Afrikaners

Pour L’apartheid, il convient tout d’abord de définir ce que signifie le mot apartheid. Apartheid, est un mot afrikanns (langue parlée en Afrique du Sud ou en Namibie qui découle du néerlandais) où néerlandais, mot emprunté au français signifiant « mise à part » ou « séparation ». L’apartheid en Afrique du Sud était une politique menée selon des critères raciaux ou ethniques propres à certaines zones géographiques d’Afrique du Sud. Historiquement, la ségrégation raciale en Afrique du sud existait

cette migration sont de Nombreux conflits qui ont lieu entre eux et les Zoulous déjà présents, mais également avec les autres populations indigènes. Ce sont les Etats du Transvaal et de la République du Natal qui apparaissent, terre des Boers ou Afrikaners. 2 guerres les confrontent à nouveau aux Anglais qui annexeront le Natal en 1843. Document 4. Les conséquences pour les populations indigènes : Lors du Grand trek, les Bantous, Bochiman et Khoisans sont repoussés vers les zones du Nord-Ouest

 Japhet est considéré comme le descendant des européens). Les principaux vecteurs de ces théories sont : aux États-Unis, les habitants se réclamant d'un « protestantisme rigoriste » particulièrement nombreux dans la Bible belt ; en Afrique du Sud, les Afrikaners qui sont en majorité calvinistes. Les doctrines raciales de l'anthropologie du xixe siècle, et les méthodes d'intimidation des noirs par la violence (par le Ku Klux Klan ou par la police) font également partie des sources ayant permises l'élaboration

rugby de 1995, qui se déroule en Afrique du Sud, afin d’arriver à ses fins. Au début, le challenge se révèle difficile, car l’équipe des Springboks a peu de chance de remporter le tournoi face aux autres équipes. De plus, le rugby est le sport des Afrikaners, soit des sud-africains blancs. Donc toucher le public sud-africain est difficile. Durant l’Apartheid, les Springboks et leur public avaient pour chant des chants racistes et les Noirs assistaient aux matches dans le but d’encourager l’équipe adverse

or. Ensuite l’objectif du président et de sortir son pays de la crise raciale et comme Les domaines politiques et économiques étaient contrôlés par les blancs sud-africains, il est important pour Nelson Mandela de trouver le climat idéal avec les Afrikaners afin d’avoir leur confiance. « Nous devons les étonner par notre compassion, notre retenue et notre générosité. » Il met en avant sa philosophie pour faire comprendre les conseillés sportifs. Seules ces valeurs humaines aident à oublier et accepter

la population était séparer selon des critères raciaux et ethnique -Il est installer en 1948 et abolie en 1991 -La nationalité et le statut social dépendaient du statut racial des individus -Il a été mis en place car les Sud-Africains blancs (afrikaners) avaient « peur d’être engloutis par les peuples noirs environnant ». -En 1950, les blancs représentaient 21% de la population et les noirs représentaient 67% -Le parti politique ayant instauré l’apartheid es le Parti National -L’ANC est le

social dépendaient du statut racial de l'individu. L'apartheid a également été appliqué de 1959 à 1979 dans le Sud-Ouest africain (actuelle Namibie), administré par l'Afrique du Sud. La politique d'apartheid fut le « résultat de l'anxiété historique des Afrikaners obsédés par leur peur d'être engloutis par la masse des peuples noirs environnants »3. Les lois rigides qui en résultèrent, « dictées par une minorité blanche dynamique obsédée par sa survie » en tant que nation distincte, furent ainsi le résultat

nationales non raciales de l'histoire du pays. Il est surtout connu pour avoir passé 27 ans en prison pour sa lutte contre la discrimination raciale. Apartheid Introduction : De 1835 à 1843, afin d'échapper aux lois britanniques, les Boers (ou Afrikaners) migrent du cap de Bonne-Espérance vers le territoire située actuellement dans la région nord de l'Afrique du Sud. Ce qui explique la présence de la population Blanche dans les provinces du Natal, du Transvaal et d’Orange. Le Parti National introduit

bantous, de Métis et d’Asiatiques. Mais heureusement le peuple prend conscience du pouvoir exercé sur eux et va créer l’ANC en 1912, mais sans franc succès contre l’envie de Louis Botha de rassembler tous les noirs dans des réserves. Plusieurs Afrikaners se succèderont à la tête du pays jusqu'à Daniel François Malan, qui proposera un programme électoral reposant sur le développement du territoire et la séparation raciale, c’est ce qu’il signifiera « Apartheid » ou « Séparation » en afrikaans. A

: 167- 182 * Institut français d’Afrique du Sud (Ifas), Johannesburg, Afrique du Sud. 1 De 1948 a 1994, le régime politique fondé sur le principe de la séparation des races au profit exclusif des Blancs d’Afrique du Sud, notamment les Blancs afrikaners, a profondément marqué le pays. Sous les habits neufs de la démocratie, de mauvaises habitudes persistent. 2 Le Bantu Education Act introduit par le D r Ve rwoed, alors ministre des Native Affairs, en 1953, avait délibérément condamné les