Agriculture Productiviste Intensive

(Philips, Siemens, etc.). Dans l'aérospatiale et l'aéronautique, elle se place au premier rang avec la fusée Ariane et Airbus. L'agriculture européenne est la deuxième exportatrice au monde. Elle concurrence aujourd'hui directement la puissante agriculture américaine, ce qui suscite des conflits (OGM, etc.). Le système agricole européen, moderne et productif, se distingue dans le lait, la viande, le vin (plus de 50 % de la production mondiale), les fleurs, les céréales, le sucre. Enfin, le domaine

un changement économique . La croissance est la variation positive de la production des biens et services d’une économie mesurée par les évolutions de son PIB. On peut distinguer trois types de croissance ; la croissance économique, extensive et intensive. La croissance économique correspond à l’évolution de la richesse. Mais, depuis le milieu du XIXème siècle, cette croissance économique est irrégulière dans l’espace et dans le temps La croissance extensive se fait par augmentation des facteurs

60 kg, il faut 20 personnes, 3 jours de travail ; au Brésil, 4 personnes, 1 camion ; Intensive : 30 % sont des grandes exploitations ; 15 % de 10 à 50 ha ; 15 %, plus de 50 ha ; au Brésil, plus de 1000 ha ; Concurrence entre agriculture familiale et productiviste ; Epuisement des terres ; Emploi d’intrants et de pesticides, poussé par les STN (Monsanto) ; Abandon des cultures vivrières. ⋅ ⋅ ⋅ ⋅ ⋅ - Agriculture traditionnelle : ⋅ ⋅ ⋅ ⋅ ⋅ ⋅ ⋅ Intégrée dans l’environnement ; Polyculture avec maïs

exploitation sans crainte. La politique agricole menée dans l’après-guerre est avant tout productiviste : il faut produire davantage pour faire disparaître les pénuries et très vite exporter. Pour accroître la productivité unitaire des agriculteurs, on compte sur des machines. Le tracteur devient le symbole de la modernisation de l’agriculture. Les agriculteurs paraissent répondre aux sollicitations productivistes des pouvoirs publics. Cet engouement pour la motorisation s’explique d’abord par la hâte

raisonnée est encore un autre système de production agricole qui consiste à optimiser les quantités d’intrants et plus particulièrement les substances chimiques comme les pesticides ou engrais. Dans un souci de respect de l’environnement. Cette agriculture est représentée par le label terra Vitis, suivant un cahier des charges précis. L’Agriculture biologique, écocert, sont des labels qui garantissent des pratiques viticoles respectueuses de l’environnement. En effet un grand nombre de chimiques

Etats-Unis. Les activités agricoles sont favorisées par la nature pour plusieurs raisons. Les grandes plaines, cette vaste étendue, sont extrêmement importante dans la mesure où la platitude du territoire favorise une agriculture mécanisée de type industriel, donc une agriculture productiviste, à fort rendement. De plus, la diversité bioclimatique permet la diversité des terroirs, de ce qui est produit. Autre activité, le potentiel forestier, vaste étendue de forêts, et donc pays reproducteur de bois (deuxième

auprès des clients du magasin spécialisé en produits biologiques « La vie Claire » - 2 - c. Questionnaire sur l’agriculture bio - 2 - d. Questionnaire sur la santé - 2 - IV. Réflexion sur les résultats - 2 - A. Alimentation - 2 - B. Agriculture - 2 - C. Santé - 2 - Résumé général Le BIO apparaît comme une réaction au massacre des richesses de la planète dont les plus vitales pour l’homme : l’air et l’eau. Les gens les plus inquiets consomment BIO avant tout pour leur

la première crise de la vache folle. Les crises qui se sont succédées ont eu pour effet de mettre en cause radicalement le processus de production agroalimentaire qui s’était mis en place depuis les années 50 et que l’on taxe aujourd’hui de «  productiviste ». Les tensions , qui parcourent le rapport du mangeur à son alimentation sont de plus en plus transformées, étirées en «  filières » industrielles , de plus en plus étrangères aux écosystèmes domestiques locaux, distribuée comme objet de consommation

l'entrée dans la démesure de l'exploitation et de la pollution de la nature. Pour certains types de production et d'activités, il y aura de vrais gains de productivité écologiquement et socialement défendables, facteurs d'émancipation, donc non « productivistes ». Par exemple, le développement de l'agriculture durable permettra de rendre le bio plus accessible. Il en va de même pour les énergies renouvelables, la construction et la réhabilitation des bâtiments, les transports collectifs peu polluants

des mises en valeur excessives à l’origine de déséquilibres (ex1 : exploitation massive depuis le XIXème siècle de gisements de charbon ou d’hydrocarbure - gaz de Lacq – aujourd’hui épuisés. Ex2 : Depuis la 2GM, le développement d’une agriculture productiviste en Bretagne est à l’origine de pollutions diverses du sol, des eaux…). Les mutations de l’économie depuis le XIXème siècle et l’accélération de la mondialisation nécessitent une adaptation permanente du territoire aux nouveaux enjeux d’accessibilité