Âge d'or

L’Espagne du XVIIème siècle, ou « Le Siècle d’Or Espagnol » Introduction La période du XVIIème siècle est considérée comme « le siècle d’or espagnol », durant laquelle cette nation connaît un vaste rayonnement culturel. Cette extraordinaire floraison correspond à l'apogée politique et économique de l'Espagne. Elle est devenue, sous le règne des Habsbourg et grâce à l'extension d'un empire qui va du Royaume de Naples, aux Flandres et aux Amériques, la première puissance européenne.  Bien qu’affaiblie

conduit à regretter les temps où ces risques de mort n’existaient pas, et c’est ainsi qu’arrive assez naturellement ce passage sur l’âge d’or, thème traditionnel de la poésie de ce temps (voir Virgile, Ovide….), mais Ovide y met sa touche... artistique.   1°) Un thème traditionnel et incontournable : Le mythe de l’âge d’or  et son opposé l’âge de fer 1-1 : L’Age d’or                 L’évocation de Tibulle est faite d’une manière traditionnelle en opposant le temps du bonheur et de la pureté à la corruption

L' âge d' or de la III ème République INTRO Au début des années 80 la République dispose de tout les postes clefs des institutions politique (présidence ,assemblée nationale , les grandes villes). La société évolue s industrialise s urbanise et donc change de mentalité. Comment parvenir a faire accepter l' esprit républicains a une population majoritairement rurale bercée depuis des siècle par les royalistes religieux féodales .Dans un premier temps le régime choisi la républicanisation dans

qu’auraient-ils pu connaître ils n’avaient rien » (v.41) « La soie et l’or ne brillaient point chez eux. Admirez-vous pour cela nos aïeux ? Ils leur manquaient l’industie et l’aisance   Est-ce vertu ? c’était pure ignorance. » etc -Ignorance de l’age d’or car tout leur est donné sans effort. Pas de reflexion à avoir = obscurantisme ( # Lumières) -répétition de ignorance (v.31 et 43) Ils sont bons mais ne connaissent rien = bon par défaut. Ce qui s’oppose aux idées des Lumières = Choisir le bien par

Grèce Antique) * Apollon (Dieu grec de la Lumière, de la Musique et de la Poésie. Fils de Zeus) * Atlas (un Géant qui combattit Zeus, en punition il fut condamné à porter la voûte céleste sur ses épaules) Recherche n°2 « Le mythe de l’âge d’or » a 3 sens : * Référence à un passé idéalisé dans un trajet individuel ou dans l'histoire de l'humanité, où les difficultés du présent sont vécues comme la perte d'une pureté ou d'une intégrité primitive. * Anticipation d'un avenir radieux : largement

afranchie de souffrances , et dans la joie et la béatitude ou la haine et la guerre n’existaient pas , ils appelaient cela l’age d’or Le premier mythe d'un âge d'or que nous connaissons dans la tradition gréco-romaine est celui que met en scène le poète Hésiode, au VIIIe ou au VIIe siècle av. J.-C., dans le contexte d'une société peu connue, dite "des âges obscurs". L'âge d'or est le premier des cinq âges qui conduisent au présent ; viennent ensuite : l'âge d'argent l'âge d'airain ou de bronze l'âge

: idée de bonheur, plaisir au sein de cette nature) + La nature s’offre d’elle-même personnification + Cette description revient a l’âge d’or : parallèle avec le Jardin D’Eden + Répétition encore (l.5-6) : crée un // avec l‘européen qui ne sont plus dans cet âge d’or d’harmonie naturel. + Le sauvage vie en symbiose avec la nature sous l’autorité de la Nature (l.7 : naturelles leur ordonnent) + Ils sont tous issus de la même famille (l.8 : frères

impersonnel « il » qui rappelle le « il était une fois » des contes de fées et par l’évocation du « pays de Cocagne »: « Il est un pays superbe, un pays de Cocagne ». Le pays de Cocagne fait référence à une sorte de paradis d’abondance et de délices, un âge d’or mythique. - « La fantaisie » (du latin phantasia : fantôme, apparition) y règne : « la chaude et capricieuse fantaisie s’y est donnée carrière […] où la fantaisie a bâti et décoré … ». Cette fantaisie est le pouvoir de l’imagination mais une imagination

I. L’éloge de l’âge de fer a. La critique de l’âge d’or b. L’âge de fer : le temps du bonheur II. La poésie pour persuader le lecteur a. L’implication du lecteur b. Provoquer pour persuader I. L’éloge de l’âge de fer a. La critique de l’âge d’or - vocation de l’Age d’Or v. 1- 4 et 30-33 : il ouvre et ferme le poème et est rejeté avec désinvolture. - Ironie 1er vers qui bouscule les idées reçues : expression familière « le bon vieux temps » - anaphore « et » (v.2-4) texte pesant - "Regrettera

Commentaire du texte de Virgile Le mythe de l’âge d’or fut initié par Hésiode qui dans Les Travaux et les jours imagine sous le règne de Saturne, père de Jupiter, une période de bonheur et de prospérité où la nature dispensait aux hommes ses richesses avec la plus grande générosité. C’est Jupiter qui mit fin à cette époque idéale en créant l’âge d’argent, auquel succéda l’âge de bronze puis de fer. Cette alchimie à l’envers où l’or se change en fer traduit la décadence de la société, c’est-à-dire