Agriculture Vivrière

Centre national de recherche agronomique Bien cultiver l’igname en Côte d’Ivoire Caractéristiques des principales variétés sélectionnées d’igname. Introduction Avec une produ ction de 3 millions de tonnes en 2003, l’igname est la culture vivrière la plus importante en Côte d'Ivoire. On distingue habituellement deux groupes principaux : les ignames précoces et les ignames tardives. Les ignames Dioscorea cayenensis et Dioscorea rotundata sont d'origine africaine. Certaines sont précoces et sont récoltées

alimentaires. Le marché a tendance à accentuer les écarts de richesse et de pauvreté entre les pays qui disposent d’une culture vivrière et les pays qui n’ont pas les moyens de subvenir à leurs besoins. Les P.M.A. sont obligés de payer l’intérêt de la dette au lieu d’investir dans des domaines stratégiques (comme la recherche, l’innovation, l’éducation, la santé ou encore l’industrie vivriére). 

Géographie Question transversale ( inégalités face a l'eau): -Ces pays connaissent de fortes pénuries d'accès a l'eau. Ces inégalité seraient-elles liées à la pauvreté et au climat de ces pays ? Nous pouvons observer sur cette carte que les pays les mieux desservies en eau potable sont les pays du nord dits "les plus développés". Les pays du sud ( Afrique et Asie du sud-est) sont quant a eux très mal approvisionnés en eau potable. On peut aussi observer que ce sont des pays majoritairements

Etude de Faisabilité du Projet de Production d’Aliments pour Bétail et de Blocs a Lécher dans la Province de l’EST Fri, 02/20/2009 - 12:47 — CAPMER_Christian L’idée du projet est venu du PPPMER II afin d’appuyer les promoteurs désireux d’investir dans la production d’aliments pour bétail en leur dotant d’un outil indispensable à la création de nouvelles entreprises ou à l’extension des unités existantes. Les objectifs étaient de: Valoriser les ressources locales (maïs, soja, son de

puissance agricole, ce qui nuit au développement des cultures vivrières indispensables à l’autosuffisance alimentaire du pays (I). Pour nourrir sa population tout en restant une grande puissance agricole, le Brésil doit intensifier ses cultures vivrières plutôt que de continuer à déboiser (II). DEVELOPPEMENT I - Le Brésil a fait le choix de devenir une grande puissance agricole, ce qui nuit au développement des cultures vivrières indispensables à l’autosuffisance alimentaire du pays. A –

Introduction L’agriculture représente le secteur clé de l’économie ivoirienne, occupant plus de 60% de la population active et fournissant en moyenne 30 à 35% du PIB, (FAO, 2004). Cette agriculture est formée de deux grandes composantes : L’agriculture d’exportation et l’agriculture vivrière. La première constitue le principal moteur de l’économie ivoirienne au regard de l’importance des recettes qu’elle génère (66% des recettes nationales d’exportation, Banque Mondiale, 2003). Le café et le cacao

personne. II. Des systèmes de production inégalement performants 1. Des systèmes de production intensifs au nord • Les grandes puissances agricoles des pays développés (États-Unis, France) ont principalement une agriculture et un élevage productivistes et intensifs. Cette agriculture s'intègre à la filière agroalimentaire : les industries chimiques fournissent des intrants aux agriculteurs (engrais, produits phytosanitaires…), les industries mécaniques, des engins agricoles modernes, les laboratoires

fait partie des premiers producteurs et exportateurs de productions agricoles (café (31% prod 29% export), sucre) L'agroalimentaire s'exporte à travers le monde. L'agriculture occupe une très grande surface, très vastes régions (agriculture commerciale) C'est une agriculture très diversifiée, dotée de ports, d'infrastructures d'exportations pour nourrir le monde. Le Brésil possède de grands groupes agroalimentaires comme Marfrig, Brasil Foods. L'agro-business représente 1tiers du PIB du Brésil.

SYSTEMES AGRICOLES OPPOSES Agriculture vivrière: Agriculture commerciale : Faible dynamisme Fort dynamisme Forte croissance de la population brésilienne Mais des inégalités sociales et économiques Mais tous les Brésiliens ne mangent pas encore à leur faim Mais des dégradations environnemental es : DEUX SYSTEMES AGRICOLES OPPOSES Agriculture vivrière: Production destinée à nourrir les brésiliens ( manioc, céréales, viande) Agriculture commerciale : Production destinée

La commercialisation des produits alimentaires peut se faire à l’échelle locale (transformation de produits d’origine vivrière destinés à des marchés locaux) ou à l’échelle internationale (intégration dans la mondialisation et donc développement de cultures d’exportation comme le haricot au Burkina Faso). C. Mise en perspective à l’échelle mondiale : « Comment les agricultures font-elles face à la croissance des besoins alimentaires mondiaux ? » 9 milliards d’habitants sont prévus en 2050, contre