Allan Kaprow

des perspectives similaires. L’image n’est plus le moment d’un jaillissement mystérieux, unique, solitaire et retranché mais une « création permanente ». Comme le surfeur… Il faut sentir la vague et travailler avec/contre elle. Brecht sera avec Allan Kaprow un des premiers à penser la question de la performance (après les dadaïste) en écartant la perspective d’une héroïsation excessive des acteurs. Le geste s’apparente plutôt à une forme de « koan » zen moderne. La pratique artistique devient un prolongement

musique- et accède à un statut hybride lorsqu’elle se déplace dans le monde des arts-plastiques et visuels. Pour expliquer l’engouement de cette pratique artistique, il faut remonter jusqu’au précurseurs qui ont eu l’idée de lié l’art avec la vie. Allan Kaprow est un des premiers artistes à proposer des installations. Avec Transfer, son premier happening en 1968, une quinzaine de personne et lui-même transportent en des points variés vingt barils ayant contenu de l’huile avant de les ramener à leur lieu

Cette performance exige la présence et la participation active du public, qui serait plutôt des « intervenants »pour Allan Kaprow. Le Happening ne fait pas référence à la culture artistique (musique, théâtre ou littérature), mais plutôt au corps, au temps et à l’espace. Ses origines remontent à l’été 1957 lors d’un pique-nique d’art dans la ferme de George Segal où Allan Kaprow utilisa le terme « happening » pour décrire les pièces auxquelles ils assistaient. Ce même terme apparut aussi dans

officiellement reconnu comme professeur (pendant 10 ans). C'est en 1960 que son intêret pour la proto-pop renaît, due à l'influence d'un certain Allan Kaprow, un autre enseignant et c'est a parti de cette année qu'il devint connu pour ses dessins. Melheureusement il contracte une pneumonie en 1997 et en meurt à New York. Grâce à l'influence de l'enseignant Allan Kaprow, il commence a faire des tableaux pop, reprennant ainsi les dessins animés et employant une technique inspiré par l'aspect des publicités

projets associant diverses formes d’expressions artistiques, c’est l’heure de l’association et de l’hybridation des techniques et des méthodes. Du Junk Art (mouvement post dadaïste) dans les années 1950 (Dine, Rauschenberg) aux premiers Happenings de Allan Kaprow, une véritable refonte des valeurs traditionnelles de l’art va s’opérer. On assiste alors à une remise en question des matériaux d’usage de la sculpture traditionnelle. Le carton et le métal, les objets trouvés et recyclés étaient déjà entrés dans

projets associant diverses formes d’expressions artistiques, c’est l’heure de l’association et de l’hybridation des techniques et des méthodes. Du Junk Art (mouvement post dadaïste) dans les années 1950 (Dine, Rauschenberg) aux premiers Happenings de Allan Kaprow, une véritable refonte des valeurs traditionnelles de l’art va s’opérer. On assiste alors à une remise en question des matériaux d’usage de la sculpture traditionnelle. Le carton et le métal, les objets trouvés et recyclés étaient déjà entrés dans

spectaculaires, que Ben met en avant, dans un esprit Fluxus. Les performances « La vie ne s’arrête jamais » est une des phrases de Ben. Rejouant les codes des happenings et performances développés aux États-Unis dans les années 1950 (Black Mountain College, Allan Kaprow), Ben mêle vie et art à partir des années 1960 pour produire des performances appelées « Vomir », «  Hurler », ou « Dire la vérité », qu’il réalise près de son magasin rue Tonduti de l’Escarène ou dans les rues de Nice, prévenant ou non le public

qu’une Europe abâtardie. » James Dean est definit comme l’acteur studio type. - Le Happening (Allan Kaprow va contiyorkais. L’importance n’est plus la finalité et la perfection de l’image. L’art et la vie connuer a théoriser. Le happening est un art de la présence. Il va prôner l’idée que l’art est conçue comme un passage à l’acte, et ca va fondamentalement révolutionner l’art new- fondus de Allan Kaprow) - Le Free Jazz (la musique s’improvise de telle manière que le film s’improvise. Charles Mingus

représentation de scènes du quotidien ou d'un mode de vie, ainsi qu'une interaction libre avec les objets. On peut associer ce mouvement avec le happening de Kaprow qui s'inspire du Dadaïsme. Kaprow rapproche l'art et la vie, toute situation comme la musique, la danse ou la vidéo et objet du quotidien peut devenir un support en lui-même. Allan Kaprow → Grandma's Boy, 1957, assemblage, 47*71,8*48,8 cm, Newark, The Newark Museum. Joseph Beuys → La Rivoluzione Siamo, Noi, 1972, phototype sur polyester

l´analyse d’autres ouvres telle que celle de Valie Export avec l’extension de la réalité du cinéma. Delpeux réexamine donc l’un des chapitres obligés de l’historiographie de cet art qui engage le corps, en expliquant comme Hans Namuth va permettre à Allan kaprow, père du Happening, de voir Jackson Pollock comme un artiste incitant à redécouvrir le corps et son expérience immédiate pour ensuite créer l’ expérience du happening. Sophie Delpeux, renforce cette intention photographique et cite Rosalind Krauss