Alliterations

ALLITÉRATION / ASSONANCE : Effets sonores fondés sur la répétition de consonnes (allitération) ou de sons vocaliques (assonances) identiques. On emploie pour les regrouper le terme d'homophonies. Ces jeux phonétiques cherchent parfois à inspirer au lecteur une relation entre le sens du texte et l'effet d'insistance inscrit dans sa matière sonore. On parle dans ce cas traditionnellement d'"harmonie imitative" (effet musical visant à l'imitation de ce qui est représenté)[1]. "UN JEU DE MIROIRS

tout de suite dans « grosseur d’un galet. »  On va apercevoir les répétitions des mots, lettres, et suffixes, ainsi que des allitérations dans le poème. On voit la répétition de « s’y » trois fois dans la derniers deux phrases du premier paragraphe. Les adjectives que utilise Ponge dans la première phrase sont rugueuse et blanchâtre, qui se trouve dans la première allitération « brillamment blanchâtre. ». Le suffixe « âtre » va réapparaitre trois fois encore dans le poème. Puis Ponge passe au monde

de sueur s'amasser dans mes sourcils. C'était le même soleil que le jour allitération où j'avais enterré maman et, comme alors, le front surtout me faisait mal et toutes ses veines battaient ensemble sous la peau. A cause de cette brûlure que allitération je ne pouvais plus supporter, j'ai fait un mouvement en avant. Je savais que c'était stupide, que je ne me débarrasserais pas du soleil en me déplaçant d'un allitération pas. Et cette fois, sans se soulever, L'Arabe a tiré son couteau qu'il m'a

française. Dans l’Ingénu, Voltaire essaie de démystifier ces incohérences au travers du personnage principal. Pour ce faire, il fait appel à de nombreux procédés littéraires. En autres, il y a, dans ce roman, plusieurs oxymores, de nombreuses allitérations et d’innombrables comparaisons. Il y a, dans l’Ingénu, plusieurs oxymores. Il y en a un lorsque l’Ingénu lit dans sa cellule et un autre lorsque l’amie de Mme de Saint-Yves vient la chercher en Basse-Bretagne. Dans le premier oxymore, l’Ingénu

L’auteur utilise une première allitération à la ligne 129 : « [...] les souvenirs des sensations poétiques que pour ceux des souffrances du coeur, depuis si longtemps que se sont évanouis [...] ». Cette allitération en [s] évoque les souvenirs et les sentiments du narrateur. La deuxième commence également à la ligne 129 : « […] beaucoup plus grande pour les […] que pour ceux des souffrances du cœur, depuis si longtemps que se sont évanouis […]. Cette allitération en [ou] souligne uniquement les

terminaison en « e » qui déterminent automatiquement que la rime soit féminine. Dans « Mésange » ce qui fait l’harmonie ce sont les assonances et les allitérations, en tout, on retrouve deux assonances et une allitération. L’exemple suivant appuie ce point, « \bourdonnant \de branche \en branche ». Cette allitération souligne le son « b ». Dans cette allitération, Lacombe essaie de nous faire ressentir le battement des ailes de la mésange qui ce déplacent dans la nature. A titre d’information, ce qui aide

mieux dénoncer - De nombreux vers sont des alexandrins au premier abord. Cependant, en y regardant de plus près, ils ne le sont pas et créent une fausse harmonie : - « Kabyles de la Chapelle et des quais de Javel » : rythme binaire + allitération en « l ». Perfection rythmique avec l’alexandrin et la coupure à l’hémistiche qui illustre l’harmonie contenue dans l’évocation de cette mixité culturelle. MAIS il y a le « e » muet à ce n’est pas un alexandrin. - « soleils adolescents de la porte

d'une huître . -Description concise mais complète : description en référence à un galet, acumulation de comparatifs ; découverte sensorielle (taille, toucher, aspect). -Description extérieure assez négative : quasi laideur de l’huître ; allitération en G, en R ; comparaison avec un galet, à la faveur de ce dernier ; hostilité, adverbe " opiniâtrement " ; oxymore " brillament blanchâtre ", qui insiste sur la dualité de l’huître + ironie, péjoratif. -Si l’observateur n’insiste pas, seule

plus musicales « De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l’Impair » Verlaine. -originalité, les vers courts sont rares en poésie -rythme inconscient que l'on imagine chanté *la strophe est construite sur des allitérations -allitérations en liquides [l] «les sanglots longs »  « violons » « blessent »  « langueur » qui adoucissent le poème par leurs sonorités sourdes ; -en nasales [m] et [n] « automne » « mon » « une » « monotone » qui ralentissent le rythme du texte

à la fin de la journée et connote la fin de la vie : la mort - De même pour le titre du recueil Les Feuilles d’Automne -> dégradation - Temps personnifié : vers 4 « pas du temps qui s’enfuit » - deux premiers vers se rapportent à la nuit + allitération en « s » et en « r » - champ lexical du temps : « soir » « nuit » « aube » « jour » Rythme dans le poème : - deuxième strophe : rythme 6/6 (césure à l’hémistiche) et répétitions -> caractère régulier du temps qui s’écoule - Enjambement dans