Ahmed Balafrej

Nom : AKROUMA Prénom : LEILA Adresse : 16, Rue Cadi Ahmed Bennani Souissi Tél : 060-74-44-33 E-mail : lilaakrouma@yahoo.fr Attestations et Diplômes Obtenues : 2004/2005 : Diplôme de Technicienne d’Informatique de Gestion à l’IPIAB. 2002/2003 : Attestation d’Assistante de Direction à l’ IPIAB. 2001/2002 : Diplôme d’ Opératrice en Informatique à l’ IPIAB. - Attestations et Appréciations des Stages - Attestation de DELF / DALF. - Diplôme de KARATE. - Attestation

une monarchie constitutionnelle. La dénomination Istiqlal date de 1934, après la fondation du Comité d'action marocain par Allal Fassi Le parti prend officiellement le nom de "Parti de l'Istiqlal le 10 décembre 1943 sous l'impulsion d'Ahmed Balafrej, qui en est le secrétaire général fondateur, auquel succèderont Allal El Fassi qui prend le titre de « Zaim » puis M'hamed Boucetta, Abbas El Fassi et Abdelhamid Chabat. Idéologie : Nationalisme, Conservatisme UNFP : Union nationale des

Mohamed Cherqaoui et Abedelhadi Boutaleb, avec Bensalem Guessous et avec le dirigeant du Mouvement Populaire (berbère) Mahjoubi Aherdane. Il rencontra aussi des dirigeants plus conservateurs comme Allal Alfassi, Hadj Omar ben Abdeldjalil, Ahmed Balafrej, Moulay Ahmed Alaoui et le docteur Mohamed Alfassi. Ces relations, et bien d’autres encore, ont fait de Golan un médiateur incontournable aux services duquel tout organisme étranger devait avoir recours pour établir des contacts avec des protagonistes

lutte pour l’indépendance - Le mouvement nationaliste fut influencé par les doctrines réformistes et le panarabisme qui se développaient alors dans toutes les sociétés musulmanes du moyen orient. - En 1934, Allal Al Fassi, Mohamed Ouazzani et Ahmed Balafrej fondèrent le Comité de l'Action Marocaine, véritable parti politique réclamant l’application stricte du traité de Protectorat. - Non Seulement ils demandèrent à la France de respecter l'accord de Fès mais lui présentèrent également un plan de

libéral constitutionnel tunisien, ou Parti du Destour (« Constitution »), qui réclame le rétablissement de la Constitution. 1934. Habib Bourguiba rompt avec la direction du Destour et fonde, le 2 mars, le Néo-Destour. 1942. Moncef Bey succède à Ahmed Bey en juin. Il est destitué un an plus tard par les autorités françaises et meurt en 1949 à Pau. 1943-1944. L’Allemagne occupe la Tunisie. 1945. Départ de Bourguiba en Egypte, d’où il mène la lutte anticoloniale. Il sera de retour en septembre 1949

militant en 1957 et c'est devenu un parti national à ce stade là, qui s'est implanté même dans les milieux ruraux du Maroc. Parti qui acquiert une envergure considérable. Co-dirigé par Allal al-Fassi (réformiste musulman et contraint à l'exil) avec Ahmed Balafrej mais l'homme qui va s'imposer sur la scène po c'est Mehdi Ben Barka qui lui aussi est l'un des fondateurs de l'istiqlal (dps 1943). Il tend à considérer qu'il faut le réformer, faire valoir la voix progressiste. Projet de réforme etc. Istiqlal

Seconde Guerre mondiale renforçant le nationalisme, les deux pays revendiquèrent leur indépendance. La France réagit alors en arrêtant les chefs des mouvements indépendantistes de chaque pays : Habib Bourguiba en Tunisie, à la tête du Néo-Destour, et Balafrej au Maroc, à la tête de l’Istiqlal. Mais les deux pays n’abandonnèrent pas. Bourguiba revient en 1949 en Tunisie et entreprend un bras de fer avec la France en 1952 quand il se voit refuser toute négociation. Le gouvernement français finit par transiger

Riegner oof Geneva, the WJC’s legal counsel, Morris Perlzweig of New York, Alexander Easterman of London and Armand Kaplan of Paris. The participating Moroccans were Abderahim Bouabid, Mehdi Ben Barka, Mohammed Bouceta, Abdelqader Benjelloun and Ahmed Ben Souda. The WJC leaders asked the nationalist move¬ment leaders to see to it that the commanders of the Lib¬eration Army’s field units refrained from injuring innocent Jews. At the recommendation of Bouabid, a promise was given and the armed forces

manuscrit en arabe, «Al-widad» distribué dans l’ombre des ruelles de médinas. Quelques années plus tard, «la revue du Maghreb » est fondée par Mohamed hassan Ouazzani, Robert-Jean Longuet avec le concours de Omar Ben Abd-el-jalil et surtout Ahmed Balafrej. Mise sur un journalisme engagé pour rappeler à la France son devoir de réforme et de modernisation, il est décidé que le mensuel sera imprimé à Paris afin de contourner les éventuelles censures de la Résidence. La bande de «Maghreb» lance

renforce les espoirs des nationalistes. La figure principale du nationalisme marocain, Allal al-Fasi, va donner ses fondements idéologiques au parti de l’Indépendance, l’Istiqlal, branche dissidente du Comité d’action marocaine, fondé en 1943 avec Ahmed Balafrej. Un an auparavant, en novembre 1942, les troupes américaines ont débarqué au Maroc ; le pays devient alors une base stratégique pour les Alliés jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, et les troupes marocaines, intégrées à l’armée française