Ah ! ça ira

bravo un bandit brusquement brun brune bleu d'abord beaucoup septembre octobre novembre décembre un bras Bruno Bastien une cabane des cubes Sabrina brisé une biche un tube une banane libéré un bonbon boire -5- Riri ira dans la rue. Le vent a brisé une branche du bel arbre de papa. Il est triste ! Bruno se promène dans le jardin. Le petit bébé joue avec des cubes. Une biche se promène dans la forêt : j'ai vu les traces de ses sabots. Bastien est allé boire un

fauteuil. Pendant ce temps, Pierre fait l’inventaire.) VOIX OFF- Pierre ! Pierre ! PIERRE- Alors… Six verres à pied… Six verres à pied… Oh ! Il y a même les flûtes à champagne ! Mais ils sont sacrements équipés dans ce chalet, c’est merveilleux ! Si ça se trouve, il y a même un seau à glace… Mais oui ! Qu’est ce que je disais… Alors là ! Bravo ! Ils ont pensé à tout. Chapeau l’organisation ! MARTINE- (entrant) Pierre ! Mais qu’est ce que tu fais ? Tu ne peux pas répondre quand je t’appelle ? Tu

ô, Licorne écartelée, Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa) niére de mimosa : Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale; Volcan. Roc : tarot célé du Père. Livres. Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge : ipséité banale. L' (eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei… Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or, Noël : crèche (l'an ici taverne gelée dès bol…) à santon givré, fi !, culé de l'âne vairon. Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec). Saluts : angiome

ans, nous allons passer la journée à Poissy. Ça nous fait prendre l’air, sans compter que nous aimons la pêche à la ligne, oh ! mais là, nous l’aimons comme des petits oignons. C’est Mélie qui m’a donné cette passion-là, la rosse, et qu’elle y est plus emportée que moi, la teigne, vu que tout le mal vient d’elle en c’t’affaire-là, comme vous l’allez voir par la suite. « Moi, je suis fort et doux, pas méchant pour deux sous. Mais elle ! oh ! là ! là ! ça n’a l’air de rien, c’est petit, c’est maigre

travail de temps en temps. Max Ba justement, hier j’ai rencontré une femme qui a travaillé avec moi il ya 1 mois. Elle m’a dit qu’elle pouvait nous aider, mais il faut lui faire confiance. Peter Et elle veut qu’on fasse quoi ? Max Ba c’est ça le truc … Max prend un air gêné et se met à chuchoter. Max Elle veut qu’on braque la Security Bank of Manchester Peter et James sursautent et lui répondent en s’énervant James T’es fou ou quoi la, t’es bourré ? Max les calme et

------------------------------------------------- Extrait 1 – Chapitre 1 "Doukipudonktan", se demanda Gabriel excédé. Pas possible, ils se nettoient jamais. Dans le journal, on dit qu'il y a pas onze pour cent des appartements à Paris qui ont des salles de bain, ça m'étonne pas, mais on peut se laver sans. Tous ceux-là qui m'entourent, ils doivent pas faire de grands efforts. D'un autre côté, c'est tout de même pas un choix parmi les plus crasseux de Paris. Y a pas de raison. C'est le hasard qui les a réunis.

maître et de le regarder faire toutes les bêtises et blasphèmes du monde sans jamais pouvoir lui dire ce que j'en pense. Ca me plairait d'être gentilhomme. D'être un noble avec des valets et des serviteurs. Ne plus servir... quel rêve ! Les voilà qui arrivent, lui et sa nouvelle proie. Je m'en vais me cacher, il ne faut pas qu'on m'entende. Ce buisson-là m'a l'air bien adapté. Ah, le vilain se cache ! C'est drôle, jamais n'a-t-il de pudeur à propos de son libertinage mais maintenant il ne veut pas

B : Impossible mon enfant. La première vague un peu haute l’aurait englouti. Le capitaine s’approche en silence en sortant sa longue vue d’un air théâtral en murmurant « hum...hum.. ». B : Capitaine ce sont des pécheurs de dauphins ??(Elle dit ça d’un air niais) C : Non madame, ce doit être un navire marchand… M L : laissez-moi regarder dans votre longue vue s’il vous plait capitaine ! Le capitaine commence à mettre la longue vue au niveau de ses yeux mais La baronne lui arrache pour

regretté le temps que j’ai perdu avec des malades mentaux mais je ne compte pas nier que j’ai tiré bénéfice de toutes ces expériences qu’elles soient blanches ou noires, rudes ou douces, ça n’a fait qu’améliorer encore plus mon champs de bataille, consolider mes futures attaques et me redonner confiance en moi…Ah ! Ce « Moi » que je tentais sans cesse de retrouver… S’auto-découvrir à nouveau était ma devise, à force de trébucher je ne me supportais plus, je me suis rendue compte que la vie est si

différentes manières selon les consommateurs : 8 personnes qualifient la démarche de sympathique, contre 4 qui trouvent le concept totalement inutile voire absurde : « Ce qui est drôle c’est que là on a une rubrique personnalisation, on a l’impression que ça va être personnalisé mais une fois que tu auras choisi ton sirop dans ton café, dans telle dimension, avec ton sirop aromatisé, tu feras juste partie des millions de personnes qui, à travers le monde, boiront exactement la même chose, donc c’est l’uniformisation