Alliterations

v1-25, « buissons » v 7, « avoine » v 6, l’habitat « bouges/maisons » v 9-10, puis l’espace urbain marqué par l’industrialisation : « forges » v 12, « gares » v 14, « métaux », v 24. On observe une assonance en [i] v6, 7, 11, 17, 19-21, 24 et une allitération en [s] dans les 1er et 4eme strophes. Elles traduisent la cacophonie ambiante et entrent dans des verbes dénotant une action violente et désagréable (« siffle ; giffle ») ainsi que dans un adjectif dépréciatif, « sinistres » ; on peut en déduire

peau à rajeunir, mais on peut l’aider à ne pas vieillir » Homéotéleute Imitation de son en fin de segment (de phrase) Canon : « Voir et émouvoir » Anaphore Répétition d’un même mot en début de segment « C’est nouveau, c’est chez confo » Allitération Identité de son qui se fonde sur la répétition d’une même consonne « Sous le soleil de Satan » Assonance Identité de son qui se fonde sur la répétition d’une même voyelle « Quand c’est trop, c’est Tropico » Répétition Effet de « matraquage »

dort » Le Titre induit en erreur Le personnage semble calme, parfait état de bien être Commentaire du titre : gradation Le lit =la tombe 3 – Dénonciation de la guerre A – Découverte du vrai sens Rupture rythmique → quatrains / tiercet Allitération en « P » → « Pale », « Plus », « pleut » Zoom vers la chute : 1ier quatrain → Nature 2ème quatrain → Le soldat (indignation) 3ème sizerin → Rupture « comme sourirais un enfant malade » Antithèse « chaudement ≠ froid » + chute

> nostalgie du passé fin de vers en [i] > son de souffrance on site la scène en hiver > saison de la mort/vieillesse « souvenirs lointains » fuite du temps + « lentement » langueur 3. Confrontation Ambiance ǂ Chute chaleur « feu qui fume » allitération en [f] carillon > musique gaie « brume » soir > heure du carillon > attire le poète à l'extérieur foyer > à l'abri du froid/monde extérieur/hostile Ambiance rassurante ǂ Chute violente champ lexical de la mort > annonce la mort comme un glas

chiffres considérables qui évoquent un conflit de grande ampleur. 2) Une vision esthétique - Termes laudatifs pour décrire les armées : accumulation d’adjectif mélioratifs précédé par l’adverbe « si » en anaphore. - Harmonie auditive : • allitération en « s », en « b » (1ère phrase) • assonance en « i » • accumulation d’instruments de musique. - Cela évoque une parade militaire, une fête et la musique qui l’accompagne. - Euphémisme

10-11) * Montaigne veut montrer un homme authentique et ne dire que la vérité, mais la pudeur et la censure (l.13) font qu’il n’a pas pu tout dire. * Métaphore (l.13) « peint tout entier et tout nu », il aurait voulu en dire plus. * Allitération en -m, elle produit un rythme qui marque une harmonie auditive (l.14) * Contradiction entre la l.14 et la l.15, il dit vouloir se montrer en entier et dit qu’il est inintéressant. II. La stratégie du « captatio-benevolentiae » *

un effet Il ne faut jamais évoque une figure de style sans tenter de préciser l’effet qu’elle produit. Parmi les effets, on distingue les effets graphiques (utilisation de majuscule pour un nom commun), les effets sonores (assonances, allitérations), les effets de rythme (par exemple, un personnage ému s’exprimera par des phrases au rythme heurté), les effets de ressemblance (comparaisons, métaphores), les effets d’insistance (hyperboles, la redondance (il est petit, minuscule)), le pléonasme

champs lexical de la nourriture • -  beaucoup de convives «tous les villageois» l.13 (idée d’abondance) • -  les convives viennent de partout --> 6 noms de lieux • -  l.15, la «boisson» semble a l’origine de la convivialité • -  l.21, allitération en «R» qui accentue l’idée de pèle-mêle --> procure une harmonie imitative traduit par les pas cadencer des danseurs et de la musiques des instruments évoqués a la l.22 • -  style direct rend le récit vivant; on ne sait pas par qui les paroles

vocabulaire soutenu ou au contraire très simple, abstrait ou concret. L'emploi de figures de style (à commenter). L'emploi de champs lexicaux particuliers. Mots mis en valeur à l'aide d'enjambements: rejets et contre-rejets Une certaine musicalité : allitération, assonances, harmonie imitative, rythme (découpage du vers).

(v. 10), et qui était la colline de la Belle-Alliance. L'image du "gouffre " (v. 3) traduit l'étroitesse des lieux, préjudiciable à Napoléon car, malgré sa supériorité numérique, il dut aligner un front beaucoup plus réduit qu'à Austerlitz. Une allitération en [m] souligne au vers 10 l'attente de la Garde, prête à s'élancer sur ordre : " Derrière un mamelon la garde était massée. " Les adversaires en présence, Français et Européens coalisés (Prussiens et Anglais essentiellement), sont identifiés