Alice Delice

Quint et il offre un excellent panorama de la peinture espagnole, mais aussi des écoles flamande et italienne. On a adoré la salle consacrée à Hieronymus Bosch, El Bosco en espagnol, qui a peint entre 1460 et 1480 un tableau incroyable, Le jardin des délices terrestres, digne des surréalistes du XXème siècle. La visite du musée permet également de se familiariser avec les peintres espagnols dont on n'a pas souvent l'occasion d'admirer les œuvres : Goya, El Greco, Zurbaran,… Visite très intéressante, donc

Nous n'échappons donc pas pour le moment à une position de la réalité comme le terme auquel tout doit être comparé, et qui demeure au sommet de la hiérarchie. Mais cette thématique nous laisse insatisfaits, nous qui nous promenons dans Le Jardin des Délices de Jérôme Bosch, devant ces êtres que le monde réel ne nous donnera jamais l'occasion de croiser. Ne sommes-nous pas renvoyés, tout de même, à un pouvoir du peintre, à sa puissance de création d'un univers qui, pourtant, pourrait.ereWsridieue le

droite du triptyque du Jardin des Délices L’enfer se mêle au paradis, et le satirique à la morale. On y voit sa préoccupation pour l’humanité corrompue condamnée à l'enfer éternel (triptyque du Chariot de foin v. 1500, musée du Prado, Madrid) pour avoir tourné le dos à la loi divine. L’obsession du péché s’illustre dans les sept péchés capitaux (1475-80, musée du Prado, Madrid), la Nef des fous (1490-1500, musée du Louvre, Paris), le triptyque Jardin des délices terrestres, v.1503-04 (musée du Prado

Platon dans La République, ou des ébauches de plans de « cités parfaites » réalisées dès l'Antiquité, la démarche utopique renoue avec des traditions très anciennes... Jérôme Bosch, Le jardin des délices, 1503 Le paradis perdu ● Dans la Genèse, Adam et Ève vivent au jardin d’Eden. Lieu de délices et de perfection, le Paradis comporte en son centre une source d’eau vive qui se divise en quatre fleuves qui vont irriguer le monde, et deux arbres, "l’arbre de vie par lequel l’homme pouvait devenir

sexualité, à l’excès et au plaisir sont abondantes dans la peinture de Bosch. Bosch vivait-il de tels excès? On peut aussi retrouver des références au plaisir anal dans la peinture de Bosch, se questionnait-il à propos de l’homosexualité? (Le jardin des délices – détails, panneau de gauche-fig.2 et panneau centrale-fig.3[4]). Le subconscient du peintre a-t-il trahi l’église, voir Bosch lui-même? Voilà des questionnements qui peuvent nous laisser perplexes et certainement soulever des polémiques, mais qui

nus nous emmène à la renaissance en donnant une légèreté singulière à lʼœuvre. Jʼai aussi pu remarqué au moment de ma recherche quelque chose dans cette image qui me rappelle le sujet proposé par Hieronymus Bosch dans son triptyque Le Jardin des délices (1503 – 1504). Dans cette œuvre, on voit le paradis où vivent Adam et Eve en train de discuter avec une représentation de Dieu, une vie mondaine post paradis et lʼenfer post plaisirs mondains. Cʼest peut-être le passage du clair au obscure, ou encore

1500, Musée du Prado, Madrid) pour avoir tourné le dos à la loi divine. L’obsession du pêché s’illustre dans les sept pêchés capitaux (1475-80, Musée du Prado, Madrid), la Nef des fous (1490-1500, Musée du Louvre, Paris), le triptyque Jardin des délices terrestres, v.1503-04 (Musée du Prado, Madrid), allégorie fantastique complexe, composition de personnages et d’animaux hybrides, comportant de nombreuses références à l’alchimie. Le voyage de Bosch à Venise au début du XVIème siècle, donne une

Le jardin des Délices J. BOSCH Le Jardin Des Délices, Jérôme BOSCH L’œuvre que nous allons étudier est un triptyque intitulé Le Jardin des Délices de Jérôme Bosch, il date de 1503. Ce peintre néerlandais est né vers 1450, et est décédé en 1516. Cette œuvre est une huile sur panneau de chêne, ses dimensions sont 220x195 cm (panneau central :190 x 176,7 sans le cadre, et les volets : 220 x 97 cm), il est conservé aujourd'hui à Madrid au Muséo nacional del Prado (inv. 2823).

Elle renseigne sur les vêtements, les châteaux, les navires et les conditions de vie de cette époque. À ce titre elle constitue un des rares exemples de l'art roman profane. Les Triptyques sont religieux par essence : Jérôme Bosch, le jardin des délices, entre 1480 et 1505 Tri car trois (Le père, le fils et le saint esprit) et sont donc en forme de croix catholique. Les contenus des tableaux, au début représentant uniquement le sujet divin, se découpent en trois de bas en haut ; le « haut » représente

portés et autre . Mais cette oeuvre fait volé la notion de grâce au moment où le faune fait un geste évocateur au plaisir sexuelle sans équivoque , tout ce qu'on a vu au paravant perd en beauté . Ensuite , nous le constatons dans le jardin des délices de Blanca Li . Neuf danseurs dansent sur deux tableaux qui se chevauchent . Le premier , évoque le paradis où les femmes et les hommes vivent en harmonie , on les voit dansé dans un style jazz musical , cela enlève la finesse même si ça apporte de