Adjectif possessif

récit ? Comment s’appelle ce procédé ? Il n’y a pas de continuité mais rupture. Flaubert effectue un retour en arrière « un soir du mois d’aout ». ( elle avait 18 ans) Comment faut – il comprendre l’adjectif possessif «son » ? Elle avait eu son histoire d’amour… Cet adjectif possessif montre que l’amour qu’elle a failli avoir n’est pas réciproque. C’est uniquement « elle » qui a des sentiments. Il renvoie le personnage à sa propre solitude. Quelles sont les circonstances sociales qui ne permettent

naturellement que Candide rencontre ce fléau dès qu’il quitte le « paradis » (le château). Voir aussi la dénonciation d’un optimisme forcené. Notion d’individualité et non de communauté qui régit les pouvoirs en place : pronom indéfini « chacun » et adjectif possessif « son » (l. 13) = les rois n’œuvrent pas dans l’intérêt commun ni pour le bien du peuple (pas d’accords possibles, pas de paix) + approximations (l. 4, 6, 8) liées aux pertes humaines « à peu près », « environ », quelques »= pas de considération

la guerre. I- La valorisation de la guerre : un spectacle La guerre est présentée comme une vraie fête pour les yeux et les oreilles. Cela évoque un véritable spectacle qui se déploie sous les yeux du narrateur. On a le recours à quatre adjectifs élogieux précédés de l’adverbe d’intensité « si » : « si beau, si lest, si brillant, si bien ordonné ». On peut remarquer le crescendo rythmique au niveau des syllabes qui rappellent le crescendo en musique. La guerre se fait au son d’une fanfare

C’est probablement par manque de convenance entre le discours du trompeur et l’interlocuteur à qui il s’adresse que la supercherie échoue. Les vers 1 et 2 nous dressent un portrait du Coq, par l’utilisation de l’imparfait de description et les adjectifs « adroit » et « matois ». Le premier vers nous donne même l’attitude du Coq qui est « en sentinelle ». Ce sont donc les premières (et seules) informations qu’on a de l’animal. On comprend dès les premiers vers que la proie du tricheur n’est pas crédule

d’exposition Enonciation théâtrale Deux personnages sont présents sur scène même si dans l’extrait seul Sganarelle parle. ●Locuteur : Sganarelle : « je », « en moi » → pronoms personnels [ « en moi » sens plus fort], « mon » [adjectif possessif], « me » [cos] ●Destinataire : Gusman : « tu », « toi », « je t’apprends » → Il ne s’agit pas d’un monologue car la première et la deuxième personnes sont présentes et même réunies : « séparons-nous » ● Sganarelle fait des confidence

poème présentent peut-être les signes d’un lyrisme romantique. C’est ce que nous allons voir. – Un système énonciatif signe d’une écriture romantique ? La présence du Je Quatre occurrences du moi : trois pronoms personnels et un adjectif possessif « ma ». L’anaphore vient renforcer la présence du Je. Les Romantiques s’expriment bien souvent de façon lyrique tel que Victor Hugo le fait ici, mais le poète passe humblement après la Nature, à laquelle il a consacré les trois autres quatrains

vous 8 B. L’EXPERIENCE AMERICAINE géolocalisation : ville capitale économique des Etats-Unis « New-York ! Manhattan ! » l.15 la ville qui ne dort jamais du jour a la nuit éclipse du soleil 4/ nuits 15 interpellation apostrophe + tutoiement + adjectif possessif ta beauté 1 tes yeux de métal =>familiarité + intimité comme avec une femme C. REACTIONS sentiments : enthousiasme montré par le lyrisme des phrases nominales exclamatives New-York ! 1 + nuits d’insomnie ô nuits de Manhattan ! 15 émerveillement

passé composé et présent = expriment des états affectifs - « Pour moi » : insistance sur la première personne b) Adjectif possessif : première personne - « Or mon cœur » ver 1,3 ,7 : celui qui parle s’adresse à lui-même - Mots exprimant une crise, puis son apaisement : « Mon orgueil ; Ma douleur ; Ma rage ; Ma gloire » - Récurrence des possessifs : situation d’introspection c) Deuxième personne = Première personne - Interprétation du cœur : le locuteur se

« paradis » (le château). + euphémismes visant à mimer le vocabulaire pédant et théorique des puissants et de certains philosophes. - Notion d’individualisme et non de communauté qui régit les pouvoirs en place : pronom indéfini « chacun » et adjectif possessif « son » (l. 13) = les rois n’œuvrent pas dans l’intérêt commun ni pour le bien du peuple ( pas d’accords possibles, pas de paix) + répétition d’expressions « les deux armées », « de chaque côté », « chacun dans son camp » qui mettent en lumière

|EL dÍa = M La fecha = F | | | |qualificatif. | | |13 |Accord adjectifs |En genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte MS : O |LA camisa negrA – LAS camisAS | | | |MP : OS FS :A FP: AS