Aedes albopictus

domestica, provenant d’une souche de laboratoire (TEC – origine Wellcome) vérifiée annuellement comme sensible aux principales familles d’insecticides. Moustiques : adultes des deux sexes âgés de 4 à 6 jours, œufs, larves et nymphes des trois espèces Aedes aegypti, Anopheles gambiae et Culex pipiens provenant de souches de laboratoire (TEC – origine ORSTOM - OMS) vérifiées annuellement comme sensible aux principales familles d’insecticides. Blattes germaniques (cafards) : adultes mâles de Blattella

foret équatorial et elle est transmise de singe à singe par divers moustiques de genres aedes, hôtes intermédiaires et vecteurs. L’homme traversant ces foyers sauvages d’endémie est sporadiquement piqué par les moustiques infectés et alors une fièvre jaune humaine dite forme sylvatique. Revenu vers les centres habitées, il joue le rôle de réservoir de virus et, piqué par le virus de commensal qu’ est aedes aegypti, hôte vicariant très efficace, il est a l’origine d’une fièvre jaune purement humaine

service de Médecine Interne au CHT Mamao, qui nous a expliqué les réactions de notre organisme lors d’une dengue classique et d’une dengue hémorragique. 3 INTRODUCTION La dengue est une arbovirose transmise par un moustique diurne du genre Aèdes. Elle comprend une grande variété de formes cliniques : formes asymptomatiques, dengue classique et la dengue hémorragique. La dengue est présente dans la plupart des régions tropicales et subtropicales. L’organisation mondiale de la santé estime à

l’Asie du Sud-Est. En Afrique, le virus est maintenu au sein d’un cycle forestier faisant intervenir des primates et des moustiques sylvatiques (Aedes luteocephalus, Aedes furcifer ou Aedes taylori). En Asie, où son introduction serait plus récente, le virus circule dans un cycle essentiellement urbain qui implique les moustiques Aedes aegypti et Aedes albopictus. Depuis la description initiale en Tanzanie, le virus Chikungunya a été régulièrement à l’origine de petites poussées épidémiques cycliques

thématiques prioritaires du sujet, notamment si des moyens leur était alloués pour le faire. Des études entomologiques avaient été conduites dans les années 2000 sur les Anopheles vecteurs du paludisme (Girod et al., 1999, Morlais et al., 2005) et les Aedes vecteurs de dengue et chikungunya (Paupy et al., 2001). Depuis 2 ans aucune recherche n’est conduite sur les vecteurs de la Réunion. Le centre national de référence (CNR) pour les arboviroses et son laboratoire associé ont rempli un important rôle

multiplié par 60 entre 1989 et 1993. Les raisons sont multiples : croissance démographique importante ; création de bidonvilles aux abords des villes ; catastrophes naturelles ; paupérisation ; ralentissement des campagnes d'éradication du moustique Aedes aegypti. En 2001, plus de 609 000 cas ont été signalés dans les Amériques, dont 15 000 ont été hémorragiques. Depuis 2006, plusieurs pays de la Caraïbe ont mentionné des cas : la Dominique, la Jamaïque, le Suriname, Sainte-Lucie, la Martinique, la

qu’actuellement, « 18 départements rassemblent toutes les conditions propices à l’émergence du chikungunya ». Notons aussi la crainte de voir une multiplication des cas de dengue, une autre infection virale transmise par le même moustique Aedes albopictus. Ces faits génèrent une grande anxiété au sein de la population, que partagent les personnels hospitaliers. fonction d’une multitude de paramètres. La prise auriculaire peut quant à elle aboutir à une température sous-estimée, si la

Chikungunya est un arbovirus c'est à dire un virus qui est transmis à l'homme par des arthropodes dont les vecteurs sont des moustiques tigre femelles (de genre aèdes) . Ces dernières sont généralement identifiables a cause de la présences de certaines rayures noires et blanches. Les deux espèces incriminées sont Aèdes aegypti et Aèdes albopictus. Ces deux types de moustiques ils ne suffisent pas qu'à nous transmettre la maladie de chikungunya mais en plus ils n’hésitent pas a nous contaminé par la

comme les Aedes. La contamination de l’humain par le moustique se fait par le sang où le moustique injecte sa salive lors d’une piqûre. Seuls les moustiques femelles peuvent piquer puisqu’elles doivent se nourrir de sang pour assurer la survie de ses œufs. La salive sert d’anesthésie locale avant que le moustique aspire le sang. Ensuite, le virus peut se transmettre d’un humain malade au moustique par l’aspiration d’un sang lors de la piqûre. Ces même moustiques est (Aedes aegypti et Aedes albopictus)

analyser les conséquences de leur installation. Un réseau d’observations est indispensable pour agir tôt sur les introductions et ainsi espérer les contenir ou prévenir leurs conséquences. Un exemple d’actualité est celui du moustique tigre (Aedes albopictus). En matière d’action curative, chaque cas est un cas particulier. Les rares situations documentées sont résumées au cas par cas dans les fiches individuelles par espèce . [10] Est-il possible de tiret profit d’une espèce invasive ?