Alain Bosquet Le Poéte Comme Meuble

..........................163 Séquence 10 Les jeux de l’amour .......................................................................165 Séquence 11 Histoire des arts : Dame Nature en son jardin ..............................185 Séquence 12 Le poète, arpenteur du monde ......................................................192 Séquence 13 Parcours de lecteur : Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 .........213 Vers le bac : « Chanter la révolte » ..............................................

..........................163 Séquence 10 Les jeux de l’amour .......................................................................165 Séquence 11 Histoire des arts : Dame Nature en son jardin ..............................185 Séquence 12 Le poète, arpenteur du monde ......................................................192 Séquence 13 Parcours de lecteur : Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 .........213 Vers le bac : « Chanter la révolte » ..............................................

PARTIE I HISTOIRE DES JARDINS L'ART DES JARDINS APPARTIENT À NOTRE CULTURE. IL CONSTITUE UN RICHE TÉMOIGNAGE DE L'ÉVOLUTION DES MODES DE VIE, DE L'ORGANISATION SOCIALE DANS LE TEMPS ET L’ESPACE. Longtemps considéré comme utilitaire, source alimentaire et médicinale, le jardin prend à partir du XVIe siècle une dimension décorative. Jusqu'à la deuxième partie du XXe siècle, les architectes, les paysagistes - peintres du paysage -, les jardiniers et maîtres jardiniers, se

et constate que son repas est, une fois de plus, «foutu». Il n’arrive pas à suivre une conversation normale avec un passant. À l’auberge, le duc se voit offrir du «bortch», demande une «liqueur ecphratique, de l’essence de fenouil par exemple». Comme un palefrenier est venu dire que le cheval du duc parle, il lui faut fuir l’auberge à la porte de laquelle une foule s’en prend à lui à cause de son refus d’aller à la croisade : «dégainant son braquemart pour la seconde fois», il «occit deux cent

et constate que son repas est, une fois de plus, «foutu». Il n’arrive pas à suivre une conversation normale avec un passant. À l’auberge, le duc se voit offrir du «bortch», demande une «liqueur ecphratique, de l’essence de fenouil par exemple». Comme un palefrenier est venu dire que le cheval du duc parle, il lui faut fuir l’auberge à la porte de laquelle une foule s’en prend à lui à cause de son refus d’aller à la croisade : «dégainant son braquemart pour la seconde fois», il «occit deux cent

de cesse d'absorber toute sorte de matériaux – biographiques, historiques et littéraires – pour les réassembler dans sa forme propre. 5 6 Introduction A. L'expérience sauvage La sauvagerie n'apparaît pas dans Les Chants de Maldoror comme un concept formulé ou explicite : les quelques occurrences de l'adjectif sauvage ne servent qu'à désigner des animaux ou des lieux, jamais à caractériser Maldoror. Quant à sauvagerie, le substantif est tout bonnement absent du texte. La sauvagerie

gêné par mon raffinement... Que va-t-on dire ? Prétendre ?... Insinuer ?... Un raffiné valable, raffiné de droit, de coutume, officiel, d'habitude doit écrire au moins comme M. Gide, M. Vanderem, M. Benda, M. Duhamel, Mme Colette, Mme Fémina, Mme Valéry, les "Théâtres Français"... pâmer sur la nuance... Mallarmé, Bergson, Alain... troufignoliser l'adjectif... goncourtiser... merde ! enculagailler la moumouche, frénétiser l'Insignifiance, babiller ténu dans la pompe, plastroniser, cocoriquer dans

esthétisante. Elle a dû se dégager de l'étude des entours du cinéma qui relèvent de la sociologie, de l'économie, de l'esthétique... On peut en effet analyser le cinéma en termes de production, en tant que show-business, étudier des phénomènes associés comme le vedettariat. La constitution d'une analyse filmique méthodique, d'une filmologie renvoie à la spécificité du langage filmique qui constitue à proprement parler l'objet de la sémiologie du cinéma.

chapitre………………………………………………449 Conclusion ……………………………………………………………455 Bibliographie………………………………………………………….464 ♣♣♣♣♣ 11 Introduction Faire l’histoire à partir de la littérature peut sembler étonnant. Ainsi l’histoire peut être considérée comme une science humaine dont l’objet est l’étude du passé tandis que la littérature livre les écrits relevant d’une culture, d’une époque, d’un genre. Donc, on peut dire que le matériau littéraire peut servir de source documentaire au même titre que

alors, quand emploie-t-on « on » ? Une fonction qui lui colle à la peau ! En et y, de drôles de zigotos Un mot des pronoms… qui réfléchissent ! Les démonstratifs : ils montrent du doigt… Les possessifs, de vrais rapiats, non ? Les relatifs, comme quoi tout est toujours relatif ! Les indéfinis : ils aiment à cultiver le doute… Les interrogatifs : Je t’en pose des questions ? Et les pronoms exclamatifs de s’exclamer ! ! ! L’adverbe Ils en font des manières, ces adverbes ! Le modèle le plus