Ah ! ça ira

1792-1794 : la république jacobine et la Terreur. 3) La création et l’histoire de la Marseillaise. 4) Les symboles de la République. 5) Les arts, la culture au XVIIIe siècle. 6) Les autres chants révolutionnaires. - La Carmargnole - Ah ! ça ira, ça ira, ça ira. - Il pleut, il pleut bergère. Fiches Focus p.7 p.7 p.8 p.10 p.12 p.13 p.14 Biographie de Rouget de Lisle. p.17 L’oeuvre en bref p.18 Pour aller plus loin... Bibliographie, musées à visiter, sites web.

fut alors la fameuse séquence où Piaf (qui avait depuis longtemps laissé ses haillons de « môme » au vestiaire) interpréta, cramponnée aux griles du château – ceci avec une incroyable énergie pulmonaire : « Ah ! ça ira, ça ira, ça ira/ Les aristocrates à la lanterne/ Ah ! ça ira, ça ira, ça ira/ Les aristocrates, on les pendra... » Depuis 1935 – date à laquelle la découvrirent, pour ses vingt ans, une poignée d’initié – Edith Piaf n’a cessé de troubler l’ordre privé des coeurs. Par le véhicule

Prologue : Maman, je suis sortie avec des amis. Je suis allée à une fête, et je me suis rappelée ce que tu m'as dit avant que je sorte : «Ne bois pas, si tu vas conduire». C'est pour ça, j’ai bu du coca. Je me suis sentie fière de moi, parce que j'ai suivi tes conseils, j'étais une des seules de mes amis à être lucide. Quand la fête a fini, les personnes commençaient à embarquer ivres dans leurs voitures. Moi je suis montée dans la mienne et j'étais sûre que j'étais en état de conduire. À cette

boutique. - Où ça ? LA SERVEUSE, mettant les mains sur les hanches. - Oh ! L'ÉPICIÈRE, à son mari qui est toujours dans sa boutique. - Viens voir ! (Juste à ce moment l'Épicier montre sa tête.) L'ÉPICIER, montrant sa tête. - Oh ! un rhinocéros ! LE LOGICIEN, venant vite en scène par la gauche. — Un rhinocéros, à toute allure, sur le trottoir d'en face ! (Toutes ces répliques, à partir de : « Oh, un rhinocéros » dit par Jean sont presque simultanées. On entend un « ah » poussé par une

Une cibiche, ça n'engage à rien, Si je te plais, on fera la causette, T'es gentil, t'a l'air d'un bon chien. Tu se rais moche, ça serait la même chose, Je te dirais quand même que t'es beau, Pour avoir, t'en devines bien la cause, Ce que je te de mande, une pipe, un mégot. Ah, non! Pas l'anglaise, ni le bout doré, Ces tabacs-là c'est du chiqué. Du gris, que l'on prend dans ses doigts Et qu'on roule C'est fort, c'est acre, comme du bois, Ça vous soûle. C'est bon et ça vous laisse

Batman: On ne le dirait pas!  Voyant: Bon auriez vous l'extrême amabilité de me tendre votre main s’il vous plait?  Batman: A je préfère ça!  Voyant: Hummm, A ce que je vois vos parents vont bien.  Batman: Il sont morts connnard!  Voyant: Et a part ça? Ils vont bien?  Batman: (pète un cable)  Stop  Dark Vador  Dark Vador: Mais c’est quoi ce bordel on vous entend gueuler de l’autre bous de la galaxie.  Batman: A ça alors j’ai le même!  Dark Vador: Je t’atendais depuis tellement longtemps Bruce.  Batman: Tu as tué mes parents

comme ça la marche nuptiale ? ! Yvon : (sûre d’elle.) Laissez-moi un peu de temps, on va répéter, ça ira ! Le Rouzick : (inquiet.) Tu veux pas suivre sur une partition, t’es sûre ? Yvon : J’sais pas lire les notes… je joue à l’oreille !! Yannick : A l’oreille ? Le Rouzick : Eh ben ! Tu dois être sourde ! Yvon : J’avais jamais joué la marche nuptiale, moi… On peut pas jouer aut’chose ? ! Yannick : (ironique.) Oui… la Macaréna !! Le Rouzick : (dubitatif.) Au biniou ça va être

et souviens toi, c’est l’hiver ! LeaderPower : Oh ! J’y cours !! N’en profite pas sans moi sinon je te tue ! KyuHyun : Dépêche, ça commence ! En plus il y a une grosse plaque de verglas à l’entrée ! Que j’aime l’hiver.. LeaderPower : Que j’aime habiter en face d’une école. KyuHyun : Que j’aime les voir s’écraser parterre à cause du verglas ! LeaderPower : Oh ça y est ! Striiiiike ! Nous pouvons remarquer un petit côté sadique chez nos Super Junior. Msn: EternalMaknae : Pourquoi tu

sa lapine. Soudain elle entend un « merci ». -Ah ! C’est bien d’être polie Titoune ! dit-elle sans réfléchir. … Mais qu’est-ce que je raconte, j’entends des voix ?! -Non, c’est bien moi ! Ta boule de poil préférée ! -Titoune ?! Mais depuis quand tu sais parler ? -Depuis que je suis né sauf qu’il y a le langage animalier comme quand je fais des bruits et aussi le langage que tu parles. -Dis-tu peux arrêter de jeter le foin hors de la cage ? Ça me faciliterait les choses. -Oui mais les lapins

se pâmait d’aise en me voyant, et même, m’a-t-on assuré, en ne me voyant pas, ce qui est le comble de la tendresse. Il se serait fait couper en deux pour moi, le pauvre garçon. La preuve, c’est qu’il a été coupé en quatre par Bougrelas. Pif paf pan ! Ah ! je pense mourir. Ensuite donc, je prends la fuite, poursuivie par la foule en fureur. Je quitte le palais, j’arrive à la Vistule, tous les ponts étaient gardés. Je passe le fleuve à la nage, espérant ainsi laisser mes persécuteurs. De tous côtés la