Aktouf

aux salariés. Le management participatif est une forme de management favorisant la participation aux décisions, grâce à l'association du personnel à la définition et à la mise en œuvre des objectifs le concernant. (1)- Pour plusde détail : Omar AKTOUF, opération.cit. (2)- Management des organisations (3)- Alpha encyclopédie * Le management participatif peut aussi se définir comme « une mobilisation du personnel par une démarche dont le but consiste à intégrer les structures et les attitudes

pour reprendre la formule de Crozier (1989), "de bâtir la cité idéale"[10], du moins l'entreprise de ses rêves. Et elle doit se recentrer sur ce qui n'appartient qu'à elle, rassembler et manager les ressources de l'entreprise. Références Aktouf, O., Methodologie des sciences sociales et approches qualitative des organisations, Québec : Presses universitaires du Québec et HEC Presses, 1987. Bryman, Y., Quantity and Quality in Social Research, London : Unwin Heyman, Contemporary Social Research

d’entreprise s’est étoffé afin de mieux coller à la réalité d’aujourd’hui. Finalement, on peut conclure que la gestion d’une entreprise, agricole ou non, devrait être par définition une gestion stratégique. Quelques références bibliographiques Aktouf, O. 1989. Le management entre tradition et renouvellement, Gaétan Morin Éditeur. Bergeron, P.G. 1986. La gestion dynamique, Gaétan Morin Éditeur. Bonneville, J.R., Jussian, E. Marshall. Approche globale de l’exploitation agricole, Diffusion INRAP-Faucher

Valence : C’est la valeur attribué par l’individu à la récompense.------------------------------------------------- La PLANIFICATIONC’est une activité qui consiste à déterminer des objectifs précis et à mettre en œuvre les moyens propres à les atteindre (Aktouf) . 3 Niveaux de planification1. STRATÉGIQUE Qui sommes-nous?Où allons-nous?(pertinence actuel,orientations futurs)2. STRUCTURELLE Comment allons nous y arriver?Les moyens et utilisation3. OPÉRATIONNELLE Par qui? Quand? Tracer au jour le jourStratégie :

l'organisation. Pour l'ensemble de ces théoriciens, la culture se résume presque à "la quasi magique communion de tous, patrons et ouvriers, dirigeants et dirigés, en un même et enthousiaste mouvement de support de l'entreprise et de ses objectifs" (Aktouf, 1990, p.556). La culture est ici perçue comme un instrument. Dans une telle perspective, comme le note Dupuis, la stratégie devient le choix de la bonne culture, des valeurs qui homogénéisent les comportements (1990, p.544). Toutefois, certains travaux

consommation étant en rade, non seulement en France et en Belgique mais partout en eurozone, il est plus que probable que la plus grande partie de cette création monétaire est orientée vers les marchés financiers et alimente la Spéculation. Selon Omar Aktouf (Canada) dans son livre « la stratégie de l'autruche » où il cite K.Marx et les économistes classiques, le tertiaire de circulation (mouvements commerciaux, financiers, spéculation...) n'est pas créateur de valeur excédentaire...et conclut donc que

les représentations diplomatiques, les immeubles , les cliniques, les cinémas, les supermarchés et même les boulangeries… font de plus en plus appel à des agents privés pour veiller à ce que l’ordre et la quiétude règnent chez eux. Selon Rachid Aktouf, secrétaire général de l’Association Marocaine des Entreprises de Gardiennage (AMEG), il y aurait plus de 150.000 agents de sécurité au Maroc, et le chiffre d’affaires généré par la seule activité de gardiennage s’estimerait à 700 millions Dh cette

complexification de l’organisation dans le futur si le besoin se fait sentir. 11 Références bibliographiques [1] ARCHAMBAULT, G. Le Dilemme du directeur Demers, Recueil de textes et de cas n° 4435O HEC Montréal, pp. 75-82. [2] AKTOUF, Omar (2002). La stratégie de l’autruche Post-mondialisation, management et rationalité économique, Montréal, Québec, les éditions écosociété, 370 p. [3] GIBSON, J. et al (1976). Organizations, Business publications, Texas, 89p.

et Grawitz (1969), les interviews selon deux criteres : le degré de liberté laisse au repondant dans la discussion avec l'intervieweur et le degre de profondeur ou de finesse de l'information recherchee. II.4.2.LES TYPES D'INTERVIEWS : Scion Omar Aktouf (1992), it existe plusieurs types d'interview tel que : • L'INTERVIEW CLINIQUE : Comme son nom l'indique, ce genre d'interview est clinique, c'est-A-dire qu'il s'apparente (et appartient) a la methode qui porte le meme nom et qui consiste a

combinaison de moyens (financiers, humains, matériels, etc.) puisse générer une production de biens ou de services économiquement et socialement utiles et si possible, pour l’entreprise à but lucratif, rentables. De cette définition, élaborée par Omar Aktouf (2006), nous partageons l’idée que la gestion est associée à différentes activités de coordination d’un travail collectif. Nous nous distançons par contre de cette définition lorsqu’est évoquée la réalité que représente « l’entreprise à but lucratif