Adjectif possessif

blonde". 1. b. Les deux procédés d'écriture employés pour valoriser la femme adorée sont l'emploi du superlatif (hyperbole) et l'emploi d'exclamatives. 2. a. Un synonyme de "mortel" est "fatal". Un synonyme de "exquis" est "délicieux". Ces adjectifs sont des antonymes, des contraires. 2. b. Cyrano présente dans ces deux vers l'amour que lui inspire cette femme : sa beauté est en fait un piège qui le perdra. Cela signale le caractère ambivalent de tout bonheur humain. Derrière la beauté se

est « tout le reste » (l.15) qui va être tué. Ceci appuie sur l’insensibilité du sultan (et du bourreau). Elle est aussi accentuée par le fait que les victimes soient des êtres humains et des animaux, qu’il y est le pronom possessif (« les siens » (l.20)) et que les adjectifs qui caractérisent quelques-unes d’entre elles soient mélioratifs : « douce brebis » (l.21), « bon vieillard intègre » (l.22) et « les faiseurs de bons mots » (l.24). Ainsi elles sont montrées comme inoffensives et innocentes

choses b) Pour décrire: C'est + article (un, une, le, la) + personne / chose Ce sont + article (les, des) + personnes / choses Ce sont mes amis. Ce sont mes stylos. C'est une chanteuse célèbre. Ce sont des livres intéressants. c) C'est + adjectif / adverbe  C'est ( sympathique / joli / charmant ) C'est ( trop / bien / beaucoup ) "Il y a + nom"   " Il y a " exprime la présence ou l’existence de quelque chose.   À la forme négative: Il n'y a pas DE Exemple : Dans le jardin, il y a des arbres

« sombre »et « ombre » viennent confirmer ce rapport . Par ailleurs, l'adjectif possessif « son » est source de réinscription de l'adjectif « sombre »( son et ombre donnent sombre). Rimbaud insiste sur son age «  très vieux », tellement qu'il a pris les « allures » des personnes qu'il a vues. Il a pris par mimétisme « cet air si bon des veilles gens ». Le passage d'un article défini « c'est » à un article posséssif « son » nous plonge dans une sorte d'intimité avec le meuble; il nous attire, nous

lexique de la souffrance « s’abime », « craint », « maux », « souffre », « brûle », « douloureux ». Par ailleurs, l’hyperbole « si fort douloureux » illustre cette peine. A la fin du poème, Pierre de Marbeuf s’adresse à une personne avec l’adjectif possessif « ton ». Le poète exprime sa plainte à la personne qu’il aime. Dans son poème, Claude Roy parle de ses sentiments. Les deux premières strophes sont autobiographiques. On relève ainsi l’omniprésence du pronom personnel de la première personne du

césure est marquée par une virgule après l’adverbe « hélas » exprimant la plainte, et donc les registres élégiaque et lyrique. Elle est l’expression d’une attente, d’une frustration liée à une coupure géographique. La présence du pronom « je » et du possessif « mon » exprime l’intimité du locuteur avec le « petit village », où l’adjectif petit est mélioratif puisqu’il s’agit d’un lieu à taille humaine, contrairement à Rome, la capitale, trop grande et imposante pour être accueillante. Le futur à une valeur

| Article | | Le, la, les, un, une, des | | Possessif | | Mon, ma, mes, notre, votre, leur, nos, vos, leurs | | Interrogatif | | Quel ?, quelle ?, quelles ?, quels ? | | Exclamatif | | Quel !, quelle !, quelles !, quels ! | | Démonstratif | | Ce, cette, ces | | Numéral | | Un, deux, trois, cent… | Adjectif | Il donne des renseignements sur le nom. | Une belle fille.

hypothèse montre ce que Basilide fait en telle circonstance, ce que va développer l'auteur à travers séries d'exemples qui accumulés vont illustrer exagération de Basilide et ainsi accentuer distance ironique « ni plus ni moins , car ses » avec le possessif et « avec » qui souligne avec ironie la logique des faux faits qu'il relate; c'est bien voix du moraliste ici. Et La B continue avec la comparaison «  comme celui qui est bien informé » qui est drôle. Ainsi souligne comment Basilide véhicule

la présence d' Oreste. Occurrence du "je", présence des adjectifs possessifs de la 1ère personne du singulier. "je" s'oppose à "tu" du pédagogue. Après la didascalie "(un temps)", "je" se transforme à la 3ème personne du pluriel. On note 2 groupes qui apparaissent: - "il y a des hommes qui naissent engagés" - "et il y en a d'autres des silencieux." A la fin de l'extrait, la 1ère personne du singulier réapparaît avec le pronom possessif "mes souvenirs" mis en évidence par l'italique. Opposition

sentiment personnel de Du Bellay, son attachement à son pays et plus encore à sa région natale. Car si le nom France est répété à deux reprises, c’est l’Anjou que le poète pleure plus particulièrement. On peut ainsi lire « mon Anjou » et cet adjectif possessif précède encore l’évocation de la maison : « ma maison ». C’est donc l’exil loin de ces lieux familiers, loin de ces lieux intimes, qui tourmente le poète.