Affrontement Don Diègue Le Comte

n’avait pas encore pris la parole au cours de la 1ère activité, pour présenter aux autres groupes l’analyse de leur extrait. ▪ Avant la présentation de l’analyse, les élèves « représenteront » l’extrait étudié. ▪ Après chaque présentation, donner aux élèves les références de l’extraits qu’ils ont analysé. ▪ Synthèse d’analyse  Voir avec les élèves si l’analyse des extraits apporte quelque chose de plus à la synthèse déjà élaborée. 5e heure de cours : synthèse des genres théâtraux

d'action, modalité interrogative, syntaxe nominale des phrases, stichomythies) afin de mettre en évidence la figurabilité du discours ainsi que la violence tonale de l'échange entre le comte et Rodrigue. II / La naissance du héros L'objectif sera de dresser le portrait de Rodrigue et de voir en quoi il s'oppose au comte tout en lui ressemblant. On soulignera particulièrement : – la jeunesse du héros : fougue et maladresse verbales (répétitions lexicales, brièveté des répliques) ; – son courage et sa

conflit est la manifestation de deux libertés opposées et la lutte entre les consciences qui veulent exister en tant conscience par rapport à l’autre, le conflit. AFFRONTEMENT : QUESTIONS : Quelles sont les natures du conflit ? Comment est représenté ce conflit ? Le conflit au théâtre peut il être réduit à un simple affrontement entre des personnages ? Dans quelle mesure le théâtre est il par excellence le lieu du conflit et de quel conflit ? A/ Le conflit social Le théâtre est par excellence

"Tout être cherche dans chacun de ses actes à bien faire, c'est à dire vivre bien"3. Mais selon quels critères ? en répondant à quelles normes ? et surtout de quelle manière ? Ce besoin de se "sentir bien" régit la vie de tout homme. Ce dernier veut donner une valeur sereine et idéale à son existence pour alors oublier le tragique de la condition humaine. Le but spontané et instinctif de rechercher la satisfaction tout en rejetant les désagréments ainsi que les souffrances, place l'homme dans une quête

Aimées l'une de Clitandre, l'autre de Pymante, les princesses Caliste et Dorise sont toutes deux éprises de Rosidor. Celui-ci rend à Caliste son amour, au grand dépit de Dorise qui, pour perdre sa rivale, l'entraîne dans la forêt, où elle médite de lui donner la mort. Pymante cependant, qui hait Rosidor, a chargé les domestiques de Clitandre d'assassiner son trop heureux rival. Rosidor, poursuivi dans la forêt par Pymante déguisé et ses complices, trouve Dorise qui s'apprête à plonger une épée dans le

Aimées l'une de Clitandre, l'autre de Pymante, les princesses Caliste et Dorise sont toutes deux éprises de Rosidor. Celui-ci rend à Caliste son amour, au grand dépit de Dorise qui, pour perdre sa rivale, l'entraîne dans la forêt, où elle médite de lui donner la mort. Pymante cependant, qui hait Rosidor, a chargé les domestiques de Clitandre d'assassiner son trop heureux rival. Rosidor, poursuivi dans la forêt par Pymante déguisé et ses complices, trouve Dorise qui s'apprête à plonger une épée dans le

Misérables de Hugo ; Le Cid de Corneille) ; – des lectures d’œuvres complètes en lecture autonome, avec un guide de lecture et des questions plus ludiques sur l’ensemble de l’œuvre (« Un cœur simple » de Flaubert ; La Vénus d’Ille de Mérimée ; Le Comte de Monte-Cristo de Dumas, en version abrégée ; Les Misérables de Hugo, en version abrégée ; On ne badine pas avec l’amour de Musset ; Des troubadours à Apollinaire, une anthologie poétique) ; – des lectures cursives : « la lecture cursive est une lecture personnelle de l’élève

roman dépend également de la vitesse du récit. Il est important de mettre en relation la durée de la fiction et la longueur de la narration. Une longue période peut être racontée en quelques mots. Au contraire, une rencontre de quelques minutes peut donner lieu à une narration de plusieurs pages. Ces variations suggèrent une hiérarchie dans les faits et donnent au roman son rythme propre. Le rythme du récit dépend enfin du mode adopté pour raconter: Soit plusieurs événements diffus et dispersés dans

traducteur ou un continuateur plutôt que comme un créateur. La notion de " propriété littéraire " n'existe pas au Moyen-Âge. Le texte n'appartient pas à un auteur, il n'est pas immuable, aussi est-il normal de s'en servir, de le plagier, le remanier, lui donner une suite ou lui inventer un début. |     I- NAISSANCE DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE 3- Naissance de la littérature française Le Moyen-Âge est la période par excellence des "enfances" de la littérature française. Aux XIIe et XIIIe siècles, notamment

contre la Hollande 1676-1682 Construction de la machine de Marly, ensembles hydrauliques destinés à ravitailler en eau le château de Versailles 1678 Paix de Nimègue : fin de la guerre de Période 1661-1690 Hollande. Rattachement de la Franche-Comté à la France. La puissance française est à son apogée. 1682 Installation définitive de Louis XIV à Versailles 1683 Mort de Colbert 1685 Révocation de l’Édit de Nantes 1688-1697 Guerre de la ligue d’Augsbourg 1693-1694 grande famine Événements