Agriculture sur brûlis

Étude de cas sur l'agriculture et le développement en Thaïlande La Thaïlande est un pays majoritairement agricole. L'augmentation importante de sa population a remis en cause les fondements de son agriculture traditionnelle et extensive. Quels sont les facteurs, les résultats et les limites des progrès de l'agriculture thaïlandaise ? 1. La croissance de la production agricole. La Thaïlande est passée de 46,3 millions d'habitants en 1979 à 62,1 millions d'habitants en 2002. Sa production

utilisés des engrais, des pesticides et des variétés à haut rendement. Cette révolution a eu un grand succès mais la pollution de l’environnement a été particulièrement forte. En revanche les pays riches, se sont accès sur une agriculture moderne et intensive. Ces agricultures, dont la production est forte par rapport à la surface cultivée, s'orientent partout dans le monde vers les mêmes productions destinées aux marchés extérieurs et aux villes. Ces cultures commerciales se font sur de vastes exploitations

en Automne ) et à formations mixtes forestières et herbeuses, les populations ont toujours utilisé les feux de brousse à des fins de pâturage et d'agriculture ( culture sur brulis ) La destruction des forêts pour les cultures est encore une cause majeure de la déforestation. Il peut s'agir d'une culture itinérante sur brûlis, encore pratiquée dans certains régions: une parcelle défrichée par un incendie est cultivée pendant quelques années avant d'être abandonnée. Dans la plupart des cas, le défrichement

au nord de bornéeo, le Sarawak et le Sabah. On compte encore 55000 orang asli qui sont les premiers habitants de la région. Ils vivent encore de manière primitive dans les montagnes du centre de la péninsule (chasses, cueillette, culture sur brûlis). Aux totales on décompte 3 communautés ethniques : -Les malais qui sont les plus nombreux (53% de la populations) de religions musulmans sunnites se consacrent traditionnellement à l’agriculture de subsistance. Le pouvoir politique est détenu

du riz, qui permet un travail plus rapide mais entraîne une perte d’un grand nombre de grains. Ceci s’explique aussi par le manque de formation des agriculteurs. On peut enfin remarquer que malgré la famine, il y a quand même la présence d’une agriculture commerciale n’ayant pas pour but la production de nourriture, puisqu’elle préfère les produits de luxe aux céréales et légumes. Le problème complexe de l’alimentation dépend d’un grand nombre de facteurs, qu’ils soient naturels ou directement

d’avant ce qui a pour conséquence un changement de mode de vie alimentaire : les gens veulent consommer de la viande. Solutions non durables : -Trouver de nouvelles terres agricoles : Pb : Les villes s’étendent -Fonds pionniers -culture sur brûlis-, les cendres servent d’engrais : Pb : Le sol se stérilise/ s’érode -Utilisation d’engrais chimiques : Pb : L’abondance d’engrais chimique pollue l’environnement et les nappes phréatiques -Elevage intensif : Pb : Conditions horribles -Achats

l’eau ou la construction de grands réservoirs contenant d’immense quantités d’eau et servant de lac artificiel pour les besoins des cultures en période de sécheresse. Pour finir l’astronomie maya servait aussi dans le domaine religieux. 2) Agriculture, élevage, chasse et cueillette A) L’élevage, chasse et cueillette Mis part les dindons, les mayas pratiquaient pas l’élevage et ne possédaient pas de bête de trait. Néanmoins ils élevaient des chiens pour la chasse. L’essentiel de leurs besoins

donc un enjeu majeur. L'alimentation est un enjeu important du D.D. Les agricultures les plus pratiquées (productivistes ou vivrières) présentent chacune des limites en termes de santé (OGM ?) et de protection de la nature (intrants, culture sur brûlis). => L'agriculture peut-elle répondre à la croissance des besoins ? => L'agriculture peut-elle assurer le défi de la sécurité alimentaire ? => Une agriculture durable est-elle possible et généralisable à l'ensemble de la planète ?

sans étendre l’espace utilisé, mais grâce à des techniques issues de l’avancée technologique) sont pratiqués tel que dans les Grandes Plaines aux Etats-Unis ou en Europe. En revanche, dans les pays du Sud est pratiqué majoritairement l’élevage (ou agriculture comme en Aise du Sud-est avec les rizières où l’on augmente les surfaces agricoles mais pas leur rendement) extensif qui consiste à étendre les terres utilisées pour stocker et nourrir le bétail sans chercher à en augmenter la productivité (Argentine

Par ailleurs la pauvreté des terres et faibles rendements d'une agriculture souvent peu modernisé peut être un des facteurs explicatifs, de même les nombres de surfaces irrigués, la consommation d’engrais, l’utilisation d’engins agricole en Afrique subsaharienne sont très faibles. Mais il y a aussi des manques d’investissement qui persistent du a des manques de semences … Et ceci incite les paysans a utiliser la culture sur brûlis qui consiste a défriché la foret a l’aide du feu mais cette solution