Ali Abdallah Saleh

mois, des manifestations contre le régime ont lieu au Yémen, un pays situé au Moyen-Orient. Ce pays très pauvre a été l’un des premiers à être touchés par le « printemps arabe ». Alors que le peuple se révolte de manière pacifique, le président Ali Abdallah Saleh réprime violemment les manifestants. Analyse de la photo : deux manifestants embrassent un militaire. Ce qui est plutôt rare, le rôle de l'armée étant de maintenir l'ordre et de faire un peu peur aux manifestants. Sur cette photo, le militaire

le 30 novembre 1967 pour former un nouvel État indépendant, la République populaire du Yémen du Sud (communément nommée « Yémen du Sud »). Trois ans plus tard, celle-ci adopta le nom de République démocratique populaire du Yémen. Le président Salim Ali Rubayyi instaure le seul régime marxiste de la péninsule Arabique, qui entraîne un appauvrissement du pays et une fuite des élites bourgeoises commerçantes, mais les systèmes tribaux restent en place. Les contradictions de la politique de Rubayyi (rapprochement

respectif les sommant de démissionner pacifiquement au départ. Le Yémen, pays très pauvre, est un des premiers pays à avoir été touché par le printemps arabe. Alors que le peuple se révolte de manière pacifique, sans violence. Le président, Ali Abdallah Saleh, réprime la révolte avec violence. Le Yémen fait partie du lot des pays en révolte, et ce depuis janvier 2011. Le président yéménite est au pouvoir depuis près de 32 ans et maintient la stabilité du pays avec une main de fer. Le peuple dénonce

le Yémen La république du Yémen plus couramment appelée Yémen est un pays fraîchement né de l’union institutionnelle de la République Démocratique et Populaire du Yémen et de la République Arabe du Yémen en 1990. Dès lors, le président Ali Abdullah Saleh fut élu à la tête du pouvoir pour un mandat de 7 ans. Le Yémen, pays arabe situé à la pointe de la péninsule arabique et à la frontière de l’Arabie Saoudite est un pays aux multi façades maritimes ce qui est un grand facteur d’attractivité économique

et Ragheb Harb, les "Gardiens de la Révolution islamique" du cheikh Soubhi Toufeyli, auxquels viennent s'ajouter "Al Tawhid" du cheikh Saïd Chaabane ainsi que le jihad islamique de Imad Moughniyah et l’ambassadeur la République Islamique en Syrie: Ali Akbar Mohtashamipur. C- Le Hezbollah dans la guerre civile libanaise : 1982 - 1990 Les premières actions connues du Hezbollah remontent à janvier 1983 où une grenade fut lancée contre une patrouille militaire française. En mars de cette même année

troubles intenses qui ont provoqué l’inquiétude des monarchies pétrolières de la Péninsule arabique et des États occidentaux qui en dépendent. Les principaux intéressés ont dès lors forcé une « transition » qui a éloigné du pouvoir le président Ali Abdallah Saleh, lequel régnait sur le Yémen depuis 1990 et, auparavant déjà, depuis 1978, sur le Yémen du Nord (avant l’unification des deux Yémen). Mais cette « transition » n’a en aucun cas promu la démocratie en Arabie heureuse ; tout au contraire... C’est

l'unification des deux Etats, mais qui reste sans effet. L'assassinat du président de la République, en juin 1978, provoque la rupture des relations diplomatiques puis, en mars 1979, une guerre ouverte avec le Yémen du Sud. Le lieutenant-colonel Ali Abdallah Saleh, nommé président de la République en juillet 1978, se révèle un politique habile: nonobstant les pressions de Riyad et de Washington, il fait appel à l'aide militaire soviétique en 1980, et mène, à l'intérieur, une difficile politique d'équilibre

ainsi à des troubles. Deroulement des evenements Pays : Tunisie :(10,6 millions) ;chef d’état Zine el-Abidine Ben Ali :(1987 - 14 janvier 2011) ;debut des protéstations :17 décembre 2010 De décembre à janvier, manifestations massives et répétées, parfois émeutes, après l'immolation de Mohamed Bouazizi à Sidi Bouzid le 17 décembre 2010.Le 14 janvier, fuite du président Ben Ali vers l'Arabie saoudite, mais la contestation se poursuit.Le Premier ministre Mohamed Ghannouchi conserve son poste, nomme

qualifiés de révolutions arabes, de révoltes arabes ou encore de « réveil arabe ». Le printemps arabe qui a été amorcé par le suicide de Mohamed Bouazzi et qui a pris son élan avec la fuite vers l'Arabie Saoudite du président tunisien Zine El Abidine Ben Ali le 14 janvier 2011 après vingt-trois années de pouvoir, ce qui a fait renaitre l'espoir des populations arabes d’entrevoir la fin de leurs hivers autoritaire. La vague qui s’ensuivit n’épargna aucun pays arabe, et ce de plusieurs façons soit directement

Occident, on parle de « la Révolution du jasmin ». 24 décembre : le premier manifestant meurt sous les balles de la police, qui ouvre le feu sur la foule à Bouziane 31 décembre : le président Ben Ali promet « une meilleure prise en charge des catégories vulnérables». 10 janvier 2011 : le président Ben Ali s'exprime pour la deuxième fois en promettant cette fois de développer les emplois, tout en dénonçant les « actes terroristes ». 11 janvier : les affrontements atteignent la banlieue de Tunis 12