Alopécie

associations disponibles : local 3C, association VITAE - bien connaître la personne pour l’aider et lui proposer des choses qu’elle aime - aborder et la prévenir sur les effets secondaires de la chimiothérapie surtout en matière d’image corporelle : alopécie et perte des sourcils et des cils, toxicité unguéale… -proposer des séances de relaxation avec technique d’apaisement, insérer le toucher massage lors des soins d’hygiène et de confort, afin de faciliter et trouver des moyens de communication avec

|Saignements | | |Alopécie (chute de cheveux et poils) | | |Purit

cellules de la moelle osseuse (qui produit les cellules sanguines), les cellules des cheveux, de la peau et de la muqueuse de la bouche. Ce phénomène explique certains effets secondaires bien connus de la chimiothérapie, comme la chute des cheveux (ou alopécie) par exemple. » [Source INCA]  Quelques statistiques : Selon le premier ministre Sellal : «L’Algérie dépense annuellement pour les soins de chimiothérapie 35 milliards de dinars. C’est l’Etat qui prend en charge ces soins à 100% », notant à ce propos

CHRISTE MARINE (totum) INDICATIONS Hypertension - vermifuge - troubles circulatoires Asthénie générale et intellectuelle Ménopause - fatigue - anémie Laxatif Aérophagie - ballonnements - digestion Règles douloureuses ou irrégulières Aérophagie - alopecie - anorexie Digestion - ulcère et inflammation gastrique Palpitations - anxiété - nervosité - insomnies Rhinites et asthme Reminéralisant - ostéoporose Acné - eczéma - furoncle Sécheresse de la bouche - lourdeur digestive Bronchite - sinusite - rhume

(nausées, vomissements, diarrhées). • Peau et annexes : - fréquents : réaction allergique, urticaire, œdème de Quincke, éruption cutanée, prurit ; - rares : troubles de la pigmentation (ardoisée des ongles et des muqueuses), exacerbation d’un psoriasis, alopécie ; - exceptionnels : dermite exfoliatrice, érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, photosensibilité. • Neurologiques : - fréquents : céphalées, étourdissement ; - très rares : convulsions, neuropathies. • Visuels : - fréquents : troubles

-Sécheresse buccale, -Troubles hépatiques, -Urticaire, -IR Rares -Diarrhée, -Douleurs articulaires - Chute de cheveux,  -Réaction allergique. -Alopécie ; -Nécrose cutanée localisée -Une dyspnée peut être le témoin d'une pneumopathie interstitielle -Vascularite cutanée volontiers très purpurique, -Stomatite ; -Alopécie ; -Nécrose cutanée localisée Très rares -Vascularite, -Atteinte hépatique, -Arthralgies isolées. -Arthralgies isolées,

Cas clinique 6: Bouba Cas clinique 6: Bouba Examen clinique Otite proliférative chronique bilatérale Hyperplasie cutanée face interne des pavillons Cérumen brun abondant Cytologie: malassezia +++ et cocci++ Pelage terne, hypotrichose, alopécie face postérieure des cuisses et périanale Une large collerette épidermique, une vieille pustule et de rares croûtes sur l’abdomen Staphylocoques phagocytés Testicules petits, mous, symétriques sans masse palpée (échographie des testicules: normale)

diagnostique (examens complémentaires)  soins de support, accompagnement social, soutien psychologique  soins d’hygiène et de confort  voire refus de toute prise en charge • Parfois ce n’est pas la finalité mais les conséquences du soin (ex : alopécie…) ou son acteur (refus d’un soignant particulier) qui sont refusés par le patient. • Le refus de soin peut aussi être un moyen ultime de faire réagir l'autre et de faire entendre, aux soignants mais aussi à la famille, sa détresse. Avant tout, il

% à 50 ans. ➢ Diminution de la masse musculaire = sarcopénie ➢ Le diamètre brachiale et le pli cutané : corrélé au statut musculaire et au statut nutritionnel ➢ Modifications cutanés : rides, nuque rhomboïde ➢ Modification des phanères : alopécie qui se définit comme l’absence ou la perte de cheveux ou de poils. Elle touche le plus souvent le cuir chevelu (calvitie), mais peut aussi se manifester sur n’importe quelle zone pileuse du corps. Canitie : blanchissement des poils et des cheveux

êtes-vous polyvalent ? Critères diagnostiques du syndrome des ovaires polykystiques (Rotterdam 2003)6 La présence de deux critères sur trois est nécessaire O Oligoménorrhée ou aménorrhée (Ͻ 8 cycles/an) Hyperandrogénisme clinique (hirsutisme, acné, alopécie) ou biochimique ( testostérone, rapport LH/FSH Ͼ 2*) O Au moins un ovaire polykystique à l’échographie (12 follicules ou plus de 2 mm à 9 mm de diamètre par ovaire ou augmentation du volume ovarien de Ͼ 10 ml (0,5 x longueur x largeur x épaisseur)