Adolphe Thiers De La Propriété 1848

chef de l’Etat -roi ou président de la République-, dans certains régimes de s’opposer aux lois votées par l’assemblée législative)  coup d’Etat législatif. b) le directoire. Se termine par un coup d’Etat de Napoléon Bonaparte. c) la II°République de 1848 à 1851. Se termine par un coup d’Etat de Napoléon III. Le régime présidentiel américain: mis en place du système de Montesquieu mais avec un régime Républicain. Un président entouré d’un parlement qui vote les lois. Le parlement ne peut pas renverser

de l’Etat -roi ou président de la République-, dans certains régimes de s’opposer aux lois votées par l’assemblée législative)  coup d’Etat législatif. b) le directoire. Se termine par un coup d’Etat de Napoléon Bonaparte. c) la II°République de 1848 à 1851. Se termine par un coup d’Etat de Napoléon III. Le régime présidentiel américain: mis en place du système de Montesquieu mais avec un régime Républicain. Un président entouré d’un parlement qui vote les lois. Le parlement ne peut pas renverser

libéraux et républicains présent jusqu’en 1848, constitution qui ne cessent de satisfaire les ultras et les libéraux sans jamais vraiment y parvenir car : régime intermédiaire de ceux qui veulent une monarchie très dur et ceux qui veulent une monarchie moins dur. L’idée de liberté individuelle fait partie d’idée politique de la plus part des Français et ne l’oublient pas. 2. L’échec des monarchies parlementaires : la Monarchie de juillet (1830-1848) Il tire son nom du mois qui l’a vu naitre

26/09/2012 Des droits rachetables qui continuent à être exigé par les seigneurs jusqu’aux remboursements à venir. On a attendu que la loi intervienne pour organiser le remboursement de certains droits abolies. Le respect de la propriété comme le respect des droits de l’homme et du citoyen. PARAGRAPHE 3 : LA CHARTE DES TEMPS NOUVEAU : LA DDHC Texte célèbre adopter le 26/081789, dont l’intérêt dépasse largement le champ historique, la DDHC fait partie intégrante du bloc de constitutionnalité

LA DEUXIEME REPUBLIQUE : 1848-1852 24 février 1848 11 décembre 1848 2 décembre 1851 2 décembre 1852 Proclamation Élection de Louis-Napoléon Bonaparte Coup d'État Rétablissement de l'Empire I. LA REVOLUTION DE 1848 1 La Révolution française de 1848 est la seconde révolution française du XIXe siècle ; elle se déroule à Paris les 23, 24 et 25 février 1848. Sous l'impulsion des libéraux et républicains et suite à une fusillade malheureuse, Paris se soulève à nouveau et parvient à prendre

profondément la charte. La charte de 1830 ouvre le régime de la « monarchie de juillet ». Celle-ci dure 18 ans, puis une nouvelle révolution républicaine renverse la monarchie : les révolutionnaires instaurent uneConstitution de la République française en 1848 et avec elle la deuxième république. Mais le président élu, Louis-Napoléon Bonaparte - neveu de Napoléon Bonaparte, prend le pouvoir par deux coups d’état successifs le 8 décembre 1851 et le 2 décembre 1852. Il promulgue à la suite du second une constitution

sur un pacte social. Dès que les individus veulent rentrer dans un groupe social, il faut qu'ils renoncent à certains droits qui existent à l’état de nature et le but de la société c'est de s'efforcer de conserver ces droits naturels (liberté, propriété) et personne, même le roi, ne peut transgresser la liberté individuelle (au mieux des intérêts individuels. Cette théorie va avoir un impact sur les Etats-Unis. Critiques reprises en France vers 1750. Elles vont proposer une nouvelle vision du

| |Acte additionnel de 1815 |texte |Cent-Jours | |Charte de 1830 |texte |Monarchie de Juillet | |Constitution de 1848 |texte |IIe République | |Constitution de 1852 |texte |IInd Empire | |Lois constitutionnelles de 1875 |texte

peut fort bien s'accommoder d'un centre jouant le rôle d'une force d'appoint. Mais au 19e siècle, la plupart du temps, le centre est hégémonique et gouverne. En 1848, loin d'instaurer une dualité, la Seconde République voit s'affronter trois forces: les «blancs», les «bleus» ou républicains qui assument pleinement 1789 (Cavaignac, Thiers, Louis-Bonaparte), enfin les «rouges» ou montagnards, admirateurs de la Convention menés par Ledru-Rollin - chez lesquels il paraît audacieux d'apercevoir «des

girondine ) est très favorable aux thèses de Rousseau, mais elle marque l'approche des droits de l'Homme, dans la Constitution de 1793, d'une philosophie moins individualiste. Mais c'est d'abord l'égalité avec la liberté, la sûreté ou le droit à la propriété. La déclaration est très déiste : « le peuple français reconnaît et proclame en présence de l'être suprême ». Le droit de résistance à l'oppression est inscrit dans la Constitution, c'est un des droits fondamentaux. Il y a une approche sociale :