Agir Moralement Est Ce Nécessairement Lutter Contre

nous en parle ou qu’on nous les représente. C’est une connaissance « par ouï-dire », connaissance par opinion, par croyance, par représentation et imagination, fondée sur la simple réception de ce qu’affirme ou que nous représente un autre. C’est nécessairement le cas quand il s’agit de connaître tout ce à quoi nous n’avons pu être présents, parce que c’est passé, ou loin de nous dans l’espace, ou, de façon générale, inaccessible dans notre situation actuelle1. Cela correspond plus généralement à tout

conséquences, et tout comportement qui en dévie aura tendance à en entraîner de mauvaises, en ayant son idée de ce qui entraîne cela, mais sans chercher à l'étudier sérieusement. Bien des gens se contentent de croire que leurs propres actions sont nécessairement bonnes et auront de bonnes conséquences, sur la base du fait qu'elles sont animées de bonnes intentions et/ou conformes à son propre code de conduite; et que telles ou telles actions des autres étaient animées de mauvaises intentions, sur la base

responsabilité pénale est la contrepartie d’une faute, donc fondée sur une faute individuelle. Pour les positivistes, l’homme délinquant n’est pas libre, il est programmé à le devenir, Prédéterminé : il ne peut pas faire autrement. Facteurs contre lesquels ont ne peut lutter, pour LOMBROSO ce sont des facteurs ENDOGENES : apparence phy, gènes. // Origine « théorie du criminel né » de LOMBROSO : sorte de résurgence de l’homme préhistorique : il suffit de le voir pour savoir qu’il va passer à l’acte. LOMBROSO

dans le titre de la section IV du chapitre relatif aux "crimes et délits contre les personnes", qui réprime les "attentats aux mœurs" et dans laquelle figurent: l'outrage public à la pudeur (art. 330), l'attentat à la pudeur (art. 331), le viol (art. 332), le proxénétisme (art. 334), l'excitation à la débauche et la corruption de mineurs (art. 334-2). Elle apparaît ensuite dans un chapitre consacré aux "crimes et délits contre la paix publique", sous la forme de "l'outrage aux bonnes mœurs commis notamment

santé, ou membres d’associations. Car les questions qu’ils posent et les réponses qu’ils tentent d’apporter concernent assurément, au-delà des seuls chercheurs en sciences sociales, tous ceux et celles qui, à un titre ou un autre, ont fait de la lutte contre le sida leur cause. X Introduction Réflexivité et postures de recherche : de l’individuel au collectif Fanny CHABROL, Gabriel GIRARD En finir avec la réflexivité ? « Encore un ouvrage sur la réflexivité du chercheur en sciences sociales

7. Refoulements parfaits/refoulement imparfaits : Certains désirs sont refoulés une bonne fois pour toutes. Mais pas tous. La force qui repousse un désir dans l'inconscient doit continuer d'agir pour lutter contre une force opposée par laquelle le désir cherche à se manifester à la conscience. Ce conflit peut être remporté par la force psychique qui repousse le désir dans l'inconscient, dans ce cas-là le refoulement est parfait:

douleur n'est pas le signe distinctif de la maladie, car elle fait partie de l'état de santé ; ni la diminution des chances de survie, car elle est produite parfois par des faits normaux (vieillesse, parturition, etc.), et elle ne résulte pas nécessairement de la maladie ; de plus, ce critère est le plus souvent inapplicable, surtout en sociologie. La maladie distinguée de l'état de santé comme l'anormal du normal. Le type moyen ou spécifique. Nécessité de tenir compte de l'âge pour déterminer

criminalité, il existe des statistiques, il y’en a 3 types : celle de la police et celle de la justice et celle de l’administration pénitancière. Ils sont différents selon la méthode utilisée et de la politique criminelle (décisions prisent pour lutter contre tel ou tel comportement) et de la fluctuation des textes. La criminalité apparente c’est à peu près entre 21 et 22 millions d’infractions en France. Sur ce chiffre, la criminalité légale est d’environ 3300 condamnations par crimes. C.

l’autorité relative de la chose jugée : obligation qu’à l’égard des parties qui sont en litige. Ex : CEDH : la Cour a coutume d’utiliser sa JP dans un souci de sécurité juridique. - 2nd mode auxiliaire : la doctrine. Doctrine Monroe (fin du 19e s) : contre le colonialisme européen. C’est une position d’auteurs, d’organes consultatifs. Elle peut être des écrits de grands internationalistes reconnus. Elle influence énormément. - L’équité, « ex aequo et bono » (latin) Equité : Lorsque les parties

solennelle que le droit organise : c’est la différence entre le mariage et le pacs+concubinage. Depuis la révolution, le mariage est devenu un acte purement laïc, les règles en sont d’ailleurs fixées par le code civil et la cérémonie se déroule nécessairement à la mairie. La cérémonie religieuse ne joue aucun rôle en France. Certains systèmes de droit exigent une cérémonie religieuse etc. mais pas en France : elle ne l’interdit pas mais ne lui confère aucune valeur : au contraire, pour préserver la