Alfred de Musset

Biographie Alfred de Musset Musset est né à Paris en décembre 1810 dans un milieu aisé et cultivé .Il était doué de grandes facilités et mena une adolescence dissipée de dandy. Il entreprit des études de droit et de médecine, qu’il ne termina pas, et fréquenta, dès 1828, le Cénacle romantique chez Hugo et chez Nodier. Précoce, brillant, célébré, il publia son premier recueil de vers, Contes d’Espagne et d’Italie (1829), à l’âge de dix-neuf ans et remporta un succès immédiat. Malgré cette gloire

Alfred de Musset Alfred de Musset est un poète et un dramaturge français de la période romantique, né le 11 décembre 1810 à Paris, où il est mort le 2 mai 1857. Lycéen brillant, le futur poète reçoit un grand nombre de récompenses dont le prix d'honneur au Collège Henri IV en 1827 et le deuxième prix d'honneur au concours... Alfred de Musset (1810-1857) est un dramaturge, écrivain, poète le plus célèbre des jeunes générations des poètes romantiques en France. Il est né le 7 novembre à Paris,

Alfred de Musset est un dramaturge français de la période romantique. Comme ses contemporains, il souffre du "mal du siècle". Alors que la tentative d'instaurer une république s'avorte par le retour de l'impérialisme de Bonaparte; Musset, en 1834, fait écho à ce contexte en publiant un drame romantique, Lorenzaccio, et y met en scène la décadence de Florence de 1537. Cette œuvre offre une piètre image des pouvoirs oligarchiques, politique et religieux. Dans quelle mesure Lorenzaccio est anticléricale

ALFRED DE MUSSET Tristesse J'ai perdu ma force et ma vie, Et mes amis et ma gaieté; J'ai perdu jusqu'à la fierté Qui faisait croire à mon génie. Quand j'ai connu la Vérité, J'ai cru que c'était une amie ; Quand je l'ai comprise et sentie, J'en étais déjà dégoûté. Et pourtant elle est éternelle, Et ceux qui se sont passés d'elle Ici-bas ont tout ignoré. Dieu parle, il faut qu'on lui réponde. Le seul bien qui me reste au monde Est d'avoir quelquefois pleuré.

touche à la grâce suprême, C’est vous, la tête en fleurs, qu’on croirait sans souci, C’est vous qui me disiez qu’il faut aimer ainsi. Et c’est moi, vieil enfant du doute et du blasphème, Qui vous écoute, et pense, et vous réponds ceci : Alfred de Musset TRISTESSE Adieu ! Adieu ! je crois qu’en cette vie Je ne te reverrai jamais. Dieu passe, il t’appelle et m’oublie ; En te perdant je sens que je t’aimais. Pas de pleurs, pas de plainte vaine. Je sais respecter l’avenir. Vienne

Lamartine (1790-1869) se fait connaitre d'abord par ses oeuvres poétiques Les Méditations Poétiques, hymne à l'amour et au bonheur de l'instant. Jocelyn ou la chute d'un ange révèlent sa passion religieuse et l'Histoire des Girondinsson intêret pour la Révolution. Alfred de Vigny (1797-1863) est plus pessimiste. Il est hanté par l'idée de la mort et de la solitude comme dans ses poèmes de Moise, de La Mort du Loup, du Mont des oliviers - ou dans le drame de ses héros de romans comme Stella, Cinq Mars, Fabrice des Servitudes

ASSASSINAT D’ALEXANDRE DE MEDICIS PAR MUSSET ET VARCHI I- Les similitudes entre les deux œuvres 1) Circonstances du drame • Ruse de Laurent de Médicis (Faux combats pour habituer les voisins aux cris) • Vol de la cote de mailles 2) Lieu du drame • Florence • Chambre de Lorenzo 3) Inspiration des deux auteurs • Archives secrètes de l’époque pour Varchi • Ecrits de Georges Sand (Une conspiration de 1537) pour Musset II- Les différences entre les

proclamait volontiers « fille d’un patricien et d’une bohémienne », une double appartenance qui a fortement façonné sa vie. Côté vie amoureuse, elle a eu les amants les plus célèbres (Aurélien de Sèze, Stéphane Ajasson de Gransagne, Jules Sandeau, Alfred de Musset, Michel de Bourges, Chopin, Alexandre Monceau), et un mari pendant plusieurs années, Casimir Dudevant. Au fil du temps, elle est devenue une « femme illustre et extraordinaire », jouissant d’une notoriété certaine de son vivant. Son premier roman

lieu de son enfance (« Cafaggiuolo »), mais laisse apparaitre la perversion de la débauche avec une pointe de quasi-schizophrénie, comme le témoigne la phrase « spectre de ma jeunesse ». Ce sentiment de vision de soi n’est pas là par pur hasard, Alfred de Musset avait exactement la même impression en se voyant par moment lui-même dans la rue. Les nombreuses questions et interrogations, telles que « De quelles entrailles fauves, de quels velus embrassement suis-je donc sortis ? » laissent référence à

d'amour, chaque poète exprime ses sentiments de manière différente. Certains poètes expriment leur bonheur d'un amour partagé comme Alfred de Musset dans le poème «  A George Sand  ». Le poète exprime son amour à sa bien-aimée en faisait un éloge à son sujet « Bel ange aux yeux d’azur, aux paupières voilées, Amour, mon bien suprême ». Mais dans ce poème, Alfred de Musset énonce également le fait que George Sand lui a brisé le cœur, et il lui demande « Mets la main sur mon cœur, sa blessure est profonde