Aggripa D

protestants, signe le début de la première guerre de religion en France : Ronsard, pro catholique et fervent défenseur de la cause royal, prend parti et condamne le protestantisme, source de discorde dans Discours des misères de ce temps. Mais aussi, Aggripa d'Aubigné, dans Les tragiques, pro-protestant prend également parti au moment des guerre de religion. -La Fontaine, Les obsèques de la lionne, v21-22 «Peuple caméléon, peuple singe du maître,» rythme binaire,anaphore peuple, métaphore animal :

mobile, les visages calmes, soucieux, avant de se retrouver elle-même avançant gauchement dans l'eau froide, jetant son paquet dans la barque, laissant des bras la haler jusqu'à 5 l'intérieur. Le fond de la barque était rempli d'eau. Elle aggripa son paquet, s'accroupit contre l'un des côtés du bateau. Une odeur incertaine, putride montait du bois. Elle resta ainsi hébétée, stupéfaite tandis que grimpait encore dans la barque un tel nombre de personnes qu'elle craignit d'être étouffée, écrasée

certains cas, la défense par les armes semble légitime. Cette nouvelle perception se retrouve par la suite dans les écrits humanistes et calvinistes. Chez les Humanistes En poésie, l’opinion est encore divisée. En effet, des poètes comme Aggripa d’Aubigné soutienne le mouvement Calviniste. En effet, dans «Les Tragiques», il écrit Rois, que le vice noir asservit sous ses lois/Esclaves du péché, forçaires non pas rois/De vos affections, quelle fureur dépite/Vous corrompt, vous émeut, vous pousse

Fontaine, Les fables de La Fontaine, 1694 - Sensation, Arthur Rimbaud, 1870 - Vos beaux yeux, Corneille, L’illusion comique, 1639 - Cher ange, vous êtes belle, Théophile Gautier, Élégies, 1838 - Au tribunal d’amour, après mon dernier jour, Théodore Aggripa d’Aubigné, L’hécatombe à Diane - Le réveil, René-François Sully Prudhomme, Les solitudes - 16/05, Ethan Street, 2009 - Amour en cage, Sybille Rembard, Beauté Fractionnée, 2002 - À la femme aimée, Renée Vivien - À ma fée, Christophe Bregaint

le chaos et en même temps révulsé par celui ci ) Fascination : horrifié par ce qui attire. Il y répond par une surexploitation de mort et de chaos. ( différent du Classicisme qui en a peur ). apparaît avec les guerres de religion. Auteur : Aggripa d'Aubigné : Les tragiques => France à sang et à feu. Il va très loin dans le pathétique et le morbide. La Baroque va se prolonger jusqu'au 17ème siècle. Shakespeare : anglais baroque Architecture baroque : Allemagne plus tardivement => architecture

d’œuvres antiques et européenne. Instabilité politique : sensible dans les œuvres littéraires + replis de l’humanisme vers une création artistique. Groupe de la Pléiade avec Ronsard et du Bellay. Crise : 1572- 1620 ; Henri IV ; St Barthélémy Aggripa d’Aubigné + Montaigne. - Pour les humanistes, l’intérêt se porte essentiellement sur l’homme auquel ils accordent une fois et une ferveur sans précédent. - Frénésie d’écriture et de traduction. Volonté de repenser le monde. I) -------------------------------------------------

maintenant sur Lucy sur le canapé à se regardait droit dans les yeux en silence, il se rapprochait petit à petit l'un de l'autre, sans s'en rendre compte, leurs lèvres se rapprochaient, mais ils ne s'embrassèrent pas, simplement à ce moment Lucy lui aggripa le cou et le prit dans ses bras... Natsu: Pourquoi? Lucy: entre frère et soeur on ne s'embrasse pas Natsu: tu as pris ça au sérieux? Lucy: on ne pourra pas être ensemble Natsu Natsu: Pourquoi? Lucy: je....je sais pas Natsu: Dis moi Luce Lucy: Je

plus grotesque: il se fait adorer sous les traits d'Apollon. Il n'a pas prit l'esprit (de la clémence) que voulait Sénèque. Néron, Sénèque sont des personnages qui ont impressionnes les auteurs baroques, en particulier un poète français baroque: Aggripa d'Aubigne. Cf. Les tragiques: "Néron, tu mis en poudre et en cendres et en sang le vénérable front de ton precepteur, de ta patrie, de ta mère." "tu devais a ces trois la vie aux trois ravis" "Homme tu ne fut point a qui t'avait fait homme"

plus grotesque: il se fait adorer sous les traits d'Apollon. Il n'a pas prit l'esprit (de la clémence) que voulait Sénèque. Néron, Sénèque sont des personnages qui ont impressionnes les auteurs baroques, en particulier un poète français baroque: Aggripa d'Aubigne. Cf. Les tragiques: "Néron, tu mis en poudre et en cendres et en sang le vénérable front de ton precepteur, de ta patrie, de ta mère."   "tu devais a ces trois la vie aux trois ravis"   "Homme tu ne fut point a qui t'avait fait homme"

plus grotesque: il se fait adorer sous les traits d'Apollon. Il n'a pas prit l'esprit (de la clémence) que voulait Sénèque. Néron, Sénèque sont des personnages qui ont impressionnes les auteurs baroques, en particulier un poète français baroque: Aggripa d'Aubigne. Cf. Les tragiques: "Néron, tu mis en poudre et en cendres et en sang le vénérable front de ton precepteur, de ta patrie, de ta mère."   
"tu devais a ces trois la vie aux trois ravis"   
"Homme tu ne fut point a qui t'avait fait homme"