Ahmed Ben Bella

devant l’ampleur des attentats visant les intérêts arabes et britanniques. C’est le cas de l’attentat contre le KING DAVID HÔTEL (Etat Major des forces britanniques) du 22 juillet 1946 qui a fait plus de 200 morts. C’est dans ce contexte que David Ben Gourion proclame le 14 mai 1948 (veille du départ des troupes britanniques) la naissance et l’indépendance de l’Etat d’Israël, au nom du Conseil National Juif. Le lendemain, les armées de la Ligue arabe (Egypte, Syrie, Jordanie et Liban) attaquent le

pluralisme culturel des peuples qui la composent. Cette assemblée internationale apporte une aide pratique à des parlements qui s’éveillent à la démocratie et manquent d’expérience. « Quand la francophonie parle, une seule voix est écoutée » , a dit Ahmed Fathy Sorour, président de l’Assemblée de peuple de la République arabe d’Egypte, qui s’exprimait du haut de la tribune de PalaisBourbon, lors de l’ouverture des travaux de la XX session ordinaire de l’Assemblée internationale des parlementaires

p s x a s v) es s i  A me Mo lyM’ me , dit Ahmed Cherif, ancien chef des services de h d ua Ha d sécurité.  Le commandant Ayoub Lahbib, membre fondateur du Polisario.  Baba Mustapha Sayed, représentant du Polisario au Canada.  Bahir Dkill, membre fondateur du Polisario, ancien représentant de l ra i t nd n pui r p y. ’ gns i a s ls us as o ao e  Brahim Hakim, ancien ministre et représentant du Polisario en Amérique du Nord.  Ghaouta Mohamed Ahmed Baba, un des responsables du recensement. 

contre les symboles et les institutions de l'apartheid sans tuer, se lance avec succès dans une grève générale et prépare la lutte armée avec un entrainement militaire de ses membres en Algérie, car en 1962 Mandela est invité par le président Ahmed Ben Bella. Il lui a beaucoup parlé de la guerilla. Des camps d'entrainement et un soutien financier est mis en place par Alger pour les resistants anti-apartheid. Des formations millitaires y sont données, Mandela y fut aussi formé. La guerre de libération

Par Sahbi Ben Nablia, expert en communication et médias arabes Bureau Multipays de l’UNESCO pour l’Algérie, le Maroc, la Mauritanie et la Tunisie 35, Avenue du 16 Novembre, Rabat, Maroc Tél.:+212 (0) 5 37 67 03 72/74 Fax : +212 (0) 5 37 67 03 75 http://rabat.unesco.org Bureau Multipays de l’UNESCO pour l’Algérie, le Maroc, la Mauritanie et la Tunisie, 2009 Les idées et opinions exprimées dans cette publication sont celles de l’auteur et nereflètent pas nécessairement celles de l’UNESCO. Les

dire que cette nébuleuse est un terrain miné pour ceux qui ne la maîtrisent pas. « Une pieuvre, selon un ancien fonctionnaire de l’ambassade de France à Alger. L’Algérie, c’est un univers brejnevien, un des derniers pays soviétiques au monde1. » Sid Ahmed Ghozali, ancien Premier ministre, clairvoyant, explique lors d’une rencontre avec l’ambassadeur américain, David D. Pearce : « Il y a deux sociétés parallèles en Algérie, l’une en surface et l’autre dans les coulisses2. » Dans ce Système, le président

Europe); les sectes les plus diverses s'implantent sur tous les continents. -Ce retour du religieux peut s'accompagner d'une radicalisation. Le discours religieux est alors utilisé pour mobiliser à des fins politiques, économiques ou financières (ex. Ben Laden et l'Islam). Cet extrémisme est le fait des adeptes des grandes religions (chrétiens, juifs, musulmans ou hindouistes) ou de sectes (ex: suicide collectif de 1000 adeptes du "temple du peuple" au Guyana en 1978). De la société industrielle

Abdelhafid Hamdi-Chérif et Mourad Kahloula, avec la contribution de Dalila Zennaki : Omelez Ali Saad El-Farsi Azza Kamel Maghur (Regard croisé) : Ali Karimi : Sameh Fawzy Henien Maroc Mauritanie : Abdoulaye Sow Tunisie : Moncef Ouannes Khadija Ben Mahmoud Chérif (Regard croisé) Avec les contributions de Patrice Meyer-Bisch, El Habib Belkouch, Faïza Younis Al Bacha, Fouzia Rhissassi et Mohammed Zerouali publié en 2010 par l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et

sa ville natale où il est enterré, des contacts étroits avec les leaders du mouvement national, dont Messali Hadj, de la même manière qu’il entretenait des relations avec des personnalités politiques et intellectuelles connues comme Si M’hamed Ben Rahal Nédroumi, lettré et homme politique, Abdelkader Midjaoui, professeur et homme de lettres, précurseur du mouvement de la réforme, Abdelaziz Zenagui, lettré, répétiteur à l’Institut des langues orientales à Paris, le faqih Harchaoui, le professeur

porte toujours, le costume musulman ou arabe, qui peu à peu est devenu mozabite, puisque les autres l'ont abandonné ! Tout simplement. Dans ma famille régnait un grand climat patriotique nourri des débats qui se tenaient dans le salon fréquenté par Ahmed Bouda, Sâad Dahleb, des membres de l'association des Oulemas... Et puis, je suis à la fois l'arrière-petit-fils de Cheikh Tefayech, savant ibadite, et le petit-fils du dernier Cadi ibadite de la ville de Constantine, avant qu'elle ne tombe aux mains