Allégorie De La Caverne Résumé

c’était aussi un sacré soulagement parce que la plupart des visions de Viszs étaient du genre terrifiant.) Mais à mon avis, ça ne veut rien dire. — Ce que je vois veut toujours dire quelque chose, et tu le sais parfaitement. — Alors c’est une allégorie. Comment quelqu’un pourrait-il entourer un puits ? (Fhurie eut l’air surpris.) Et pourquoi m’en parler aujourd’hui ? Tout à coup, les épais sourcils noirs de Viszs se froncèrent bas sur ses yeux de diamant. — Je… Bon sang, aucune idée. J’en

COMMUNICATION C’est à la fin de la préhistoire, alors qu’il ne connaissait pas encore l’écriture, que l’homme a commencé à utiliser des images pour communiquer avec ses semblables. Les images pouvaient être gravées ou peintes sur les parois d’une caverne, modelées dans de l’argile ou gravées sur un os. Elles avaient une signification et exprimaient des pensées, des sentiments ou des perceptions. Certaines de ces images sont parvenues jusqu’à nous. Malgré leur éloignement dans le temps, elles nous

Femmes damnées .........................................................155 CXII. – Les deux bonnes sœurs .............................................. 156 CXIII. – La fontaine de sang ....................................................157 CXIV. – Allégorie..................................................................... 158 CXV. – La Béatrice .................................................................. 159 CXVI. – Un voyage à Cythère.................................................. 160 CXVII

...................................................95 CXII. – Les deux bonnes sœurs ........................................................ 96 CXIII. – La fontaine de sang............................................................. 96 CXIV. – Allégorie ...............................................................................97 CXV. – La Béatrice.............................................................................97 CXVI. – Un voyage à Cythère .....................................

Femmes damnées .........................................................155 CXII. – Les deux bonnes sœurs .............................................. 156 CXIII. – La fontaine de sang ....................................................157 CXIV. – Allégorie..................................................................... 158 CXV. – La Béatrice .................................................................. 159 CXVI. – Un voyage à Cythère.................................................. 160 CXVII

afin de mener à bon terme la réalisation de cette étude, je tiens à remercier particulièrement mon directeur de mémoire Simon Harel, mes parents Pierre et Monique Verrette ainsi que ma conjointe Suzanne Springer. III TABLE DES MATIÈRES RÉSUMÉ INTRODUCTION MÉTHODOLOGIE . . . VI 7 CHAPITRE 1 DES CONCEPTIONS ET CARACTÉRISTIQUES STRUCTURALES DU MYTHE À SES FONCTIONS ET SA PERTINENCE CONTEMPORAINE 1.1 Conceptions du mythe et structures 1.2 La mythocritique comme méthode

constant afin de mener à bon terme la réalisation de cette étude, je tiens à remercier particulièrement mon directeur de mémoire Simon Harel, mes parents Pierre et Monique Verrette ainsi que ma conjointe Suzanne Springer. III TABLE DES MATIÈRES RÉSUMÉ . VI INTRODUCTION . MÉTHODOLOGIE . 7 CHAPITRE 1 DES CONCEPTIONS ET CARACTÉRISTIQUES STRUCTURALES DU MYTHE À SES FONCTIONS ET SA PERTINENCE CONTEMPORAINE 1.1 Conceptions du mythe et structures Il 1.2 La mythocritique comme méthode analytique

Pl. I, p. 1361. 32. Lettre à A. Fraisse, 18 février 1860. 33. Citons, pour mémoire, les études d'A.-M. Amiot, Baudelaire et l'illuminisme, Nizet, 1982, et de P. Arnold, Ésotérisme de Baudelaire, Vrin, 1972; voir surtout les remarques de G. Blin, Résumés de cours, Annuaire du Collège de France, 1967-1968, passim, et plus généralement P. M. Jones, The Background of modern French Poetry, Cambridge UP, 1951, A. Viatte, Les Sources occultes du romantisme. Illuminisme, théosophie, 1770-1820, Champion,

français et pour des Français que nous avons voulu écrire » (préface du traducteur, Esthétique, tome I, p. II). Dans une note du chapitre II (« Du beau dans la nature ») de la première partie, Bénard justifie ainsi une omission : « Nous avons cru devoir résumer aussi le première partie de ce chapitre, dont la terminologie de l’auteur eût rendu l’intelligence trop difficile au lecteur peu familiarisé avec le système de Hegel » (ibid., p. 40). Malgré ces limites, le traducteur anglais d’une récente édition

possédant un pouvoir de révélation et d'apparition, ne permettent pas le passage du regard au travers et offusquent notre vue en la faisant circuler dans un jeu de clair-obscur, dans un système de paravents minces mais opaques. Aussi l'image de la caverne de Platon peut-elle être évoquée avec ses passages d'ombre (ombres chinoises et lanterne magique)[52]. Le poète est un "ténébreux"[53] qui désigne de lointaines et passagères clartés à une "ombre"[54] qui l'accompagne. De plus, "si l'oeil est conduit