Alliterations

Une scène romanesque A- Un décor hostile à la rencontre : la rue - allitération en [r], personnification de la rue. - encadrement du poète : chiasme sonore - B- Une rencontre tel un coup de foudre - 2 unités de sens quatrains puis tercets - 1er tercet : aussitôt produite, rencontre appartient déjà au passé. - Champ lexical du fugitif - Une femme majestueuse

Allégorie : elle représente une idée générale ou abstraite de façon concrète. Allitération : répétition de consonnes ; Anaphore : elle désigne la répétion d’un mot ou d’une expression en tête de phrase de proposition ou de vers. Antiphrase : elle suggère par irone le contraire de se qui est explicitement dit ; Antithèse : oppose deux idées dans la même phrase Apostrophe : elle regroupe le ou les mots par lesquels le locuteur interpelle le destinataire de l’énoncé Assonance : répétition

la table, les « ailes » du moulin). La connaissance des principales figures est essentielle à la compréhension et à l’interprétation des énoncés littéraires et non littéraires. Les figures de répétition. * Répétions de sonorités * Une allitération est la répétition d’un ou plusieurs sons-consonnes. Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. (Hugo) * Une assonance est la répétition d’un ou plusieurs sons-voyelles. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou- frou. (Rimbaud) * Répétition

symboliquement en une divinité infernale chargée de torturer le coupable : les Erynies * provocation d'Oreste : "filles d'enfer", "vos mains sont-elles pretes ?" * "Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ?" => harmonie imitative : allitération en [s], assonances en [i] (avec sonorités dures : p, t, k) => les sonorités du vers suggèrent un bruit particulier correspondant au sifflement des serpents, à des cris, à l'arrivée fracassante des Erynies * progression de la folie d'Oreste

il est victime de moqueries… - De plus, Baudelaire joue sur les sonorités avec une assonance en « en » Cette utilisation se dégrade pour être associé a des mots dont le sens et les connotations sont négatives. Nous pouvons aussi observer une allitération en « v ». Puis des sonorités désagréables avec l’assonance « e ». - Une ample phrase, bien balancée pour présenter l'oiseau en vol dans la première strophe ; - Une nouvelle phrase dans la deuxième strophe très ample mais cette fois avec une nuance

Cette allégorie est mise en valeur par la musicalité d’une longue phrase dont les enjambements rendent compte de la grâce et de l’élan des Muses dansant. A cela s’ajoute des allitérations de sifflantes et de liquides qui renforcent la fluidité du rythme. Ici, Du Bellay nous offre donc un tableau du Bonheur, qui naît de l’inspiration poétique en s’inspirant du poète latin Horace qui décrivait dans ses odes le chœur des nymphes. D’ailleurs, on observe la présence d’un lexique de la joie

Allitération: Répétition d'une consonne ou d'un groupe de consonnes dans une phrase, un vers. Amphigouri: Discours, écrit confus et obscur. Anacoluthe: Rupture dans la construction d'une phrase." Vous, ministre de la paix [...], le sang, à votre gré, coule trop lentement " (Racine). Anaphore: Répétition d'un mot ou d'un groupe de mots au début de plusieurs phrase successives, pour insister sur une idée, produire un effet de symétrie. Anastrophe: Renversement de l'ordre habituel

monotonie) Les mots importants (ceux qui portent un accent) sont liés par les sonorités : * assonance en a « tant » (monosyllabe) = accent, « tant » mis en évidence, se répète quasi immédiatement avec (« flam ») donc c'est lui qui domine. * allitérations : « flambeaus »/ « femelle » Ils sont placés aux dernières syllabes des hémistiches (à la césure et à la rime) ce qui les rapproche. C'est elle qui est affectée par les flambeaux. c) Des « flambeaus » significatifs - V9 : Chez le « toy »

sonore des termes utilisés : borborygmes (crac, boum, hue), allitérations ("As-tu ton Tuc ?", "Ne s'use que si l'on s'en sert"), rimes riches ("du pain, du vin, du Boursin"). - L'agencement des mots entre eux : le contraste ("à la vie, à la mort"), la répétition ("oui, oui, oui... !"), ou le redoublement : "Du beau, du bon, Dubonnet", "Seb, c'est bien". Certains de ces agencements font appel à des figures de style ou de mots : allitération, anaphore, paronomase, etc (cf. fiche n° 25 "Les figures de

parfaitement au debut. Ex : v.5-6 (sur toutes les pages lues → sur toutes les pages blanches) et v.45-46 (Sur la lampe qui s'allume → sur la lampe qui s'éteint). Eluard préfère le phénomène assonances / allitérations à la rime : c'est beaucoup plus fluide et moins contraignant. Ex : Strophe 7, v.25-28, allitération en [ch] et en [z] et assonance en [on] et en [an]. Cela contribue largement à donner au texte un aspect mélodique en dépit de l'absence de rimes traditionnelles. II - Des lieux d'écriture à la