Ally McBeal

(2004), voire même terrifiants comme le tueur en série de Prémonitions (1998). Egalement à l'aise dans la comédie, il remporte en 2001 le Golden Globe du Meilleur second rôle masculin dans une série pour sa prestation dans le feuilleton à succès Ally McBeal, et se retrouve, quatre ans plus tard, en tête d'affiche de Kiss kiss, bang bang, un polar à l'image de l'acteur : déjanté.Tour à tour, journaliste dans Good Night, and Good Luck de George Clooney et médecin dans Raymond de Brian Robbins, il devient

pas seuls à promouvoir un idéal de beauté inaccessible. Le cinéma et la télévision contribuent grandement à le diffuser. Les actrices de séries télévisées et de cinéma sont, généralement, de plus en plus minces et de plus en plus jeunes. La série Ally McBeal illustre bien cette tendance. Sa vedette, Calista Flockhart, était carrément maigre et la quasi-totalité de la distribution suivait un régime, même si ces actrices étaient déjà plus minces que l'Américaine moyenne. Au Québec, les comédiennes qui

et les femmes sont toutes « parfaites », voir irréelles. Ces deux agents (la télé et le cinéma)  sont des compléments envers les magazines féminins, puisque par le biais de série ou de  publicité ils vont contribuer à cette diffusion. Nous pouvons prendre l’exemple de la série  Ally McBeal, qui illustre bien cette tendance. En effet, la vedette,Calista Flockhart, était très  mince (voir maigre) et ce que nous ne savons pas c’est que la distribution suivait un régime  alors que les actrices étaient plus minces que l’Américaine moyenne

Cold Case pour les américaines ou encore Colombo, Femmes d'Honneurs pour les françaises, sont l'opportunité que nous avons de nous plonger dans l'univers des forces de l'ordre. Les séries judiciaires sont également un bon exemple, on peut citer Ally Mcbeal, The Good Wife, New York Police Judiciaire. On découvre là aussi le monde et le système judiciaire. En France dans le genre on peut trouver Julie Lescaut. Dans les séries fantastiques et d'aventures, les personnages qui sont proches de la réalité

d’abord, Bill Cosby ou Oprah Winfrey à présent) et soaps operas (dans les années 1970 et 1980 Dallas et Dynasty), des séries dramatiques (Lassie, Star Trek, NYPD Blue), des sitcoms et autres comédies (de I Love Lucy jusqu’à Seinfeld, Friends ou Ally McBeal) et des films, des matches sportifs… Au début des années 1960 CBS lance un journal de trente minutes avec des reportages filmés présentés par le reporteur vedette Walter Cronkite. La télévision apporte une nouvelle dimension aux débat politique

Conférencière, consultante, enseignante à l’UQAM et à l’École polytechnique www.isabellefontaine.ca (en ligne à la mi-mai) 15 You Sexy Thing 4:05 Hot Chocolate Moulin Rogue - Lady Marmalade - Christina Agulara, Lil' Kim, Mya, & Pink Ally McBeal - Hooked On a Feeling (ooga chaga) 2:54 Mambo No.5 3:42 Lou Bega Hugo Montenegro - The Good, The Bad & The Ugly Bob Marley - Girl I Want To Make You Sweat Love Generation (longue) I'm Too Sexy Mambo Swing Could You Be Loved 3:58 Bob Marley 2:42

« parfaites », voir irréelles. Ces deux agents (la télévision et le cinéma) sont des compléments envers les magazines féminins, puisque par le biais de série ou de publicité ils vont contribuer à cette diffusion. Nous pouvons prendre l’exemple de la série Ally McBeal, qui illustre bien cette tendance. En effet, la vedette, Calista Flockhart, était très mince (voir maigre) et ce que nous ne savons pas c’est que la distribution suivait un régime alors que les actrices étaient plus minces que l’Américaine moyenne

gamme de produit très variée allant des fascicules comportant des objets de collections appelés miniatures (Astérix jeu d’échec, chars et machines de guerre, police et gendarmerie, collection 2CV : une voiture d’exception, …), au vidéos et DVDs (Ally McBeal DVD, Charlie Chaplin en DVD, collection Clint Eastwood, …), les classiques du livre (collection Agatha Christie), des produits féminins de type loisirs créatifs (broderie, pochoir, tricot, etc. …) et des collections adaptées aux enfants (Disney

pas seuls à promouvoir un idéal de beauté inaccessible. Le cinéma et la télévision contribuent grandement à le diffuser. Les actrices de séries télévisées et de cinéma sont, généralement, de plus en plus minces et de plus en plus jeunes. La série Ally McBeal illustre bien cette tendance. Sa vedette, Calista Flockhart, était carrément maigre et la quasi-totalité de la distribution suivait un régime, même si ces actrices étaient déjà plus minces que l'Américaine moyenne. Au Québec, les comédiennes qui

L'image de la femme y est toujours présente, que ce soit dans la publicité, les séries ou les films, mais en regardant bien ce sont toutes les mêmes : jeunes et minces, proches d'une perfection « imposée ». On peut prendre l'exemple de la série Ally McBeal dont la vedette, Calista Flockhart, était plus mince que l'américaine moyenne comme dans plusieurs autres séries américaines. Ces images de femmes très minces, voire maigre, ne choque même plus et c'est justement cela le problème. De nos jours,