Alliterations

permettent de comprendre la synesthésie. II ) La progression de la réflexion - Le présent de l’indicatif dans les premières strophes évoque un présent immédiat qui nous donne l’image du poète devant la nature : avec l’assonance en « i » et allitération en « s » on est dans le registre lyrique de l’auteur. - Il choisit de longs mots « délicieuses, « incomparables » qu’il renforce par un champ lexical de la démesure : « intensité », « infini », « immensité »… - Il juxtapose des noms communs

quatrains et distiques - absence de ponctuation : caractéristique de la modernité et d'Apollinaire -> fluidité de l'eau - rimes féminines -> légèreté - distiques en vers impaires -> heptasyllabes (idée de Verlaine) - répétiitons des sonorités :allitérations en "l" représentant l'écoulement de l'eau -> harmonie imitative (sons correspondant à une réalité) - assonances "ou", "o", "eu" -> mélodie, écho d'un vers à l'autre "violente" : vie-ô-lente (v. 15 et 16) - anaphores v. 13 et 14, v. 20 et 21 mais

de deux ou plusieurs vers, de la même consonance de la terminaison accentuée (voyelle et consonne qui suit) du mot final. •la présence d'allitération et assonance ◦C’est la répétition d’un même son dans le vers, que ce soit une consonne (allitération) ou une voyelle (assonance). •Enjambement ◦L’enjambement se dit d’une phrase ou d’un segment de phrase qui continue au vers suivant sans que l’on puisse marquer un temps d’arrêt. •La métaphore ◦C’est une analogie, un rapprochement qui

langue utilisé : familier, courant, soutenu ; la justification d’un tel niveau de langue. Les champs lexicaux qui structurent le texte ; les sens auxquels ils renvoient (l’ouïe, la vue, le toucher…). Les figures de style, portant sur l’harmonie (allitération, assonance) ou sur le sens (antithèse, oxymore, hyperbole). Les images : comparaisons, métaphores, filées ou non, personnifications, allégories. Le rythme : répétitions, anaphores ; rythme binaire ou ternaire ; alternatives.  Sujet du bac :

Rejets Dort, Tranquille Opposition : La mort Contrerejet « Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme/Sourirait un enfant malade, il fait un somme. » (v. 9-10) Effet : N’est pas rassurant sur l’état du soldat. Allitération des vers 11 et 12 Froid Effet : L’allitération en « f », renforce l’idée que le soldat a froid. Rythme brisé Effet : Elle soutient le fait d’une vie brisée, d’une façon tragique.

figures de substitution La métonymie : boire un verre. La synecdoque : La périphrase : L'allitération et l'assonance : Assonance : Effets sonores fondés sur la répétition de sons vocaliques (voyelles) identiques. Allitération : Effets sonores fondés sur la répétition de consonnes identiques. Acrostiche : Un acrostiche est un mode de composition poétique tel que la série des lettres initiales de chaque vers, lue verticalement, forme le nom d'une personne ou d'une

n'en est pas ainsi des autres." Et voilà mon plan (j'ai mis quelques exemples de procédés littéraires qui illustrent les sous-parties mais pas tout ce que j'avais trouvé) I ) Deux protagonistes opposés 1) Puissance et brutalité du torrent allitération en"r" et "c" v1 qui traduit la brutalité des "trombes d'eau" (harmonie imitative) + répétition de "grand", champ lexical de la peur "horreur" (allégorie), "trembler", "menacante", "tout" + "nul voyageur" = caractère d'universalité, tt le monde

Ton péremptoire : Ton agressif. 18. Hyperbole : Figure de style utilisant l’exagération afin de marquer les esprits. 19. Paradoxe : Opinion contraire à la logique, au sens commun. 20. Redondance : Répétition superflue. 21. Allitération : Répétition d’un son (consonne) ≠ Assonance (voyelle). 22. Antiphrase : Contraire à ce qu’on pense. 23. Argument d’autorité : Argument prononcé par une personne faisant figure de référence. 24. Règle de vraisemblance : Elle veut

met en valeur l’aspect moderne de l’urbanisation tout en lui insufflant son coté poétique. C’est le cas dans « Les foules » extrait du Spleen de Paris, de Baudelaire où il met en avant l’aspect amusant et enrichissant de la ville grâce à des allitérations et assonances au lieu d’utiliser une forme classique pourvue de vers et ayant une sonorité plus régulière. Ce thème auparavant inconnu qui était l’urbanisation, a permis aux auteurs de donner un second souffle à leurs poèmes. Cependant, le poème

brève, identifiable par un titre qui évoque, le plus souvent, le thème dominant, le poème en prose répond à une structure en paragraphes qui s'articulent logiquement , il use de toutes les ressources de la musicalité du langage ( assonnances, allitérations),de la ponctuation, du rythme et de la longueur des phrases, des figures de sens ou tropes ( métaphores, allégories, comparaisons, gradations, métonymies, synecdoques, périphrases, antonomases...)  des figures de la pensée (antiphrases, hyperboles