Alliterations

assonances : v.12/17 ou 7/10. Les rimes de plus sont peu nombreuses : dans les sizains comme dans les quintils, on ne trouve que 2 rimes différentes, ce qui accentue l’effet de répétition obsédante. Les sonorités : Les allitérations sont très resserrées v.1et 2 s p r ou au vers 3 une allitération en l et la rime intérieure folle/vole Le vers impair :5/9/13 . Pour Verlaine, le vers impair est plus musical (cf l’Art poétique) « plus vague et plus soluble dans l’air » Le rythme .C’est une poésie « balancée »

contrairement à l’image que l’on pourrait avoir d’un fleuve, tumultueux, celui-ci est inerte : symbolise l’ennui. séparation totale entre le fleuve et le bateau. deux groupes de 6 syllabes de chaque coté du premier alexandrin. pas de ponctuation forte, allitérations liquides : on retrouve toutes les contraintes qui ennuyent rimbaud : contraintes sociales, le travail, etc. B. La violence et la brutalité de la rupture en opposition à cette monotonie, cette situation : effet d’ellipse : v. ¾ : on parle de

troisième strophe, nommées " fées ") prise comme une réalité. Ces 7 (chiffre mystique) femmes " incantent l'été ". Ces figures mystiques ont une véritable liaison avec le poète. Cette liaison rend le lecteur mal à l'aise, ce qui est renforcé par les allitérations en v (" mon verre est plein d'un vin... "), et les voyelles nasalisées. II- L'univers rassurant du réel. Mais l'auteur revient rapidement au monde du réel, qui s'oppose au monde fantastique principalement par les femmes sages et stéréotypées

ralentissent légèrement la diction sans l’interrompre, cette correspondance contribue à la régularité du rythme binaire. La forme du poème est versifiée, il y a quatre quatrains en alexandrins et les rimes sont embrassées. Assonance en /a/ et en /an/ ; allitérations en /v/ et en /l/, cette musicalité crée un climat harmonieux qui justifie l’exclamation du vers 8 « ô délice » Le champ lexical de la mer avec « les flots de la mer », « le chemin amer », « le déroulement des vagues », « des voiles ». Le champ

envie de payer) Page 151 : Expression figurée : qui désigne une attaque verbale ironique ou cruelle qui est lancer a la fin d'une conversation Page 152 : Métaphore (il tire de rideau sur les trois communiste qui sont sur le quai) Page 152 : Allitération : figure de style, qui consiste en la répétition d'une ou plusieurs consonnes Mots difficiles. Page 147 : Cabotin : adjectif jouer d'artificiel Page 149 : l'Humanité : le titre du journal communiste Page 149 : Salière : enfoncement

rejets, lorsque la phrase, unité de sens, ne coïncide pas avec le vers, unité de rythme, et déborde sur le suivant Des rimes introduisant alors un effet de ponctuation sonore Des anaphores qui renforcent le rythme Le retour d'un même son (allitération = consonne, et assonance = voyelle) : suscite une mise en relief et approche des termes voisins.

plus subrogé dans le second texte (« caresses », « agiter », « plonger »), et enfin le goût qui nous renvoie aux « fruits », au fait de « manger », « mordiller » et « mordre ». Les « m » forment une allitération et évoquent le mâchouillement. La musicalité des poèmes renvoie à des émotions, les allitérations sont en effet répétées par les « m » qui caractérisent la douceur, les « f » pour les mélanges, et les « p » sans doute pour les bercements. Le caractère sensuel est également reflété dans la structure

La malédiction 1) L’opposition du modèle et du moi Ce modèle, il faut donc se l’appliquer. C’est pour cela qu’on l’a envisagé. Mais voilà : dès que le poète se l’applique, c’est la catastrophe. « Moi, mon âme ». En trois syllabes, une lourde allitération en « m », labiale lourde elle-même ; redoublement de la marque de la première personne, très lourd lui aussi : le poète est embarrassé de lui-même ; il est à lui-même un fardeau, un poids. C’est là le contraire même de cette toute-puissance de

Ensuite, on repère quelques questions rhétoriques qui favorisent l’échange conflictuel entre les deux personnages : « Six heures et demie, t’es fonctionnaire maintenant ? » (l.6), « C’est vendredi aujourd’hui ? » (l.7) (cette réplique est aussi une allitération), « J’ai beau regarder, où est le bonheur, où est même le changement ? » (l.45-46), « Que j’aille tout les vendredis à cette réunion et que vous puissiez rien faire pour m’en empêcher c’est déjà un grand bonheur pour moi et un petit changement

dans lesquels ils évoluent. Ces caractéristiques communes entre les oiseaux et leur milieu traduisent leur symbiose parfaite. Par ailleurs, les sonorités fluides et sifflantes dans le poème suggèrent l’harmonie du vol. On relève ainsi des allitérations en « l » (A peine les ont-ils déposés sur les planches/ que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, laissent piteusement leurs grandes ailes blanches ») et en « s » (prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,/ qui suivent indolents compagnons