Allitération

Le mot, " cœur ", " pluie ", " raison ", " peine " sont répété plusieurs fois ce qui renforce le poème et créé un effet monotone. La mélancolie de Verlaine est en harmonie avec le paysage. Le bruit de l'eau se transforme en mélodie. Il y a une allitération de la lettre "l". Ce qui fait référence à un liquide, ici la pluie qui tombe ou les larmes qui coulent. L'auteur se laisse bercer par la mélancolie des gouttes. La pluie peut influencer son état d'âme, ou encore en être sa projection. Ceci créer

Donne le thème principal du poème et le champ lexical qui y est associé (ou qui symbolise ce thème). d. Relève toutes les images (comparaison, métaphore, inversion, etc.) du poème et explique-les. e. Relève tous les procédés rythmiques (assonance, allitération ou autres) du poème et explique-les. f. En un court paragraphe, explique le choix des mots (simples ou complexes) et du registre de langue (populaire, familier, standard, littéraire) en fonction des intentions de l'auteur. g. Relève, s'il y a lieu

sur un rêve du poète il nous entraîne dans son rêve ce rêve va d'abord partir sur une île paradisiaque pour se terminer sur un port paisible. Ce poème est aussi basée sur la musicalité le mouvement fluide qui se suit grâce aux répétitions aux allitérations et au rythme . Baudelaire nous émet sa passion pour sa maîtresse Jeanne duval. Il éprouve une grande importance de mettre en avant la féminité l'exotisme le désir de cette chevelure. Le titre choisit par Baudelaire correspond donc a son thème

troisième § nommée " fées ") prise comme une réalité. Ces 7 (chiffre msytique) femmes " incantent l'été ". Ces figures mystiques ont une véritable liaison avec le poète. Cette liaison rend le lecteur mal à l'aise, ce qui est renforcé par les allitérations en v (" mon verre est plein d'un vin... "), et les voyelles nasalisées. II- L'univers rassurant du réel. Mais l'auteur revient rapidement au monde du réel, qui s'oppose au monde fantastique principalement par les femmes sages et stéréotypées

Rimbaud se forge « un verbe poétique accessible à tous les sens », une langue « résumant tout, parfums, sons, couleurs ». A cet égard ce qui a pu être considéré comme des hardiesses dans « Le Bateau Ivre » n’est que modéré : coupes expressives, allitérations suggestives, métaphores audacieuses, contraste entre des termes triviaux et l’essor soudain de la poésie pure. Il passe peu à peu au vers libérés, au vers libres puis finalement au poème en prose dans « Illuminations » : les images deviennent alors

souvenirs --> Voyage sensoriel et le parfum de la chevelure --> rêves et souvenirs --> Parfums dégagés par le mouchoir odorant deviennent des souvenirs --> Subtances comme l'opium et le tabac mènent à l'ivresse et au voyage "je m'enivre" (l.24) --> Allitérations en [L] "éternelle chaleur" en [S] "ciel immense" --> Assonance en [en/an] : écho sonore B- Le voyage Par le monde des correspondances le poète voyage (l.6) : Sons, couleurs, parfums => voyage spatial --> champ

Dans le troisième paragraphe, l'auteur procède à une énumération de lieu tous plus majestueux les uns que les autres. De plus, l'auteur donne vie aux paysages qu'il nous décrit grâce aux allitérations douces ou au contraire violentes présentes dans cet extrait. A la ligne 2-3, il représente par une allitération en [s] l'écoulement du fleuve, il fait donc un lien significatif entre l'écriture et la vision. De même qu'à la ligne 4, il utilise l'allitération en [r] afin de représenter l'opposition entre

il y a mise en valeur du vers refrain comme dans une chanson, assonances sur les derniers mots (blanches- cendres) (dorées- guerrier)nuages - orages - fade) (cahiers-écolier) (vitre-surprise) (solitude nue) (bien au-dessus du silence) (str11: allitérations en M et r dans la strophe: (page-page-papier) Analyse : Ce sont les souvenirs de l'enfance du poète.  L'habitude des écoliers d'écrire sur toutes sorte de support  (cahiers, pupitre, arbres, sable, neige)  Les pages lues" se réfèrent

l’assonance et l’allitération, à sa sonorité et à sa musicalité. • Assonance : répétition d’un son vocalique à l’intérieur d’un vers ou d’un groupe de vers. Exemple : Tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire. (Racine, Phèdre) • Allitération : répétition d’un son consonne, d’une consonne, d’un groupe de consonnes, ou de consonnes de phonétiquement proches. Exemple : pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? (Racine, Andromaque) 4. Le poème. Un poème est

destinataire (pronom, question, apostrophe), types de phrases. Dans les textes poétiques : - La mise en page du poème (poème en prose / poème à forme fixe). - La versification : le rythme. - Les sonorités (disposition et richesse des rimes, allitération, assonances). - Les références culturelles. - Les registres. - La construction du texte (progression, opposition). - La construction des phrases (longueur, rythme, construction originale). - Les champs lexicaux (connotations, oppositions