Allitération En R

dernière strophe : 5 vers , pas d'anaphore donc rupture de rythme => chute qui renforce l'appel à lutter. b) Jeu sur les sonorités Allitération en R Harmonie qui renforce l’efficacité de l'appel à la lutte Il a privilégié les allitérations/ insonances plutôt que le travail sur les rimes traditionnelles Allitération en L crée une fluidité et donne plus de légèreté mélodique Blanche , cendre => Rapprochement de sonorité II)Un hymne stratégique pour

et pourquoi le thème de la religion est-il présent dans ce poème ? L’invitation au voyage Alternance de couplets : pentamètres/ heptamètres : le vers impair donnant une impression de légèreté propice au rêve Et d’un refrain en heptamètres, allitération en-L pour rendre la fluidité et la légèreté. Trois motifs de la même structure : 1/ Invitation au Voyage : Utilisation de l’impératif « Songe » et du présent 2/ Projection au cœur du rêve

d’une voyelle Une allitération est une répétition d’une consonne Notes sur le poème « Et la met et l’amour » • Champs lexicales de l’eau et l’amour primordiales : « la mer »x6 et « l’amour »x8, « rivage », »maux », « larmes »cf. au titre « Et la mer et l’amour » • Métaphore (v.11) : « mais l’eau contre ce feu ne peut fournir des armes » : l’amour ressemble à une guerre : image péjorative de l’amour • (v.13) hyperbole : « si fort » • Allitération en m : «  Et la

- Parallélisme avec « L'on… et l'on… ». - Antithèse « monte » / « descend ». - Paradoxe. Cf. « avec pareil effort ». « Sans jamais rencontrer l'état de consistance ». - Assonance en [an]. Cf. « sans » ; « rencontrer » ; « consistance »… - Allitération en [s]. Cf. « sans » ; « consistance ». - « Sans jamais » : négation. - « Consistance » est à la rime avec « apparence ». - « Consistance » > ce qui est réel, concret s'oppose à « apparence » > ce qui est illusoire. B- La vie et la mort

guerre. ..1. La violence Scène d'une grande violence, métaphores du crachat, violence des images, métaphore du feu (feu des canons et des fusils et feu de l'enfer). Violence des sons : champ lexical du bruit : « sifflent, croulent, broient », allitérations en « r », mitraille, raille. ..2. La déshumanisation Perte de l'individualité : « des milliers, des masses. Les hommes ne sont que de la chair à canon (« tas fumant »), ce sont de simples instruments, des marionnettes, ils sont tous victimes.

guerre. ..1. La violenceScène d'une grande violence, métaphores du crachats, violence des images, métaphore du feu (feu des canons et des fusils et feu de l'enfer).Violence des sons : champ lexical du bruit : « sifflent, croulent, broient », allitérations en « r », mitraille, raille. ..2. La déshumanisationPerte de l'individualité : « des milliers, des masses. Les hommes ne sont que de la chair à canon (« tas fumant »), ce sont de simples instruments, des marionnettes, ils sont tous victimes.

LA POESIE Séance1 : Méli - Mélo de poèmes. Un poème est composé de vers/strophes/rimes/métaphores/commparaisons/allitérations/assonance/long et court……………… Séance2 : Un monde de formes. Texte « Querelle » p.176 Ce poème est composé de quatre strophes : deux quatrains (deux strophes de quatre vers chacune) et deux tercets (deux strophes de trois vers chacune). Ce poème est un sonnet. Séance 3 : Pouvoir des mots. Lecture jeux avec les mots Les mots n’ont pas une simple utilité

pays. (Entre l'Italie ; Rome par « Romains », et la France; Lyre « Gaulois ») Les rimes sont embrassés alternées féminines et masculines. Allitération en « R » V. 11, cela a une valeur péjorative ou négative sur les bâtiments romains Allitération en « S » V 5 a 8 qui montrent la souffrance et la mélancolie (hélas, maison, saison) Ces allitérations ont le but de montrer sa préférence nationale Diérèse à « audacieux » V. 10 montre également préférence nationale Champs lexical de l’affection

| | | |Sonorité : allitérations |Vers 11 et 12 |L’effet que produit le son «R» pourrait se comparer à un | | |Allitération en «R» : «nature» «berce» «froid» |tambour qui roule ses baguettes sur le champ de bataille, une| |

est également possible de s’appuyer sur les sonorités (allitérations : répétition d’un même son consonantique et assonances : répétition d’un même son vocalique : harmonie imitative)/ les rimes (répétition d’un même son à la fin de deux vers/ il existe des rimes internes ou intérieures) : - les allitérations en dentales et en [R] traduisent la souffrance, l’agression subie ex v 2 « J’ai chaud extrême en endurant froidure ». - allitération en [s] qui traduit la passion - assonance en [i] qui