Ah Les Oaristys Les Premières Maîtresses

11) Le poème m’évoquant le plus la mélancolie est « vœu » car il lie tristesse et rêverie à la perfection. « […] Hélas ! […] De mes ennuis, de mes dégoûts, de mes détresses ! […] pensive […] » : Ah ! les oaristys ! les premières maîtresses ! L’or des cheveux, l’azur des yeux, la fleur des chairs, Et puis, parmi l’odeur des corps jeunes et chers, La spontanéité craintive des caresses ! Sont-elles assez loin toutes ces allégresses Et toutes ces candeurs

Pour cette âme ulcérée… Enfin au cimetière, Un soir d’automne sombre et grisâtre, une bière Fut apportée : un être à la terre manqua, Et cette absence, à peine un cœur la remarqua. Vœu Paul Verlaine, Poèmes saturniens Ah ! les oaristys ! les premières maîtresses ! L’or des cheveux, l’azur des yeux, la fleur des chairs, Et puis, parmi l’odeur des corps jeunes et chers, La spontanéité craintive des caresses ! Sont-elles assez loin toutes ces allégresses Et toutes ces candeurs ! Hélas

I à VI des éditions actuelles est publié en 1668, le deuxième (livres VII à XI) en 1678, et le dernier (livre XII actuel) est daté de 1694. Le brillant maniement des vers et la visée morale des textes, parfois plus complexes qu'il n'y paraît à la première lecture, ont déterminé le succès de cette œuvre à part et les Fables de La Fontaine sont toujours considérées comme un des plus grands chefs-d’œuvre de la littérature française. Le Rat qui s'est retiré du monde Les Levantins en leur légende
Disent

BAUDELAIRE………………………15 L’angoisse de Paul VERLAINE………………………………..16 Mors de Victor HUGO………………………………………….17 Le départ de Guillaume APOLLINAIRE Extrait du recueil « Calligrammes », Guillaume Apollinaire écrit cette poésie en 1918 durant la première guerre mondiale. La plupart de ses poèmes ont été écrit alors qu’il était au front et sont généralement dédiés à son épouse Jacqueline. On peut remarquer dans cette poésie des rimes croisées en –e et –é. Et leurs visages étaient pâles Et leurs

(=poètes chant) · Double fonction : rappeler l’âge d’or de la poésie (Antiquité + autres temps anciens) montrer la décadence des temps modernes -> poète se réfugie dans les temps anciens · Ex âge d’or: “Ah ! La terre et la mer et le ciel, purs encore Et jeunes, qu’arrosait une lumière d’or” · Ex décadence: “-Aujourd’hui, l’Action et le Rêve ont brisé

parlant pas des enfants qui jouent avec leur cerfs-volant, Coppée, parle en revanche des relations amoureuses qui, le temps d'un instant, provoque la nostalgie de celui qui le vit. Poème 10 : « Vœu » ; de Paul Verlaine. « Ah ! les oaristys ! les premières maîtresses !L'or des cheveux, l'azur des yeux, la fleur des chairs,Et puis, parmi l'odeur des corps jeunes et chers,La spontanéité craintive des caresses !Sont-elles assez loin toutes ces allégressesEt toutes ces candeurs ! Hélas ! toutes

l’histoire, Où les fils de Raghû, beaux de fard et de gloire, Vers la Ganga régnaient leur règne étincelant, Et, par l’intensité de leur vertu troublant Les Dieux et les Démons et Bhagavat lui-même, Augustes, s’élevaient jusqu’au Néant suprême, Ah ! la terre et la mer et le ciel, purs encore Et jeunes, qu’arrosait une lumière d’or Frémissante, entendaient, apaisant leurs murmures De tonnerres, de flots heurtés, de moissons mûres, Et retenant le vol obstiné des essaims, Les Poëtes sacrés

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » SI LE GRAIN NE MEURT André Gide (1926) Table des matières PREMIÈRE PARTIE................................................................. 3 0 1 I .....................................................................................................4 1 1 II ..................................................................................................29 2 2 III .............................................................

parfois de frisson …le sens qu’on lui prête alors, souvent fort éloigné de son sens véritable, est la marque du lien que l’on essaie de tisser avec lui : ne pouvant « forcer » sa signification, on le drape, le vêt d’un voile de sens imaginaire, première approche de ce syntagme qui a tant à nous dire ! Dans Milly ou la terre natale, Lamartine pose superbement la question de l’attachement sentimental à l’objet : Objets inanimés, avez-vous donc une âme Qui s'attache à notre âme et la force d'aimer