Alliterations

effectivement ligne 2/3 Zola va lui attribuer un caractère d’humain « Elle se lassait pourtant ». Puis, il va utiliser des allitérations pour rythmé la phrase au son du sifflet ligne 14 à18 « … le mécanicien ne quittait plus la tringle du sifflet, sifflant d’une façon presque continue, par prudence, d’un sifflement de détresse… ce désert de neige. » Ici nous avons une allitération du son « ff » pour amener le lecteur au rythme des coups de sifflet de du mécanicien. Pour conclure, Zola

absence ! III. La rime et les sonorités Genre de la rime : alternance féminine / masculine Qualité de la rime : pauvre / suffisantes / riche. Disposition des rimes : plates ou suivis / croisées / embrasées. Assonance ( voyelle) ≠ Allitération (consonnes) IV. La strophe. Unité à l’intérieur : (thématique et syntaxique) Types de strophes : Tercet (3 vers) Quatrain (4) Quintil (5) Sizain (6) Huitain (8) Dizain (10) V. Formes poétiques Rondeau : 3 strophes (

portes secrètes : le "visage" s'y plonge tout entier, comme dans une source. La première strophe, en cadence mineure, mime le manque du désir, énonce la demande poétique mue par ce désir exigeant: répétition du "longtemps" mêlé aux cadences et aux allitérations des liquides ("laisse-moi respirer..."). la femme qu'il considère même comme "l'amante", l'exotisme qui est développé avec entre autres le champ lexical du voyage et de l'exotisme aux strophes 3 et 4. Enfin de nombreux sens sont développés tels

qui " pèse ou qui pose " (v. 4). A la rime, il préfère le jeu des assonances caractéristique des chansons populaires ou le jeu des allitérations qui répartissent les échos phoniques dans tout le vers. Au vers 12, l'éclat des étoiles est suggéré par la présence de voyelles claires : " claires étoiles " ; au vers 3, la fluidité de l'impair est rendue par une allitération en liquides : " Plus vague et plus soluble dans l'air. " En privilégiant l'écho discret de l'allitération et de l'assonance plutôt

rôle majeur. Or la constatation qui fonde cette nouvelle poésie c’est l’incapacité de la langue ordinaire à approcher des réalités élémentaires. a. Sonorités Il est nécessaire d’observer et de décrire les jeux sur les sonorités : allitération (retour d’un phonème consonantique) et assonance, et de s’interroger sur les effets qui en résultent. b. Rythmes L’essentiel est le lien qui subordonne le rythme aux divers accents et à leur combinaison. Il faut éviter de confondre

climat, rivages, azur tropical, musc, coco… » Champ lexical maritime : « port, océan, voilures matures, roulis… » ; harmonie du bercement : liquide[l] «  langueurs, roulis, longues » Un espace d’harmonie, à laquelle participe la musicalité :allitération en [f] mariant  « l’atmosphère, le parfum, les fruits, les feuilles…et la peau humaine » : harmonie des parfums hommes/ nature C-Un peuple exotique (diversité rime avec unité) Fourmillant de chants Cosmopolitisme du port : « Hommes de

voler la grive à travers l’air atone » (Verlaine) L’écriture poétique crée, entre les mots, des échos sonores qui invitent à rechercher des rapports de sens entre ces mots « consonants ». Parmi ces échos sonores et sémantiques, on distingue : Allitération : Répétition d’une même consonne ou de consonnes voisines, comme les dentales (t) et (d) ou les fricatives (f) ou (v) ; Ex : « Il est des parfums frais comme des chairs d’enfant. » (Baudelaire) Assonance : Répétition d’une même voyelle ; Ex :

poétique de la forme prosaïque. I) Un poème qui fait rêver et voyager Evoque le voyage, les souvenirs Structure qui se clôt sur elle-même • Musicalité, effet rythmique : répétition de verbes, rythme ternaire • émotion : échos sonores: Allitération en :       - « m » > douceur        - « f » > mélanges       - « p, b » > bercements • 1ère et 2ème personne > présence d'un locuteur et d'un destinataire (poème lyrique) • Impératif -> adresse direct du poète au destinataire  • présent

troisième § nommée " fées ") prise comme une réalité. Ces 7 (chiffre msytique) femmes " incantent l'été ". Ces figures mystiques ont une véritable liaison avec le poète. Cette liaison rend le lecteur mal à l'aise, ce qui est renforcé par les allitérations en v (" mon verre est plein d'un vin... "), et les voyelles nasalisées. II- L'univers rassurant du réel. Mais l'auteur revient rapidement au monde du réel, qui s'oppose au monde fantastique principalement par les femmes sages et stéréotypées

 1- Assonance Répetition de plusieurs (2 et +) voyelles identiques à l’intérieur d’un vers Ex: Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant. 2- Allitération Répétition de plusieurs (2 et +) consonnes identiques à l’intérieur d’un vers Ex : La cloche coquine conduit la cruche au cachot. 3- Paranomase Rapprochement de mots dont le son est à peu près semblable, mais dont les sens est différent. Ex : Toi qui endors les cœurs, toi qui endors les corps. 4- Inversion de groupes de mots