Alfred Sloan Et La Décentralisation

| | | | |Auteur  |Alfred P. Sloan (1875-1966) | |Ouvrage de référence  |«Mes années à la General Motors », 1967 (parution posthume) | |Lien avec le référentiel 

accomplit le travail. Idées développées Auteur Ouvrage de référence Lien avec le référentiel Alfred P. Sloan (1875-1966) «Mes années à la General Motors », 1967 (parution posthume) Thème 1.1 Entreprendre et gérer Praticien de l’école néo-classique, Il fut un dirigeant américain et président de General Motors pendant près de 30 ans. Il en a fait la première société mondiale grâce à la décentralisation et en appliquant quatre principes simples : Les divisions doivent être autonomes et jugées d’après

Présentation des écoles moderne. * Les différentes théories des écoles modernes: Section 1: L’école néo-classique : a) Peter Ferdinand Drucker. * Les tâches majeures du management selon Drucker. b) Alfred P. SLOAN. * Les principes de décentralisation coordonnée. c) Octave Gélinier. * Les règles pour l’efficacité des entreprises. Section 2: l’école systémique et la prise de décision: a) MINTZBERG. * Les configurations

un moyen de contrôle de la rentabilité. Alfred Pritchard Sloan (Etats-Unis) - (1875-1966) Mots clés : décentralisation, coordination Points du programme : 1.2. Finaliser, mobiliser et évaluer 1.3. Diriger et décider Il passa quarante cinq ans au service de la General Motors Company dont vingt-trois ans comme directeur général et dix ans comme président du conseil d’administration. ▪ Alfred Sloan juge que seule la décentralisation procure initiative, responsabilité, flexibilité

voiture de chacun. SLOAN Alfred (1875-1966) USA, à l'écoute du marche Pour la production stricto sensu, SLOAN Alfred ne révolutionne pas le système FORD. Mais il perçoit les prémices de la diversification du marché. Avec SLOAN Alfred, Général Motors s'oriente vers la production massive de voitures d'une diversité croissante. Mais le "marketing" seul est insuffisant car il néglige la rationalisation de la production et tolère le gaspillage comme la non - qualité. Sloan passa la totalité de

quotidien, il peut prévoir et anticiper l'évolution de l'entreprise et de l'environnement Inconvénients : - Conflits entre hiérarchie et staff qui peuvent entraîner une baisse du niveau de l'entreprise I.4 Structure divisionnelle (Sloan Peter) Cette structure s'appelle également structure par produit, par projet. Elle permet aux entreprises d'évoluer de s'adapter, en fonction de leur marché, de leur projet, en fonction de leur demande. L'entreprise est divisée en unité autonome

(1895) Fayol (1916) Mouvement des relations humaines (groupe) 1930 Mayo Psychologie Personnalité Maslow Barnard 1940 Moreno Homans Systèmes sociaux Lewin Mac Gregor Merton Urwick Socio-technique (Technique ) 1950 Sloan Argyris Likert Herzberg Drucker Trist Emery Tavistock Institute 1960 Gelinier Mouvement des ressources humaines ( Information et décision ) Simon Cyert March 1970 Sociologie des organisations Crozier Analyse systémique

furent franchies au début du XXème siècle grâce à Henry FORD et Alfred SLOAN, deux pionniers de l'automobile. Henry FORD améliora l'idée de SMITH sur la division du travail en petites tâches répétitives. Ainsi, en décomposant le montage d'une voiture en une série de tâches simples, FORD a rendu les postes de travail plus simples mais aussi plus complexes concernant le travail de coordination et l'addition du résultat final. Alfred SLOAN, successeur du fondateur de General Motors, compléta un système

spécialisation des ateliers. * La firme japonaise est plus centrée sur la rotation des tâches. * Comparaison entre les firmes américaines (H) et japonaises (J) et cohérence entre les mécanismes de coordination et d’incitation dans chacune des firmes. | Alfred DupondCHANDLER(Economiste et historien américain) | 1918-2007 | La stratégie facteur déterminant de l’évolution des structures | Les facteurs influençant la structure | * Il a travaillé sur l’histoire des E américaines pendant la première moitié

l’intérêt particulier à l’intérêt général Rémunération : la rémunération dépend de l’effort de chacun, elle doit être équitable et aussi satisfaisante que possible. Centralisation : est un fait d’ordre naturel, mais le degré de centralisation et de décentralisation, est fonction de l’activité et de la qualité du personnel. Hiérarchie : la voie hiérarchique est le chemin que suivent, en passant par tous les degrés de la hiérarchie, les communications qui partent de l’autorité supérieure ou qui lui sont adressées