Alliterations

l’expression « l’esprit le plus simple » qui a un double sens, on insiste de nouveau avec cette naïveté avec « Croyait innocemment » L.44. Le baron est également ridiculisé par son nom et notamment par des sonorités puisque l’on a une allitération sur le son T, ces allitérations permettent de souligner la rigoureusité du nom. Pangloss, son nom étymologiquement veut dire qu’il parle sur tout et tout le temps donc on ridiculise son statut de philosophe, la baronne et sa fille Cunégonde est grasse, appétissante

devenir présent : cadence enflée des multiples pas (« infâmes soldats ») d'où émerge celui du commissaire, résonnant de froide légalité (« vigilant »), clameur de l'appel (« Ébranlant de mon nom ces longs corridors sombres », vers dans lequel les allitérations en « on » et « r » ajoutent un écho), allongement des mètres restant à parcourir, assombrissement des lieux, entraves des bras, le corps rebelle traîné de force, la foule des reclus ( « qui me connaissaient tous avant l'affreux message ») dont

à travers un court Conclusion du commentaire composé : 4 idées d'ouverture champ lexical de l’intimité : « divan », « chambre », « pots de fleurs » (v. 1415). Par ailleurs, tous les sens du poète sont mis en éveil : « Si tu pouvais savoir Allitération : définition et astuce pour l'analyser avec brio tout ce que je vois! tout ce que je sens! tout ce que j’entends dans tes cheveux ! » (v. 4). Le poète est transporté par la chevelure de la femme et plus particulièrement Conclusion du commentaire

en alexandrins, et avec des rimes croisées (ABAB). Il y a une assonance (répétition d'une même voyelle dans une phrase ou un vers) et une allitération en « v ». La richesse de rime : il y a une majorité de rimes suffisantes. Formulez, à partir de la lecture du texte et de vos intuitions, une problématique (quelque chose qui pose problème). Quelle est la valeur

Accent : V. Rythme Alexandrin : vers de 12 pieds* (12 syllabes) V. mètre Allitération : répétition d’un même son-consonne en vue d’imiter un bruit (de procéder à une harmonie imitative*) Ex. Les souffles de la nuit soufflaient sur Galgala (V. HUGO) : la répétition des sons [fl] et[l] fait penser au souffle du vent. Alternées (rimes alternées ou croisées) V. Dispositions des rimes Assonance : · répétition d’un même son-voyelle en vue d’imiter un bruit (de procéder à une harmonie imitative*)

naturel. 3) Le poème en prose est un genre littéraire poétique qui ne fait pas appel aux procédés de rimes et de versification, mais utilise des figures de style, des alliance atypiques de mots (oxymore), et des effets sonores et rythmiques (allitération, assonance, anaphore, etc.). Le livre Gaspar de la Nuit d’Aloysius Bertrand parût en 1842, est considéré comme le livre fondateur de ce genre. Puis, il va se développer dans le 19e siècle avec Baudelaire ou encore Rimbaud, et par la suite au

Paris lorsqu’il écrit : « Paris » vers 1, 2, 3 et 4 et « c'est » vers 8 et 9. Dans le poème de Robert Desnos, on retrouve le champ lexical de la douleur : « souffrant », « entorses », vers 3 et « gémir », vers 4. Du vers 5 au vers 8 on a une allitération qui marque la difficulté de cette vie. 5) a. Dans le poème de Robert Desnos, le champ lexical du temps est marqué par les mots : « matin, soir, demain, mois, nuit, jour, présent, aurore, veille ». b. Dans la première strophe on a des verbes de

billets doux, de procès, de romances . un chiasme est une structure en croix (ABBA) qui associe 2 termes deux à deux sans nécessairement qu’ils aient un rapport de sens. Ex : Il regarde longtemps, longtemps cherche sans voir. une allitération est une répétition d'une ou plusieurs consonnes dans un groupe de mots. Ex : Cassandre sous son soupirail, siffle un air connu. une périphrase consiste à remplacer un terme par une expression qui le défini. Ex : La capitale de la France

étant allongé/endormi : * « bouche ouverte » v5 * « sa nuque baignant » v6 * Répétition de « dort » x3 → insistance avec le titre du poème. * « étendu » v7 : impression de confort Vers 14 « deux trous rouges au côté droit » + allitérations en « r » → Nous basculons alors dans l’horreur, dénouement très brutal. III) Une découverte macabre La mort est en réalité omniprésente au cœur de ce poème : * « trou »  vers 1, écho avec le vers 14 * « follement » ; traduit l’agitation

renversement entre le début et la fin voir cours le sonnet ) et la chute du sonnet : accentue l'effet brutal, l'indécence de la mort ( contraste de couleurs, le mot''trou'', prosaïque , appartient à la mort et il est déjà présent au 1er vers + les allitérations en ''r''(tranquille, trous, rouges, droit) donne un effet d'insistance, rappellent la mort – pas de pathétique , c'est le contraste entre l'intensité de la nature et l'absence de vie de la jeunesse, entre le début et la fin qui provoque le choc