Albert de Broglie

L'Ordre moral est une coalition des droites qui se forme après les chutes successives de Napoléon III et du gouvernement républicain provisoire. C'est aussi le nom de la politique souhaitée par le gouvernement d'Albert de Broglie formé sous la présidence du Maréchal Patrice de Mac-Mahon à partir du 27 mai 1873. « En quoi l’ordre moral a-t-il favorisé l’instauration de la République ? » I Une tentative de restauration manqué (73-74) II L’évolution vers un régime républicain (74-79) III Une politique

les relations entre Thiers et l’ass se détèriorent car thiers a une pers très forte qui bénéficie d’une grande eloquence et jouit au sein du pays d’un certain prestige  Thiers se rend maître de l’ass . Mars 1873 : la loi dite “constitution de Broglie “ est voté et réduit les pvrs du pres .  Thiers démisionne en mai et est remplacé par Mac-Mahon . D’un point de vue institutionnel rien ne change .Mais le changement d’ho va avr son importance , Mac-Mahon n’est pas un orateur . Il va laisser

orléaniste, Mac Mahon, dont l'ambition politique semble se limiter au retour du roi, laisse la tâche de gouverner au duc de Broglie, qui entreprend une politique très conservatrice de retour à l'Ordre moral. Le duc de Broglie. Dans ce contexte, la droite prépare des institutions qui seraient susceptibles de fonctionner et d'être modifiées en monarchie. Le duc de Broglie fait voter le 20 novembre la loi portant le mandat du président à sept ans pour prolonger la présidence de Mac Mahon. Malgré

peuple de Bordeaux → il ne devait pas prendre possit° sur les institut°. Thiers deviens un obstacle pour le rétablissement de la monarchie. Le duc Albert de Broglie ( chef des orléanistes) → Thiers mis en minorité par un vote de confiance pour Thiers → vote rep non. Remplacer par le Maréchale de Mac-Mahon ( roy – légitimiste ) chef du gvrt : Broglie . Les monarchistes sont dc majoritaire et aussi le président → « la république des Ducs » → une politique « d'ordre morale » 3) la politique de

bien m'écrire m'impose le devoir de vous donner ma démission des fonctions que vous aviez bien voulu me confier[]. » Cependant on estime que Jules Simon serait parti de son plein gré. Le même jour, Mac Mahon nomme Albert de Broglie président du Conseil (troisième gouvernement de Broglie), qui forme un ministère de droite[], d'ordre moral, dit « ministère du 16 mai » afin de retrouver un gouvernement en accord avec ses vues. Début mai 1876, un débat à propos de la restauration du pouvoir temporel

compromis n’ayant pas marché, Mac-Mahon rappelle Albert de Broglie pour la troisième fois qui reforme alors un gouvernement de droite appelé aussi le « ministère du 16 mai ». On assiste véritablement à une coalition des droites appuyée par le Sénat. C’est un véritable scandale pour les républicains d’autant plus que l’objectif de cette union des droites est de défendre l’Eglise et les anciennes classes dirigeantes contre le radicalisme anticlérical. Broglie lui-même est peu convaincu de la réussite de

confiance de la majorité républicaine démissionna le 3 décembre 1876, il fut aussitôt remplacer par Jules Simon qui ne résista pas non plus à l'opposition de Gambetta et démissionna le 16 mai 1877, c'est de la que la crise commence. Mac-Mahon mit Albert de Broglie à la tête du gouvernement, mais la Chambre refusa de lui donné sa confiance, ce qui fut décisif. La Chambre fut dissolu le 25 juin 1877. Après les élections municipales, ou les républicains gagnent d'une large majorité, Mac-Mahon renia en quelques

caractère inatteignable. Albert de Broglie est né à Paris le 13 juin 1821 et est mort dans la même ville le 19 janvier 1901. C’est un historien, diplomate et homme d’Etat française, monarchiste, sous la troisième république l'une des figures du royalisme  orléaniste  et du  catholicisme libéral . Il est d’ailleurs l’instigateur de la loi du 13 mars 1873 dites « Constitution de Broglie » ou encore la monarchie sans le roi. Elle est

l’Armée par le Général Boulanger. Il reste sénateur jusqu’à son décès en 1899. La monarchie constitutionnelle est quand à elle représenté par les orléanistes. Les grandes figures de cette monarchie sont Lous-Philipe-Albert, De Broglie et d'Audiffret-Pasquier. Louis Philippe[N 1] Albert d'Orléans, comte de Paris, est né au palais des Tuileries à Paris, le 24 août 1838, et est décédé à Stowe House, dans le Buckinghamshire, en Angleterre, le 8 septembre 1894. Il est prince royal de France de 1842 à

Conseil un républicain. Lorsque Mac-Mahon écrit au Président du Conseil, Jules Simon, pour lui reprocher son attitude face à la Chambre, la crise éclate le 16 mai 1877. Jules Simon démissionne remplacé de suite par Albert de Broglie. Dès lors la Chambre s’insurge contre le ministère de Broglie et refuse de lui accorder confiance. Cette compagne électorale a montré la confrontation entre deux conceptions parlementaires : parlementarisme dualiste de Mac-Mahon (le gouvernement est responsable devant la Chambre