introductions) I. Déclaration d’amour 1. Présentation du couple Présentation de 2 personnages : le poète et sa femme Emploi du pronom « nous » dans le poème (sauf fin) => couple uni Femme idéalisé (métaphores, vocatif, adjectif possessif) 2. Promenade amoureuse ? Atmosphère bucolique (champ lexical nature) Evocation promenade (« sentier ») Nature propice à l’amour (très positive, belle) Le poème semble s’inscrire dans la tradition des poèmes amoureux Donc, un effet plus

parole sensée : avoir du bon sens A travers la liste de mot : on va devoir lister leurs homonymes (homographe ou pas), donner leur classe grammaticale, les réemployer dans les phrases de notre choix : ça : pronom démonstratif : sa (déterminant possessif), çà : adverbe de lieu cela : pronom démonstratif : ceux-là : pronom démonstratif au masculin pluriel ces : pronom démonstratif : ses : déterminant démonstratif, c'est : s'est (forme réfléchi), sait dans : préposition : dent, d'en : combiananison

philosophie contre les attaques dont elle est la cible, l'auteur fait d'abord un portrait du non philosophe. Celui-ci est décrit comme un « prisonnier » dans un « monde » borné, « fini ». Il est attaché à « son temps et à son pays », l'anaphore de l' adjectif possessif « son » reflète bien les chaînes qui emprisonnent cet homme. L'homme non « teint(é) de philosophie » subit la « tyrannie de l'habitude ». Cette personnification de l'habitude doublée d'une hyperbole évoque une autorité oppressive et autoritaire

la locution « d’autre part » ; lorsque l’on souhaite énoncer trois arguments, on peut utiliser les locutions : « tout d’abord », « ensuite », « enfin ». – selon le bon usage typographique, on ne termine pas une ligne sur une apostrophe. L – adjectif + nom –> l’accord s’impose de la même manière. Exemple : « des bassescours » ; en revanche, l’adjectif « demi » demeure invariable : « des demi-pièces » ; – mot invariable + nom –> on accorde le nom seulement. Exemple : « des avantscènes » ; – verbe

promettais tant qu' a véçu son père" . l' adjectif possessif " son " désigne Hector , un père que Astyanax a déja et de ce fait il n' en a guère besoin d' un autre! Le " non " qu' elle formule ensuite a pour fonction d' indiquer à pyrrhus qu' il peut d' emblée d' oublier ce qu' il veut et que jamais elle le pardonnera. les " sacrés murs " qu' elle décrit ici sont ceux de Troie c' est une synecdoque pour rapeller a pyrrhus les maux qu' il a fait. L' adjectif possessif " Mon " Hector et aussi la marque d'

les mains ballantes » et ce manque de confiance de confiance se traduit aussi par sa personnalité angoissée, sa « peur » est retranscrite par son « tressaillement » et sa dévalorisation par l’emploi d’une expression lié à la colère avec un pronom possessif (« une colère de son essoufflement »). Zola dans cette œuvre se met dans la main du peintre solitaire (il ne s’attend pas croiser du monde «sa surprise fut extrême ») tourmenté passionné par son art (« amoureux ») jusqu’à « s’oublier à roder »,

introduisant à chaque fois une relative à partir de l’impératif « fais que » (l.6).  Enumération qui s’enfle pour évoquer les différences entre les hommes avec la reprise de la préposition « entre » agrémenté chaque fois d’un adjectif indéfini, d’un adjectif possessif et d’un couple substantif/épithète (« entre tous… », l.8-9).  Acmé (le plus haut degré d’intensité de l’amplification) atteinte dans la péroraison (fin d’un discours) avec la modalité exclamative (l. 20 à 22).  Dernière phrase