Affrontement Hemon Creon

L'affrontement théâtral 1) Le combat de la parole 2) Une scene violente ( insultes et manque de respect) Une scène d'exposition entre deux fortes personnalités 1) L'affrontement générationel 2) Le concept du bonheur 3) La sagesse de Créon/ la révolte d'Antigone Montrez l'intérêt de cette scène Les rapports de force entre les personnage dans la littérature sont exacerbés dans le théâtre par l'importance de la parole. Le texte que nous devons expliquer est un extrait d'Antigone

Sujet : Querelles, disputes et affrontements sont courants au théâtre, tous genre confondus. Pourquoi peut-on dire qu’il s’agit là d’une ressource théâtrale particulièrement riche ? Au théâtre, les conflits, les querelles ou les affrontements sont des éléments constitutifs de la pièce elle-même, mettant en scène les différents protagonistes (du grec « agôn » signifiant lutte, combat, jeu, concours). Nous allons donc exposer pourquoi les conflits ou les affrontements sont une ressource théâtrale

tragique d'Œdipe (roi de Thèbes) et de ses descendants. Dans l'économie du cycle, Antigone est la dernière pièce, mais elle a été écrite avant les autres.Antigone fait part à sa sœur Ismène de son intention de braver l'interdiction émise par le roi Créon (leur grand-oncle) d'accomplir les rites funéraires pour leur frère Polynice — tué par son autre frère Étéocle lors d'une bataille où chaque frère voulait la mort de l'autre pour devenir roi de Thèbes et où chacun d'eux perdit la vie. Antigone risque

fratricide ».C’est donc Créon qui finalement règne et il prononce un décret interdisant d’ensevelir la dépouille de Polynice pour avoir comploté contre la patrie. Sa dépouille est jetée au pied des murailles. A ce moment, Antigone revient et découvre l’ignoble affront fait à la dépouille de son frère. Elle va braver l’interdit mais un garde va la surprendre et l’amener devant Créon. C’est là qu’Antigone se hisse au statut de mythe : elle brave la mort en affrontant Créon et l’accuse de tyrannie.

Jocaste. Elle est ainsi sœur d'Étéocle, de Polynice et d'Ismène.Créon est son oncle et le père de son fiancé (Hémon). Mythe [modifier] Polynice qui est venu avec les armées d'Argos reprendre le trône de Thèbes à son frère Étéocle qui refusait l'alternance prévue, s'entretue avec son frère (voir guerre des sept chefs). Il a été déclaré « traître à la patrie » par le nouveau roi, leur oncle Créon. Celui-ci interdit sous peine de mort toute sépulture, condamnant ainsi l'âme de Polynice à l'errance. Antigone

mais les deux meurent —, et cela sous peine d'être lapidée par le peuple thébain, car l'interdiction a été émise par le roi Créon. Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai rien à gagner à me rebeller »). Alors qu'Antigone s'en va accomplir ce qu'elle estime être son devoir religieux, Créon développe, avec quelque grandiloquence, devant le chœur des vieillards thébains — choisis pour leur docilité — sa philosophie

émise par le roi Créon d'accomplir les rites funéraires pour leur frère Polynice (tué par son autre frère Étéocle lors d'une bataille ou les deux frères veulent tuer l'autre pour devenir roi car ils étaient jumeaux, mais les deux meurent.) Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai rien à gagner à me rebeller »). Alors qu'Antigone s'en va accomplir ce qu'elle estime être son devoir religieux, Créon développe, avec quelque

mais les deux meurent —, et cela sous peine d'être lapidée par le peuple thébain, car l'interdiction a été émise par le roi Créon. Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai rien à gagner à me rebeller »). Alors qu'Antigone s'en va accomplir ce qu'elle estime être son devoir religieux, Créon développe, avec quelque grandiloquence, devant le chœur des vieillards thébains — choisis pour leur docilité — sa philosophie

mais les deux meurent —, et cela sous peine d'être lapidée par le peuple thébain, car l'interdiction a été émise par le roi Créon. Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai rien à gagner à me rebeller »[2]). Alors qu'Antigone s'en va accomplir ce qu'elle estime être son devoir religieux, Créon développe, avec quelque grandiloquence, devant le chœur des vieillards thébains — choisis pour leur docilité — sa philosophie

mais les deux meurent —, et cela sous peine d'être lapidée par le peuple thébain, car l'interdiction a été émise par le roi Créon. Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai rien à gagner à me rebeller »3). Alors qu'Antigone s'en va accomplir ce qu'elle estime être son devoir religieux, Créon développe, avec quelque grandiloquence, devant le chœur des vieillards thébains — choisis pour leur docilité — sa philosophie