Adjectif possessif

pas qu’on vous loue. » - L’injonction. Le registre didactique s’adresse très clairement à un destinataire qu’il s’agit d’instruire. La fonction injonctive du langage est donc nécessairement présente. Présence de la deuxième personne : Adjectif possessif : « vos écrits », v. 8 ; « vos plus grands excès », v. 9 ; « votre ouvrage », v. 25 ; … Pronom personnel : « vous me frappez d’un son mélodieux », v. 10 ; « ne vous piquez point d’une folle vitesse », v. 16 ; « craignez-vous… soyez-vous »,

l'intention de mettre la maison en état de siège suite à la lettre d'Agnès; on entend ses pas pesants dans l'escalier, on se le représente comme maître de la situation en pleine possession de ses moyens et sûr de ses décisions. "Son"  ("son jaloux") adjectif possessif, a dans ce contexte une connotation péjorative et ironique dans la bouche d'Horace. Il marque également une habitude: il s'agit du jaloux d'Agnès - "son jaloux" - qui expose Arnolphe à la moquerie ; il est dans cet extrait, pour la première

la présence du destinataire est marquee par les impératifs de la second personne du singulier (v1 laisse x3 anaphore. Viens v2 contente toi v6 attend v7 x2( anadiplose=répétition u début de la phrase du mot qui ferme la phrase precedente). Adjectif possessif ta x5 il créé un effet de martèlement venant d'un effet allitérant en dentales sourdes t contre ton v7. Le tu est apparant dans le premier tercet dans des énoncés constatifs (tu vois , tu ne vois que ) => un homme s'adresse a une femme, la

»attend l’ordre d’un père »v.20 marque l’opposition « ordre » - « choisir » + Elvire ne le nomme jamais que par des pronoms personnels. - Sa vaillance : « sa rare vaillance » v.45 en contre rejet avec insistance du « et », »hauts exploits » v.47 => adjectifs mélioratifs. - son orgueil : v.44 avec mise en valeur du pronom par le présentatif, les deux points introduisent l’explication avec la négation du v.46 + « aucune concurrence », »sans égal » v.47 qui rime avec « sans rival » et renforce l’orgueil

terrain inconnu. « Leurs doigts se confondirent ». On a donc, avec la dernière phrase de l'extrait l'union des deux personnages. On est passé de « sa main » à « leurs doigts ». L'union entre Emma et Rodolphe est donc établie à travers cet adjectif possessif « leurs ». C'est donc un discours lyrique avec des gestes délicats qui correspond à tout ce qu'attend Emma. Toutefois ce romantisme est tourné en dérision à cause du discours de Dorozerays. II) le réalisme Flaubertien: la dérision, la moquerie

-Lenteur (v.5-6) et enjambements qui traduisent une marche ininterrompue -Allitération en [p] au vers 1 montre la cadence sonorités dentale -Baudelaire souligne l’insécurité du voyage par les armes… Le participe passé "blottis" et le pronom possessif "les leur" montrent le caractère protecteur. -Tous ces personnages sont saisis dans leur animalité, rappelle le troupeau et des termes qui évoque des images qui n’appartiennent qu’aux animaux 2. Un paysage esquissé -Le regard du poète

naturellement que Candide rencontre ce fléau dès qu’il quitte le « paradis » (le château). Voir aussi la dénonciation d’un optimisme forcené. - Notion d’individualité et non de communauté qui régit les pouvoirs en place : pronom indéfini « chacun » et adjectif possessif « son » (l. 13) = les rois n’œuvrent pas dans l’intérêt commun ni pour le bien du peuple (pas d’accords possibles, pas de paix) + approximations (l. 4, 6, 8) liées aux pertes humaines « à peu près », « environ », quelques »= pas de considération

ivre et de sa folle odyssée maritime I°) Récit et signification d'un naufrage 1°) La métaphore du poète bateau. Un récit à la première personne Pronoms personnels sujets et compléments (v.2,8,...). Forme emphatique : « moi » (v.10, …). Adjectif possessif, singulier ou pluriel (v.7,13,...). → Mise en avant de la première personne. Récit d'une expérience personnelle. Un réseau de significations Association, au « je », d'expressions renvoyant au champ lexical du bateau : « ma coque de sapin

les deux personnages qui se dessine : même si ils sont tous les deux croyants du même Dieu , retrouve chez David un aspect plus calme que l'on ne trouve pas chez Joseph. - "ces paroles" =/= "ses paroles", utilisation d'un adjectif demonstratif au lieu d'un adjectif possessif = parôle de Joseph mises en valeur, ce ne sont pas les siennes mais des parôle en générale, comme si ce qu'il dit est général, comme s'il avait cité un passage de la Bible, donc ça donne de l'importance à ce qu'il dit, au fond

CAMUS, L’ETRANGER, Incipit   I. UN NARRATEUR ETRANGE   A. LE STATUT DU NARRATEUR   1. Un narrateur personnage   a. Omniprésence de la 1ère personne du singulier -         pronom, « je », l.1 etc… « me/m’», « me les refuser » (l. 5) -         adjectif possessif, « mon patron » (l. 5) -           b. Description de tous les événements par rapport à lui-même Il est à la fois sujet et objet de la narration.   2. Un narrateur interne proche d’un observateur extérieur La narration est limitée a. à des faits