Aérofrein

L'aérodynamique est l'étude du mouvement relatif d'un solide par rapport à l'air, son écoulement autour de l'objet. On distingue trois formes d'écoulement d'air différent: L'écoulement laminaire: les couches de fluides glissent les unes sur les autres sans échanges de particules entre elles. Les filets d'air suivent un mouvement rectiligne et sont parallèles. laminaire.png Ecoulement laminaire L'écoulement turbulent: les filets d'air ne suivent plus une trajectoire rectiligne mais

vitesse(3)...................aileron haute vitesse(5)/(6)............becs de bord d'attaque(7)...................volet intérieurs(8)...................volets extérieurs(9)...................spoilers (destructeurs de portance)(10).................spoilers/aérofreins introduction : L'aile est la parties majeur de l'avion de l'avion, c'est elle qui crée la majorité de la portance de l'appareille, sur cette dernière il y a les ailerons, les ailerons compensateur, les volets d'atterrissage ,des turboréacteurs

liées aux conditions d’exploitations. Suite à des défauts dus à l’instabilité du réseau, à des conditions climatiques (vent excessif, vent fort…) et technologiques, il est nécessaire d’arrêter la rotation de la turbine par un dispositif de freinage (aérofrein, électro-frein). Un arrêt d’urgence consiste à évacuer l’énergie cinétique dans le dispositif de freinage ; ce qui entraîne un vieillissement accéléré de quelques organes vitaux de l’éolienne (système d’engrenage, roulement, pastille, disque…). Le

gouvernes de profondeur (montées sur l’empennage horizontal); - les trains d’atterrissage avant et principal; - les différents carénages; - les portes (porte pour passagers, porte d’urgence, porte de visite, porte de la soute à bagages); - les aérofreins. Figure 2.4 (tirée de [Soors84], p.10) : Éléments majeurs d’un avion classique Ailerons GPA-725 Composants aéronautiques Page 4 Louis Rivest Nous pouvons considérer cette division d’un avion en ses parties principales comme caractéristique

contrôle aérodynamique de l'avion : - gouvernes en roulis : ailerons - gouvernes en tangage et en roulis : gouvernes de profondeur plus ailerons, séparées ou bien regroupées (élevons) sur les ailes « Delta » - becs et volets hypersustentateurs, aérofreins permettant le contrôle de la portance et de la traînée. 1°) Ailette verticale marginale (Winglet en anglais) 2°) Aileron basse

vérifier les points sensibles de la machine sur la partie extérieure. En planeur on regarde notamment la pression du pneu, le fonctionnement des gouvernes, si rien n'est coincé dans les sondes, la surface du fuselage et des ailes, si le logement des aérofreins est propre et si aucun objet traînant viserait à nuire à leur utilisation... Une fois et seulement une fois que le pilote à fait sa pré-vol et que tout est dans l'ordre, il peut alors s'équiper de son parachute et s'installer dans la cabine.

b) c) d) L'extrados de l'aile est le siège d'une dépression L'intrados de l'aile est le siège d'une surpression Une aile est 'décrochée" Les affirmations a et b sont exactes. 3) Parmi les dispositifs hypersustentateurs on peut citer : a) Les aérofreins c) Les volets de courbure b) Les becs de bord d'attaque d) Les réponses b et c sont exactes. 4) Un braquage positif des volets de courbure a pour conséquence a) b) c) d) Une augmentation de la portance Une diminution de la portance Une augmentation

pour augmenter la portance et que le train principal prennent contact avec le sol en premier, 2. Dès que la prise de contact avec le sol est effectuée, le pilote réduit complètement la puissance des moteurs et commence a freiner (il utilise les aérofreins si possible) pour réduire la vitesse ce qui diminue, doucement la portance, 3. Dès que le train avant touche le sol, le pilote peut augmenter le freinage (il utilise les inverseurs si possible), jusqu’à l’arrêt quasi complet de l'avion ; il se dirige

d’atterrissage. Aérofreins L’oiseau, possédant des ailes mobiles, adopte un système de freinage extrêmement intéressant mais inadapté à nos avions, possédant des ailes fixes, incapables de changer entièrement de positions. Afin de perdre de la vitesse, l’oiseau se courbera, relèvera la tête vers le haut, et battra des ailes dans la direction inverse. Les avions ont alors totalement copié ces dispositifs puis les ont adaptés à leurs ailes. Pour compenser le redressement des ailes, des aérofreins ont été

absorbant un surcroît de chaleur (chaleur latente de changement d'état) ce qui accentue la différence de masse volumique entre l'air sec du nuage et l'air humide de l'ascendance. Un planeur qui s'approche trop près peut être obligé de sortir ses aérofreins pour ne pas se faire "aspirer". Il n'est pas exceptionnel d'observer une vitesse verticale de 2 m/s même à plus de 120 km/h, sous un nuage, et ceci sous des latitudes moyennes (nord de la France). L'exploitation optimale de l'ascendance peut être